Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Québec, Ville Rapaillée

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 février 2010 59 commentaires

De l’aide pour Clotaire Rapaille

Josée Guimond
Le Soleil

(Québec) Le monde a connu le Code Da Vinci, les résidants de Québec, eux, sont maintenant à l’heure du Code Rapaille. Le processus de modernisation de l’image de la ville est enclenché, piloté par Clotaire Rapaille. Sa méthode de travail, bien détaillée dans nos pages, hier, fera appel à plusieurs acteurs importants de la ville, mais également aux citoyens. Le Soleil a invité ses lecteurs, dans un but pas du tout scientifique, à soumettre leurs idées. Premier survol des suggestions. (…)
Slogans des lecteurs

– Québec. Voilà!

– Québec, toutes voiles dehors!

– Québec, la ville prodige

– Québec, mon coup de coeur

– Joie de vivre, ici!

– Québec, Ville rapaillée!

Suggestions pour Clotaire Rapaille

Aidez Clotaire Rapaille! Vous avez en tête un nouveau slogan pour la ville, une nouvelle image, le code secret de Québec? Envoyez vos suggestions à : opinion@lesoleil.com

L’article au complet

Beaucoup de réponses à la demande du journal Le Soleil

Un article précédent

Voir aussi : Qualité et milieu de vie, Québec La cité.


59 commentaires

  1. rrobitaille

    5 février 2010 à 10 h 06

    Tient, la racaille est en ville. Lambeaumeur va pouvoir
    pavaner avec l’élite, comme jadis les laquais avec leurs
    Princes. Mais je ne devrais pas dire cela sur Québec Urbain
    plus proche de la Mairie que de la population.

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    • laéR

      5 février 2010 à 11 h 02

      Dans tous les cas, vous ne faites certainement pas partie de la population, mais plutôt des déchets de ce monde.

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    • Dominic B.

      5 février 2010 à 12 h 02

      Quel commentaire gratuit et imbécile.
      En quoi êtes-vous plus représentatif que les utilisateurs de QU ? avez-vous été élu ?

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      5 février 2010 à 15 h 37

      « Mais je ne devrais pas dire cela sur Québec Urbain
      plus proche de la Mairie que de la population ».

      J’ignore comment vous en êtes arrivé à une telle conclusion. Mais les points de vue exprimés ici sont si divers qu’ils contredisent votre affirmation. Faudrait également avoir l’honnêteté intellectuelle de constater un fait, soit le résultat des dernières élections, ce qui ne semble pas être un souci que vous auriez.
      Votre argumentaire, avec tout le respect voulu, est inexistant. Quand on veut plaider en faveur d’un point de vue, il est utile d’avoir plus de rigueur.
      Merci de lire Québec Urbain et de commenter.

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    • Georges-Antoine

      6 février 2010 à 15 h 39

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  2. dpierre

    5 février 2010 à 10 h 25

    Gageons qu’il va nous sortir: « La Capitale Nationale »
    Il va nous debattre de la societe distincte, la francophonie, etc.
    Attendons de voir si ca aura l’effet « Wow » escompté.

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  3. Jeff M

    5 février 2010 à 10 h 47

    Avant de dire des sottises, dites au moins de quelle façon il pourrait faire un mauvais travail, parce que là ça vole pas haut. C’est juste vu des jeux de mots comme critiques.

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  4. Floyd

    5 février 2010 à 10 h 51

    Voilà deux commentaires cheaps de redneck.

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  5. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

    5 février 2010 à 10 h 52

    une réaction qui tranchait : Pierr-Marc Bouchard qui était sceptique au début et qui a été impressionné par le M. Rapaille. J’ai pas l’impression que ce M. Bouchard doit être du genre béni-oui-oui, donc s’il a été impressionné, notre ami New-Yorkais doit avoir qqchose dans le « coffre ».

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  6. Genevieve Taillon Utilisateur de Québec Urbain

    5 février 2010 à 10 h 54

    Au risque de me répéter…

    La vraie question dans cette histoire n’est pas de savoir si ce projet de branding et l’embauche de Rapaille pour commencer la démarche sont une bonne idée ou non. Les interrogations et les discussions là-dessus sont tout à fait légitimes, mais les opinions divergent et seul l’avenir nous apportera les réponses.

