Une assemblée publique se tiendra le 19 janvier prochain, à 17h, à la salle du conseil de Ville de Québec quant à un projet de règlement aux effets suivants:
Afin d’augmenter le potentiel de développement du territoire de la Ville de Québec, certains aires d’affectation urbaine seront agrandies à même une partie de certaines aires d’affectation forestière.
Ces aires sont situées:
1° au nord de l’intersection de la route de l’Aéroport et de l’avenue de la Montagne Est, au sud-ouest de la rue d’Édimbourg et au sud de la rue de l’Esplanade
2° au nord de l’intersection de la rue du Javelot et de la rue Julienne et au sud de l’avenue industrielle
3° à l’est du boulevard de la Colline et à l’ouest de la rue Longchamps
4° au nord-ouest de la rue de la Faune et au nord-est de la rue de Vénus
5°C à l’est de la rue Sorbier, à l’Ouest de la rue des Bolets et au nord des rues Philippe-Angers et du Villonet.Également, une aire d’affectation urbaine est agrandie à même une aire d’affectation espace vert et une partie d’une aire d’affectation industrielle, lesquelles sont situées à l’est du boulevard de la Colline et à l’ouest de la rue de l’Alliance.
De même, une aire d’affectation urbaine est agrandie à même une partie d’une aire d’affectation industrielle située au sud de l’intersection de la rue de la Faune et de l’autoroute Laurentienne.
Pour votre information.
* Merci à vivelesboises@yahoo.ca pour m’avoir informé de la parution de cet avis public du 24 décembre 2009 (…) et à Accès Transports Viables pour l’illustration graphique.
Mise à jour (14 janvier 2010): Consultation reportée
7 janvier 2010 à 16 h 20
Bon, alors good by le parc de l’escarpement…
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7 janvier 2010 à 16 h 30
Le parc de l’escarpement n’est nullement situé dans ces aires.
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7 janvier 2010 à 19 h 59
Il n’est pas dans les airs protégés et ils n’ont pas l’air de vouloir le protéger. Avec le boulevard, les bâtiments leed, le développement domiciliaire. Il ne reste plus grand chose. Il reste juste le bout entre les condos et le Walmart puis ça remonte un peu pour arrêter dans le Mesnil. Une randonnée dans ce bois là ça dure cinq minutes pas plus. À moins de tourner en rond sur les petites pistes en poussière de pierre le long du boulevard. Mais il fait pas est trop grand parce que c’est assez évident que lorsqu’on voit par dessus les arbustes, on réalise assez vite qu’on tourne en rond comme des hamsters.
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9 janvier 2010 à 08 h 36
Tu te bases sur quoi pour affirmer que le parc n’est pas protégé ? J’espère que ce n’est pas google map !!
Il l’est selon le dernier plan d’affectation des sols de la ville de Québec.
http://www.ville.quebec.qc.ca/apropos/vie_democratique/administration/planification/pdad/docs/affectations_sol/affectation_pdad_les_rivieres.pdf
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9 janvier 2010 à 08 h 43
Le parc de l’escarpement a environ 5 kilomètres de sentiers. Pour faire ça en « 5 minutes pas plus » il faut donc marcher à 6o Km/h.
Pour le commun des mortels, c’est donc plus une bonne marche de plus d’une heure où on peut s’arrêter près de la rivière Dubeger pour observer la grande diversité d’oiseaux qu’on y trouve entre autre.
D’exagérer grossièrement ne servira pas ta crédibilité Pier Luc.
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7 janvier 2010 à 18 h 22
Dommage. C’est le genre de décisions de la Ville qui mine les efforts pour développer une mobilité plus durable dans la région de Québec. Malgré les bonnes intentions apparentes, on continue à autoriser l’étalement urbain alors que ses impacts négatifs et ses coûts sont bien connus. Où est la logique? Il faut d’abord prioriser les endroits convenablement desservis par le transport collectif plutôt que de permettre le développement de quartiers où les gens dépendront de la voiture.
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7 janvier 2010 à 18 h 45
La logique réside dans la mégalomanie de l’administration municipale actuelle qui appelle inévitablement des entrées de fonds. Dans ces conditions, les promoteurs et leurs projets de nouvelles constructions ont l’oreille de nos élus quand on leur fait miroiter les nouvelles entrées de taxes. Les effets pervers de l’étalement urbain, dans ce contexte, on s’en fout.
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7 janvier 2010 à 19 h 43
La logique? La logique est que la Ville accorde des permis de lotissement résidentiel aux endroits où les citoyens voudront bâtir des maisons. Offre vs Demande.
C’est bien de favoriser le transport en commun et des quartiers bien désservis, mais encore faut-il que les gens veuillent y habiter. Il s’agit de trouver un juste milieu.
