Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 19 janvier 2010
Le projet de construction sur une partie des Boisés Saint-Émile a été reporté en attendant d’obtenir plus de précisions sur la limite du bassin versant dans ce secteur. À la présidente du Conseil de quartier, Manon Therrien, qui préférerait que des solutions de rechange soient étudiées, le conseiller François Picard a tenu à rappeler que le but n’est pas d’anéantir la forêt. « Un peu moins de 4 % des boisés de Saint-Émile seraient touchés par l’augmentation du périmètre d’urbanisation », a-t-il précisé. Déplorant les « propos apocalyptiques sur la destruction du boisé », le maire Labeaume a dénoncé que, « pour certains, couper un arbre, c’est pire que la mort d’un Haïtien ».
19 janvier 2010 à 19 h 58
le volte-face de la mairie laisse de glace ?
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19 janvier 2010 à 23 h 42
Non. De bois ! :)
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19 janvier 2010 à 22 h 04
Les écarts de limites de bassin versant entre les cartes de la ville et celle du ministère de l’Environnement du Québec ne sont pas reliées à la grogne des citoyens. Alors ce n’est qu’on adon dans ce cas…
Toutefois, c’est peut-être un bon adon, car avec un peu de chance, ce délai permettra de planifier un peu mieux le projet que « juste des rues avec des maisons pour remplir l’espace ». Avec un peu de chance dis-je…
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19 janvier 2010 à 22 h 31
Y-a-t-il des règles de distances entre les habitations et la rivière St-Charles?
Je sais que dans Duberger-Les Saules, il y a des maisons qui sont construites très près de la rivière, cependant j’ai l’impression qu’il s’agit d’un droit acquis et que ça ne se reproduirait plus aujourd’hui.
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20 janvier 2010 à 23 h 32
Le Défi vert demande un moratoire : http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2010/01/20/005-st_emile_boises.shtml?ref=rss
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