    Le vrai problème, c’est que les manoeuvres de Labeaume, pour contourner l’obligation de la Ville à faire un appel de soumissions public pour tout contrat de 100 000$ et plus, sont illégales.

    Or, ce n’est qu’au Conseil municipal du lundi 1er février dernier, veille de l’arrivée de Rapaille, que monsieur Labeaume a déclaré pour la première fois que cette opération de branding était une initiative de PÔLE et que la Ville ne faisait que contribuer au paiement de la facture. Me semble, oui…

    Je trouve que le maire prend la chose pas mal à coeur pour un simple débiteur et que PÔLE est pas mal discret pour un instigateur de projet. Quelqu’un a vu un représentant de PÔLE, seul organisme signataire du contrat avec Rapaille, venir défendre le projet sur la place publique?

    Désolée, mais cette histoire est un mensonge imaginé après coup pour camoufler l’illégalité du contrat. Depuis le début, c’est Labeaume qui mène cette barque. Il n’a fait que demander (imposer) à PÔLE de signer le contrat pour lui.

    «Nul ne peut faire indirectement ce que la loi lui interdit de faire directement.»

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    • rrobitaille

      5 février 2010 à 11 h 12

      A ca c’est le style Lambeaumeur: Cachottier, mi-mensonge et
      mi-vérité.
      Il n’est pas devenu riche en cultivant des fleurs pour les
      pauvres de ce monde.

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      • Matrix Utilisateur de Québec Urbain

        5 février 2010 à 11 h 33

        Ben oui il a fait de l’argent ca doit être un méchant « crosseurs »

        Vous avez l’air très intelligent avec ce type de commentaire.

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      • FredBM

        5 février 2010 à 14 h 22

        Les Québécois et l’argent, une grande relation malsaine depuis 1759!

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      • Réal Utilisateur de Québec Urbain

        5 février 2010 à 14 h 35

        Il a fait de l’argent, c’est certain. Alors qu’il s’était engagé à demeurer 5 ans à la tête de la Société Nationale de l’Amiante privatisée par le gouvernement libéral et vendue à sa petite compagnie, Mazarin, qui avait fait des profits de 80,000$ l’année avant cet « achat », il est parti au bout de 7 mois avec 2,8$ millions dans ses poches, tout ça en ne créant aucune nouvelle richesse, aucun nouvel emploi. Cet épisode de sa vie donne une bonne idée du personnage, que je m’abstiendrai de traiter de crosseur ou du foureur de système.

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    • Matrix Utilisateur de Québec Urbain

      5 février 2010 à 11 h 32

      Y a rien d’illégal,

      Il a payé le montant maximum possible prévu et un autre organisme paye le reste. tout le reste est simplement des commentaires red neck et du Labeaume-bashing.

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      • fernand Utilisateur de Québec Urbain

        5 février 2010 à 12 h 33

        Matrix, cher spin docteur de l’Équipe labeaume, ne trouves tu pas étrange que c’est pas le Dr Fernand Lavçbrie qui se pavane avec Clotaire le dispendieux. Le maire a trigaudé un contrat pour éviter de passer par un appel d’offre. C’est pas très démocratique.

        De toute façon, je rassure Genevieve Taillon, j’ai déposé une plainte ocfficielle auprès du Ministre des Affaires Municipales. On n’a pas le droit de déviserun contrat pour éviter de suivre la loi. Le contrat est bel et bien de 300,000$ et c’est bel et bien au cabinet du maire que la décision a été prise de l’engager pas à Pôle Chaudière-Appalacle dont le président. le cher Dr Labrie, est comme un courant d’air.

        Comment se fait-il que Labeaume a fourni le contrat à tous les journalistes dans le cadre d’un point de presse à l’Hôtel-de-Ville avec Clotaire et la veille il ne pouvait le fournir aux élus?

        Est-ce que le Conseil de Ville est devenu un tapis pour qu’il s’essuie les pieds sans respect ?