Personnellement, je viens de la banlieue, c’est très mal désservis par le TEC mais j’y suis très très bien et nous avons 4 voitures pour 4 personnes à la maison. Dépendant à la voiture? Peut-être un peu mais pas plus que le sont les « gens de la ville » qui sont dépendant aux autobus. Je peux faire la majorité de mes commissions à pieds. Mais ma voiture est extrêmement utile tout de même.
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7 janvier 2010 à 20 h 01
Dépendant de l’autobus ce n’est pas très plaisent, je vous envie. Évidemment, si j’étais très riche je m’achèterais un véhicule électrique. :)
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8 janvier 2010 à 12 h 49
4 voitures pour 4 personnes ? Comme disait Louis XV, après moi le déluge…
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8 janvier 2010 à 09 h 18
Vous êtes en conflit d’intérêt dont peu crédible…
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7 janvier 2010 à 20 h 10
Je ne connais pas tellement tout les rouages de la politique municipale, mais est-ce qu’on peut dire que c’est déjà dans la poche ?
Concernant l’aire #5 à Beauport (parce que j’y suis citoyen) : je crois que c’est un très beau « spot » pour y faire du développement domiciliaire. Cependant, la rue seigneuriale est déjà saturée par moment, et je vois mal comment le tout s’améliorera. Pourquoi on n’utilise pas plutôt les terrains à la même hauteur, à gauche de seigneuriale ? et à gauche du Lac Poulin ?
Et j’ai déjà entendu parler d’un développement de + de 500 terrains à Beauport, dans le haut de Louis IV, à droite du Boul. Armand Paris. Ça lâche pas le développement…
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8 janvier 2010 à 09 h 16
Les sablières à Loma achèvent d’être exploitées et c’est prévu qu’on quartier résidentiel de 400 maisons s’y installera. Quant à Seigneuriele, comment trouvez-vous le nouveau feu de circulation coin Douvain à 100 pieds de la piste cyclable et à 300 pieds de Nordique. Est-ce que ça nuit à la fluidité du trafic ou non ???
J’ai fait ma campagne sur la circulation nord-sud à améliorer et j’ai été battu. Alors ne vous plaignez pas, la ville agi selon sa propre idée et pas toujours pour améliorer la qualité de vie des citoyens car mon adversairte est plus intéressé à paraitre sur les photos à coté diu maire que de régler les problèmes d’urbanisme.
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8 janvier 2010 à 13 h 32
En fait le trafic sur seigneurial n’a pas trop changé avec la nouvelle lumière, juste un autre facteur pour rendre la circulation moins fluide.
Lorsque le Boul. Raymond sera vraiment un boulevard, la circulation devrait être amélioré, au moins dans l’Est du secteur. Pour la section seigneuriale, c’est un cas désespéré. Ça prendra une solution de contournement…
Et justement Fernand, on m’a parlé que l’ancienne ville de Beauport avait refusé d’acheter le trou de la carrière à rabais dans le temps…est-ce t’es au courant ?
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7 janvier 2010 à 21 h 04
Je suis d’avis que l’étalement urbain pose des problèmes, mais en même temps, développer à l’intérieur du périmètre urbain n’est pas toujours facile à Québec. On n’a qu’à penser à la Cité verte où le maire a du signifier son intention d’ignorer un référendum pour que ce projet soit en voie de se concétiser. Sans s’en rendre compte, on a des gens qui veulent conserver une « qualité de vie » ou un « style de vie » dans le centre et qui repoussent par le fait même le développement en périphérie. Et là on se retrouve avec des villes champignons aux abords de Robert-Bourassa et des villes satellites comme Donnaconna et Ste-Cateriene qui sont en boom résidentiel et qui concurrencent les lotissements de Québec avec des prix plus abordables.
Pour moi, la logque est que si l’on veut vraiment densifier, il faut mettre de cote cette facon villageoise de concevoir une ville et être prêt à accepter davantage d’activité autour de soi. La question se pose: les gens de Québec sont-ils prêt à se densifier? Je crois que la réponse est non pour les ¾ d’entre nous.
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7 janvier 2010 à 22 h 23
Malheureusement… Mais c’est à la ville de faire ce qu’il faut pour arriver avec des conditions gagnantes pour ces gens qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez… La hausse de la valeur immobilière c’est pas une si bonne nouvelle…
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7 janvier 2010 à 22 h 37
Je suis le premier à vouloir décrier la perte des zones sauvages naturelles dans la ville et à ce qu’on conserve une «ceinture verte». Mais à analyser clairement les zones ciblées par le développement citées ici, je trouve qu’il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Ce sont des endroits (surtout de la Colline, de la Faune et Laurentienne et le coin de l’ave. Industrielle, zones 2, 3 et 4 sur la carte) ou le potentiel de développement est bon et la tendance est inévitable car elles sont situées tout près de grands axes routiers et souvent à proximité de quartiers déjà construits. De plus, si je me fie à ma mémoire, ce ne sont généralement pas des zones forestières de grande qualité (à part des petites parties des zones 1, 3 et 5), c’est souvent de la friche et des terrains vagues ou de la forêt jeune.