        Pourquoi Clotaire se promène avec son attaché politique, Paul-Christian Nolin dans la limousine de la Ville ?

        Non, le Ministre comme le DGE tapera sur les doigts d’un maire mégalomane, peu respectueux des citoyens et de leurs représentants… Labeaume agit seul et sera blâmé encore une fois…

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      • Genevieve Taillon Utilisateur de Québec Urbain

        5 février 2010 à 13 h 39

        Je maintiens que c’est illégal.

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      • Matrix Utilisateur de Québec Urbain

        5 février 2010 à 15 h 56

        Genevieve , qu’est-ce qui est illégal ?

        Si j’ai pas le droit de dépenser plus de 100$ personnellement pour acheter quelque chose qui coute 200$ et je trouve quelqu’un qui accepte de payer la différence, en quoi ca rend mon geste illégal ?

        Tu pourrais dire : c’est discutable, c’est une facon de faire douteuse,
        les choses devraient pas ce faire ainsi, etc

        Illégal ? absolument pas
        Mais si vous êtes sûr, vite appelez la police

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      • Genevieve Taillon Utilisateur de Québec Urbain

        5 février 2010 à 16 h 43

        @Matrix

        Ce n’est pas le fait de partager le paiement de la facture en 4 qui est illégal. Ce qui est illégal, c’est de faire signer par un autre organisme un contrat initié par la Ville, et dont les termes ont été négociés par elle, dans le seul but de se soustraire à la loi.

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      • Manu

        6 février 2010 à 17 h 48

        ou inversement, qu’il eut fallu aller en appel d’offres pour un tel contrat

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    • Jeff M

      5 février 2010 à 16 h 03

      Si c’est effectivement illégal, c’est un problème. Je me permet quand même de critiquer les processus d’appel d’offre qui consiste simplement à choisir le plus bas soumissionaire. Avec cette règle aussi on peut en faire des conneries. On ne prend pas du tout en considération la qualité des soumissionaires.

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      • Genevieve Taillon Utilisateur de Québec Urbain

        5 février 2010 à 16 h 34

        Oui, c’est illégal. Oui, c’est un problème.

        Le processus d’appel d’offres pour les contrats de 100 000$ et plus n’oblige pas l’administration municipale à opter pour le soumissionnaire dont l’offre de services est la moins coûteuse.

        Dans le cas qui nous intéresse, selon le processus légal, même si Rapaille avait soumis l’offre de services la plus coûteuse parmi toutes, Labeaume aurait quand même pu la privilégier. Il n’aurait eu qu’à défendre son point de vue de la même manière qu’il le fait maintenant. Et comme il détient la majorité, il aurait probablement obtenu gain de cause, mais au moins, il aurait respecté la loi. Il n’aurait pas eu à la contourner en faisant signer le contrat par un autre organisme.

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      • Jeff M

        5 février 2010 à 16 h 42

        À ce compte, on s’entend que ce n’est pas le problème du siècle…
        Faudra quand même rester vigilant dans l’avenir comme pour tous les contrats du secteur public.

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      • heron23

        5 février 2010 à 20 h 19

        Je pense exactement comme Jeff M

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  7. Réal Utilisateur de Québec Urbain

    5 février 2010 à 11 h 31

    Espérons, malgré toutes les réserves que j’ai pour cette opération de psychanalyse à deux sous, que cet exercice grassement payé avec l’argent de nos taxes produise des résultats plus positifs que celui du PT Cruiser dont monsieur Rapaille affiche fièrement la paternité. Ce n’est pas parce que notre maire trippe sur ce gourou qui embellit parfois la vérité que toute la communauté doit le faire à plat ventre.

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  8. Jocelyn Bernard

    5 février 2010 à 11 h 36

    Une suggestion pour Québec:

    « Québec, mes origines, mon avenir. »

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  9. Gilles

    5 février 2010 à 12 h 09

    Laissez le gars travailler, nous verrons après les résultats…..

    Certains doivent avoir peur de se faire dire leurs vérités. C’est probablement ca le sentiment d’infériorité de Québec……donc certains attaquent avant même que ca commence…..

    Pour ma part j’aime 100 % mieux investir 300K dans le travail de Rapaille que des millions chez Cossette qui nous aurait donné les mêmes résultats amateur qu’ils nous ont donné pour le super logo du 400 e….

    Vous embarquez dans le jeu des journalistes qui ont besoin de sang pour vivre (des vampires quoi). Il faut créer l’histoire, la venue de Rapaille à Québec et le sujet qu’il doit traiter (que représente Québec) étant une bonne cible …..

    ON a peure de ce faire dire ce que nous sommes ?

    PS : Québec n’est pas parfaire……

    Et ca va ressortir…….

    Mais le bon aussi va ressortir…nous miserons la dessus….

    .

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    • heron23

      5 février 2010 à 20 h 24

      Oui Gilles, les Québécois (de Québec, entre autres) n’aiment pas se faire dire des vérités. On rigole des blagues sur les Ontariens, les Newfies ou les Français. Mais dès que l’un de ces derniers osent se moquer de nos mentalités ou de notre accent, on grimpe dans les rideaux.

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  10. David M

    5 février 2010 à 12 h 34

    Je suis très déçu des commentaires de plusieurs personnes (je ne parle pas seulement de QU). L’homme n’a même pas débuté son travail que déjà il se fait juger sur son nom et sur son apparance. C’est dégueulasse et superficiel. Si le résultat n’est pas satisfaisant, je serai le 1er à le critiquer. Mais là, il vient de débarquer de l’avion. Je suis bien heureux qu’à mon travail, mon boss regarde le résultat plutôt que mon nom et mon look pour juger de mon travail.

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  11. J-M

    5 février 2010 à 13 h 40

    J’ai entendu à la radio que le 300 000$ était composé de 4x 75 000$… Un de la Ville de Québec, un de Pôle Chaudière-Appalaches, un de Tourisme Québec et l’autre du Gouvernement du Québec. Et 300 000$, c’est pas cher pour la renommée de cet homme. Également, j’appuie le commentaire qu’il est mieux de donner 300 000$ à un homme reconnu dans son domaine, plutôt que de donner des millions à un Cossette qui se cherche et gosse des beaux petits 400 en rubans.

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    • Genevieve Taillon Utilisateur de Québec Urbain

      5 février 2010 à 14 h 10

      @J-M

      Oui, vous avez raison, la facture de 300 000$ sera partagée entre 4 débiteurs, ce qui ne pose pas de problème légal.

      La manoeuvre illégale se situe dans le fait que l’administration Labeaume a fait signer par PÔLE, le contrat de 300 000$ avec Clotaire Rapaille, pour éviter d’avoir à se soumettre au processus de soumissions public, tel que l’exige la loi pour tout contrat de 100 000$ et plus.

      Nul ne peut faire indirectement ce que la loi lui interdit de faire directement. Or, il est très clair que Labeaume a fait de façon détournée ce que la loi l’empêchait de faire explicitement.

      Cette manière douteuse n’était pourtant pas nécessaire, puisque le processus légal permettait à Rapaille de soumettre une offre de services et d’être retenu.

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      • fernand Utilisateur de Québec Urbain

        5 février 2010 à 19 h 16

        Geneviève a raison. Un contrat ne peut être divisé pour passer en dessous des normes imposées par la loi. La loi est claire à ce sujet.

        Dans la charte de la Ville à l’article 19 on lit ceci: « Le comité exécutif peut, après avoir demandé des soumissions, adjuger tout contrat qui relève de la compétence du conseil de la ville et dont le prix n’excède pas le montant mis à la disposition du comité exécutif à cette fin, à l’exception d’un contrat qui entraîne une dépense excédant 100 000 $ qui aurait pour effet d’engager les crédits de la ville, prévus au budget, pour une période excédant l’exercice financier qui suit celui au cours duquel il est adjugé. »

        Je vais aller plus loin. La loi des Cités et Villes dit ceci:

        29.5. Toute municipalité peut conclure une entente avec une autre municipalité, un établissement public visé à l’article 29, une commission scolaire, un établissement d’enseignement ou un organisme à but non lucratif, dans le but d’accomplir en commun l’un ou l’autre des actes suivants:

        1° obtenir du matériel, des matériaux ou des services;
        2° contracter des assurances;
        3° exécuter des travaux;
        4° demander des soumissions pour l’adjudication de contrats.
        Entente.