Seul bémol, la zone 3 me semble un peu étendue. Il faudrait impérativement conserver une partie du boisé, celle qui longe la rivière St-Charles par exemple. Une partie de cette zone est accidentée et pourrait coûter plus cher à développer. Quant à la zone 5, je ne connais par assez ce coin pour me prononcer.
Pour ce qui est du parc de l’Escarpement, puisque certains en parlent, il s’agit d’un parc urbain avec des zones naturelles déjà protégées. Si on construit tout près (comme c’est le cas avec l’édifice Promutuel), c’est que ça se situe en dehors de cette zone. Le parc ne peut être entamé par des constructions. Je suis d’avis par contre qu’on aurait dû agrandir ce parc dans sa partie ouest tant qu’on le pouvait, sinon il restera qu’une bande telle qu’on la voit sur les carte de la ville.
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7 janvier 2010 à 22 h 59
Évidemment, comme plusieurs, j’espère qu’on va d’abord prioriser les terrains toujours disponibles plus près de la ville avant de développer ceux-là.
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8 janvier 2010 à 08 h 35
Y a pas de miracle.
Si nous voulons protéger des zones naturelles tout en considérant que Québec est une ville qui continue de grandir, il faudra concentrer le développement et accroitre la densité.
Plus de densité = plus de hauteur = plus d’oposition de la part des résidendents (souvent des quartier centraux ou les gens veullent rester).
Nous ne pouvons malheureusement pas sauver la chêvre et le choux…..
Chacun veut son petit bout de terrain derrière la court = moins d’espaces vert publique….et des résidences construitent de plus en plus loin, des plus en plus de transport, de plus en plus de d’embouteillage, de plus en plus de polution, etc…….
Selon moi c’est ca note choix….
.
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8 janvier 2010 à 10 h 17
Quand on parle de quartiers centraux, il faut faire la distinction entre ceux qui ont un intérêt patrimonial et les autres… Il est toujours plus compliqué de développer dans les anciennes limites de Québec (haute et basse ville) pour ces raisons.
Mais si l’on considère Ste-Foy comme un quartier central, alors là je crois que plusieurs secteurs sont mûrs pour être redéveloppés.
Couverts de stationnements et de bungalows cheapo, je les bulldozerais illico.
À mon humble avis, il est absurde d’étendre les banlieues jusqu’au pays des ours et de la mouche noire tant que Ste-Foy reste plein de village militaire et Dial textile…
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8 janvier 2010 à 11 h 23
Effectivement, je crois qu’il est temps d’étendre davantage le dense centre-ville de Québec. On pourrait penser en autre à pousser la densité plus loin que la rue Bougainville. À partir de là, c’est les bungalows qui sont rois. Toutefois, il faudrait démolir… et pour ça il va y avoir de la grogne, beaucoup… et c’est normal. En bref, nous avons un problème.
«Petite» note ici Par rapport à d’autres commentaires : Plusieurs disent que si la banlieue a tant de développement c’est à cause de l’Offre et de la Demande. Je suis d’accord, mais d’un tout autre point de vue. Si la banlieue est si populaire auprès des familles c’est à cause de l’Offre et de la Demande. (Remarquez la nuance.)
Le manque d’Offre actuelle (le taux d’inoccupation de plusieurs quartiers centraux en témoigner) dans le centre-ville ne rend pas attrayante la vie au centre-ville . Il y a peu de choix et les prix sont élevés par rapport à la valeur réelle du bâtiment/logement/condo.
Je connais plusieurs personnes qui auraient voulu vivre au centre-ville, mais le manque d’offre les ont un peu «forcé» à se rabattre sur les banlieues.
Le problème est qu’actuellement, on ne peut pas augmenter significativement l’offre en centre-ville à la classe moyenne. Presque tous se qui entourent le centre-ville est déjà développés. Il faudrait donc démolir pour étendre le dense centre-ville… ce qui revient à ce que je disais plus haut.
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8 janvier 2010 à 15 h 39
Le tournant vert de la Ville de Québec….par l’étalement urbain.
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8 janvier 2010 à 23 h 11
Et qu’en pensez-vous ? N’est-ce pas inévitable ? Ou non ?