        Malgré la Loi sur l’interdiction de subventions municipales (chapitre I-15), une entente visée au premier alinéa peut également être conclue avec le propriétaire d’un parc de maisons mobiles.

        Entente.

        L’entente peut ne porter que sur une partie du processus menant à l’accomplissement de l’acte visé.
        1985, c. 27, a. 14; 1992, c. 21, a. 121; 1996, c. 2, a. 209; 1996, c. 27, a. 3; 2003, c. 19, a. 106; 2009, c. 26, a. 17.

        Délégation de pouvoirs.

        29.6. Toute partie à une entente prévue à l’article 29.5 peut déléguer à une autre tout pouvoir nécessaire à l’exécution de l’entente.

        Soumission par le délégataire.

        Si le pouvoir de présenter une demande de soumissions est ainsi délégué, l’acceptation d’une soumission par le délégataire lie chaque délégant envers le soumissionnaire.
        1985, c. 27, a. 14; 1996, c. 2, a. 209; 2003, c. 19, a. 106.

        Adjudication des contrats.

        29.7. Sous réserve du deuxième alinéa, les règles d’adjudication des contrats par une municipalité s’appliquent à tout contrat qui doit être accordé à la suite d’une entente prévue à l’article 29.5. Le montant total des dépenses de toutes les parties en vertu du contrat doit être pris en considération aux fins de l’application de ces règles.

        Exercice du pouvoir.

        Le ministre des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire peut, dans la mesure où est respecté tout accord intergouvernemental de libéralisation des marchés applicable à toute municipalité intéressée, exercer le pouvoir que lui accorde l’article 573.3.1 pour tout contrat visé au premier alinéa.
        1985, c. 27, a. 14; 1992, c. 21, a. 122; 1994, c. 33, a. 3; 1996, c. 2, a. 209; 1999, c. 43, a. 13; 2001, c. 25, a. 9; 2003, c. 19, a. 106; 2005, c. 28, a. 196; 2009, c. 26, a. 109.

        Ceci veut dire que c’est le montant total du contrat qui doit être pris en considération pour que le Ville en dispose.Ce n’est pas la première fois que Labeaume contrevient à la loi. La conférence de presse pour le Colisée a donné raison à ma plainte au DGE. Là Labeaume fafine sur le contrat d’expertisde de 22,000$ qu’il a rendu public lors de cette conférence de presse. Il va perdre encore une fois car cette étude a servi en période électorale seulement à mousser la candidature de l’Équipe Labeaume et j’en sais quelque chose. Or, encore là la loi est claire, tout documnent qui a pour objet de favoriser une candidature en période électorale. Désolé Régis, tu as encore tort et tu devras ajouter 22,000$ à ton rapport…

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  12. Philippe

    5 février 2010 à 14 h 57

    … est-ce qu’on nous a demandé si on se sentait lésé par le branding non-officiel de « la vieille capitale » ?

    Non.

    Labeaume a jugé que ça fonctionnait pas…..

    Tous les slogans mentionné dans cet article sont ridicule….

    « Ma ville, mon avenir! »……. C’mon!! C’est nul!

    NUL!!!!!!

    pourquoi pas

    « Une ville à 100 000$ de moins »?

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    • Genevieve Taillon Utilisateur de Québec Urbain

      5 février 2010 à 15 h 38

      @Philippe

      Heureusement (car on ne s’en sortirait pas), l’administration municipale n’a pas à demander l’avis des citoyens sur chacune de ses initiatives. Mais des règlements et des lois sont en place afin d’assurer aux citoyens que cette administration respecte les processus de protection de l’intérêt public dans toutes ses décisions. Par conséquent, qu’on ne nous ait pas demandé notre avis sur ce projet de renouvellement de l’image de marque de notre ville n’est pas irrégulier. Labeaume est maire et, qu’on soit d’accord ou non avec ses projets ou avec sa manière, il a, en toute légalité, une large marge de manoeuvre. Mais, je le répète, il n’a pas le droit de faire indirectement ce que la loi lui interdit de faire directement, comme conclure un contrat de 300 000$ par l’entremise d’un autre organisme pour éviter le processus obligatoire d’appel d’offres.

      Aussi, tous les slogans, bons ou mauvais, trouveront toujours des adeptes et des détracteurs. Vous trouvez ridicule et nul «Ma ville, mon avenir», vous en avez le droit et d’autres partagent sans aucun doute votre opinion. Mais le slogan que vous trouverez génial sera tout aussi ridicule et nul pour d’autres personnes, je peux vous l’assurer. Nous n’obtiendrons jamais l’unanimité là-dessus. Il ne s’agira pas de juger du futur slogan selon nos goûts, mais selon les résultats que nous obtiendrons grâce à lui et aux autres outils.

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  13. AlainQc

    5 février 2010 à 16 h 20

    Pourquoi vouloir changer l’image de Québec puisque celle-ci attire les touristes déjà en grand nombre ? Pourquoi gaspiller les fonds publics pour trouver un slogan destiné à détrôner celui qui fonctionne déjà ? La ville de Québec est attirante car grâce à son surnom de Vieille capitale, les étrangers ont envie de venir voir la seule ville d’Amérique du Nord ayant conservé ses fortifications, son patrimoine urbain, ses rues étroites, etc. Le montant du contrat à ce monsieur aurait beaucoup mieux servi en publicité à l’étranger puisque la ville a déjà un renom. Si New York est devenue « La grosse pomme » (je ne vois pas le rapport avec la ville mais enfin…), Québec pourrait devenir « Le petit citron », il parait que ça attire.

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    • Sébastien

      5 février 2010 à 18 h 02

      Alors pourquoi les immigrants ne sont pas attirés par Québec? les jeunes? les travailleurs? Pourquoi les entreprises de hautes technos à Québec ont tant de difficultés à recruter du personnel compétents?

      C’est pas juste les touristes et les fonctionnaires qui feront de Québec un must pour attirer des nouveaux résidents !

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      • Yvan Dutil

        6 février 2010 à 09 h 37

        Je vais répondre à tes questions: à Québec on engage des chums.

        Entre Montréal et Québec, le ratio d’offre d’emploi est du 7-10 pour 1. Donc, si tu es un travailleur spécialisé tu as pas mal plus de chance de te ramasser à Montréal. Si tu pers ta job, tu as le choix d’aller à Montréal ou de prendre le risque de végéter à Québec. De plus, cette situation s’applique aussi à ton conjoint/conjointe.

        Pour régler le prétendu problème de pénurie de personnel qualifié, il faut être plus souple à l’embauche ou recruter à l’international. Si tu es une petite PME, tu n’a que la première option. Si tu es un organisme avec une bonne réputation, tu peux utiliser la deuxième. L’INO n’a absolument aucun problème de recrutement. Pour chaque offre d’emploi spécialisé, l’INO reçoit plus d’une centaine de CV.

        ABB Bomem n’ont plus n’avais pas de misère à recruter du monde pour faire de l’instrumentation spatiale. En 2000, ils n’ont pas fait la fine gueule et ont engagé une parquet de scientifiques qui venaient d’autres domaines. Maintenant, qu’ils ont une réputation, ils croulent sous les CV.

        Le problème de bien des entreprises, c’est qu’elles ne réalisent pas qu’elles ne pourront pas avoir l’expert hyperspécialisé qu’elle veulent au salaire qu’elles veulents.

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  14. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    5 février 2010 à 16 h 53

    Passer par sous-organisme pour détourner les processus de soumission, c’est le même genre de légalité que de mettre la moitié de vos revenus au nom à votre femme pour vous sauver de l’impot.

    La loi a des faiblesses et des trous et il y a toujours un petit futé qui trouve le moyen de s’en servir. Si au sens littéral de la loi municipal ce n’est pas illégal, pour moi c’est non seulement illégal mais aussi immoral. Méchante crossette comptable.