Les gens de Québec ont maintenant choisi majoritairement de donner le pouvoir à des personnes qui auront à faire des choix de ce genre. Et je dois présumer de ceux ayant trait à d’autres boisés, comme dans l’arrondissement de Sillery.
Alors ? Peut-on connaître votre opinion ? Ce sera utile vous savez ! :)
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8 janvier 2010 à 17 h 28
@Christophe:
J’aime beaucoup ton analyse. Cependant, je crois qu’il reste des endroits où on peut développer des quartiers denses à proximité du centre-ville. Du 4 à 7 étages.
Je penses surtout au secteur entre l’embouchure de la rivière Saint-Charles et le Quai Saint-André /Rue St-Paul, autour de la gare. Il y a un très grand nombre de parkings de surface que l’ont pourrait enterrer et donc construire au-dessus.
Il y a aussi la grande friche industrielle entre Limoilou et Beauport, d’où l’incinérateur doit éventuellement quitter et où l’usine à papier, Stadacona, ne va pas bien économiquement et pourrait fermer dans un avenir pas si lointain
Le secteur autour de Fleur-de-Lys aussi contient un grand perte d’espace dû à trop de parkings de surface.
Enfin, plusieurs boulevards pourraient être refait comme Hamel, Pierre-Bertrand et Henri-Bourassa.
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8 janvier 2010 à 23 h 11
C’est vrai, le secteur d’Estimauville à lui seul pourrait accueillir 5000 personnes de plus… On a présenté un plan grandiose il y a quelques mois… une « avenue verte » bordée de grands édifices et se rendant jusqu’au fleuve. Un édifice-phare de 30 étages, hahahahahaha! Burj-Labeaume.
Mais quand on prend les vraies décisions, ça va encore et toujours dans le sens de l’étalement urbain.
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9 janvier 2010 à 13 h 33
Dans le Soleil aujourd’hui :
« (Vancouver) Alors que Québec discute timidement de densification, des décennies d’audace et de paris risqués ont porté fruit dans la métropole de la côte Ouest. Grâce à une lutte féroce contre l’automobile et un parti pris inébranlable envers la densification résidentielle, Vancouver a atteint les plus hauts sommets internationaux pour sa qualité de vie…. Vancouver a fait ses choix. Le roi et maître : le piéton, qui bénéficie de trottoirs disproportionnés et d’une priorité absolue dans la jungle urbaine. Suivent dans la hiérarchie : les vélos, les véhicules d’urgence, le transport en commun et l’automobile, parent pauvre de la cité. «Pourtant, nous sommes la seule ville en Amérique du Nord à avoir réduit le temps de déplacement entre la banlieue et le centre-ville.»
À Québec, à part les paroles en l’air et les bottines qui ne suivent pas les babines, on fait quoi réellement ? Toujours la même vieille routine sans imagination: le promoteur veut construire ? Il a l’aval de la Ville sans trop de contrainte réelle et même un petit coup de pouce en lui libérant des terrains.
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10 janvier 2010 à 21 h 14
Attention là… il y a certains « détails » qui minent la comparaison :
Vancouver est foutrement plus grande que Québec. Dans tous les sens du terme. Le centre-ville est donc largement plus grand que celui de Québec, donc une tout autre dynamique. Entre autres, c’est qu’il y a « en ville » plusieurs tous de condos mêlées à celles à bureau.
Pourquoi? Vision à long terme du développement? Pas vraiment… plutôt une question de gros sous il y a 15-20 ans. L’immigration colossale de Hong Kong dans les années 90, alors que le Canada était en pleine récession, faisait pousser le centre-ville de Vancouver à plein régime! Les immigrants arrivaient avec des pelletées d’argent, raisaient deux quadrilatères, en remplissaient un d’une tour de 30 étages de bureaux, et l’autre de 30 étages de résidences. Et les gens de la place se sont plutôt fait tasser de là…
En dehors de ces beaux quartiers de ville « aux trottoirs démesurés » où habitent des gens très fortunés, il y a aussi des quartiers où on trouve des gens qui se piquent sur les coins de rue (ils se font eux aussi repousser continuellement à mesure que le centre-ville s’agrandit sur eux).
Finalement, il n’est pas très difficile de réduire les temps de déplacements vers le centre-ville dans une ville comme Vancouver. La banlieue est beaucoup plus étendue que Québec, et il n’y a pratiquement pas d’autoroutes. Alors dès que t’implante un transport collectif sur voies réservées, quand c’est pas carrément le Sky Train en dehors du traffic, c’est évident que tu réduit le temps des déplacements.
Alors tant mieux pour Vancouver, et oui, il faut faire quelque chose à Québec, mais on ne peut pas faire comme Vancouver…
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