    Imaginez qu’il y ait 200 sous-organisme de la Ville, il pourrait donner un contrat de 2 millions à ses chums sans que personne ne puisse lever le petit doigt…

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    • fernand Utilisateur de Québec Urbain

      5 février 2010 à 19 h 21

      Éric la loi est claire et je l’ai énoncée dans un commentaire ci-haut en citant les extraits de la loi des Cités et Ville qui s’appliquent à Québec.

      Comme dans le cas de pla conférence de presse du Colisée où le DGE a dit qu’il contrevenait à la loi, le Ministre dira la même chiose avec ce cas qui lui a été soumis.

      Labeaume n »est pas un démocrate mais un mégalomane…

      Il n’a même pas besoin du Coinseil de Ville. Il soumet les contrats à la presse pas aux élus. Ça démontre peu de respect pour les conseillers élus par la population. Pour lui le Conseil de Ville est une formalité qu’il auimerait bien se passer y compris la période de questions de citoyens…

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  15. Gwido

    5 février 2010 à 18 h 28

    Comme slogan, je proposerais celui-ci, inspiré de Robert Charlebois:

    «Québec, ça commence par un Q pis ça finit par un bec!» :)

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  16. Jean Cazes

    5 février 2010 à 19 h 21

    Je suis critique, très critique même du choix de ce monsieur Rapaille, mais pas au point de dire des niaiseries comme la première à l’affiche de ce bloc de commentaires. Heureusement, on ne parle pas de la majorité. Enfin…

    À vrai dire, je demeure profondément convaincu qu’un sondage mené auprès de la population par Le Soleil, Radio-Canada, Québec Urbain (ben oui!) et autre média crédible aurait très bien pu faire l’affaire. Faire participer les citoyens à vaste échelle (et non en vase clos) est pour moi beaucoup plus « porteur »…

    Cela dit, j’ai une crainte: peu importe le résultat de slogan qui émergera de cette recherche « dans nos cerveaux reptiliens » (!!!), il y a fort à parier qu’il sera repris, déformé et caricaturé par les ti-counes réactionnaires, sans culture et fort en gueule de Québec qui eux, comme je l’apprend en parcourant certains blogues de Montréal, ternissent encore et toujours l’image de MA ville à l’étranger!!

    Par exemple, les « mononc' » comme moi se souviennent du fameux « Un été mer et monde » de 1984 transformé en « Un été merd… et monde » (un été dont je garde pourtant d’excellents souvenirs)…

    Au fait, parlant de qualité de vie, on annonce aujourd’hui que Québec est la ville au Canada où le taux de chômage est le plus bas:

    http://www.cnn.com/video/flashLive/live.html?stream=stream2&hpt=T1

    Autre raison d’habiter… la Vieille Capitale, peu importe son slogan!

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      5 février 2010 à 22 h 55

      * Voir aussi le billet précédent.

      * « Faire participer les citoyens à vaste échelle (et non en vase clos) est pour moi beaucoup plus « porteur »… »

      Vous auriez dans doute proposé que Robert Lepage vous consulte avant de créer le Moulin à Images. Ceci dit avec respect, cher ami :)

      Le langage (porteur, transparent, compétences transversales, etc) est facile d’usage et connu.
      Antoine Robitaille vous éclairera sur le sujet :)

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      • Genevieve Taillon Utilisateur de Québec Urbain

        6 février 2010 à 10 h 29

        @ Gérald Gobeil

        Vous comparez ici la création d’une oeuvre d’art par Robert Lepage avec une démarche de marketing de la Ville de Québec. Ce n’est pas très honnête intellectuellement. Évidemment que Lepage n’a pas à consulter les citoyens avant de créer le Moulin! Il s’agit d’un artiste et non d’un élu.

        Ceci dit, comprenons-nous bien: la Ville n’a pas l’obligation de demander aux citoyens la permission d’entreprendre cette démarche de positionnement. Bien sûr, il aurait été plus habile politiquement de la part de Labeaume d’informer d’abord la population de son problème de vieillissement, puis de lui soumettre le plan d’action de son administration pour pallier ce problème.

        Quant à impliquer la population (citoyens, journalistes, élus, etc.) dans une démarche préliminaire, en amont de l’intervention des experts, dans une tempête d’idées populaire, dans la recherche néophyte d’une définition de notre identité collective, juste deux ou trois semaines, certains sont en droit d’y rêver et de regretter qu’une telle étape n’ait pas été prévue.

        Certes, cette étape n’est pas obligatoire, pas indispensable -personnellement, je n’y tiens pas particulièrement-, mais j’entends et lis souvent de la part de mes concitoyens, des médias et de certains élus que cette manière d’entreprendre le chantier aurait été rassembleuse et fertile. Pourquoi la rejeter d’emblée?

        (Et pourquoi vous en prendre au langage utilisé par votre interlocuteur pour exprimer sa pensée?)

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      • Manu

        6 février 2010 à 18 h 13

        Effectivement, la comparaison avec Lepage ne tient pas…

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    • Pat

      6 février 2010 à 09 h 29

      Si j’ai bien compris, l’idée de l’exercice est de définir une stratégie de positionnement pour la ville, et pas simplement un slogan sorti de nulle part. Et une stratégie de positionnement, ça ne s’improvise pas. Je trouve donc que le 300000$ risque d’être plus rentable et meilleur pour l’image de la ville que ce que pourrait produire un simple sondage. L’idée est de séduire les consommateurs (touristes), pas de faire plaisir aux citoyens.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      6 février 2010 à 11 h 11

      Clotaire Rapaille est un créatif. Voilà le rapprochement.

      Quant à M. Cazes, c’est un ami de longue date qui ne s’étonnera pas de ma taquinerie :)

      De toute façon, je vous remercie pour vos commentaires fort bien élaborés.

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  17. juju

    5 février 2010 à 23 h 43

    D’accord avec Mr Gobeil.
    En lisant certains commenteux sur le sujet j’ai été inspiré d’un slogan.

    Québec- Innovateurs s’abstenir…

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  18. Georges-Antoine

    6 février 2010 à 15 h 45

    Beaucoup de commentaires de chiâleux sous-éduqués, pas grand chose de constructif.

    Tout le monde défend son parti pris sans tenir compte de la logique pure et simple.

    D’un côté, comme de l’autre, je vous dis d’attendre le résultat avant de pleurnicher.

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  19. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

    6 février 2010 à 18 h 37

    Québec, ville branchée…

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  20. Nicolas

    6 février 2010 à 21 h 16

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  21. juju

    7 février 2010 à 01 h 10

    Ouais, ça fait peur ce délire. Mais les génies sont souvent déconnectés de la sorte…

    Encore un fois attendons voir. C’est un ostie de show jusque là…Vous devriez être content, côté marketting, si il fait pas la job, il aura cependant mis la Capitale partout dans les médias ne seraisse que quelque jours…

    Je lui donne un point en partant.

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  22. Léonce Naud

    8 février 2010 à 08 h 23

    Richard Martineau

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  23. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

    14 février 2010 à 13 h 39

    celle-ci sérieuse est excellente

    Quant à Jacque Bolduc, c’est davantage la bière que la poutine qui semble avoir inspiré l’une de ses suggestions, soit «Québec, innovatrice depuis 1608», une variante amusante du célèbre slogan de Moslon Ex, «Jeune depuis 1903».

    celle là moins sérieuse est tout aussi savoureuse

    Finalement, dans une courte mais efficace missive, Jacques Bourque y va d’une savoureuse boutade, ironisant sur la cure de rajeunissement proposée par le maire Labeaume : «Je propose « Québec, ville des calottes par en arrière », ça fait tu assez jeune, ça?»

    tiré de

    http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/201002/14/01-949500-de-laide-pour-rapaille-amour-et-diamants-pour-quebec.php

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  24. Jaja

    17 février 2010 à 03 h 50

    Laissez faire vos slogans.

    On est entrain de faire évoluer les mentalités de la ville.

    On actualise la psyché collective de la capitale.

    Et, de manière visible, on en a grand besoin!
    : )

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