Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Tout près de 9 millions investis à l’hôtel de ville

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 10 mars 2010 5 commentaires

Source : Karine Gagnon, Journal de Québec, le 10 mars 2010

Dans un état de délabrement aussi avancé que le stationnement de la bibliothèque Gabrielle-Roy, celui de l’hôtel de ville de Québec sera retapé au coût de 8,7 millions à compter des prochaines semaines, ce qui nécessitera sa fermeture presque complète jusqu’en décembre.

la suite


Plusieurs stationnements nécessitent des rénovations sur le territoire de la ville,
dont celui de Place Jacques-Cartier.


Bien hâte de voir quelle vocation et l’allure que prendront les jardins de l’hôtel de ville après ces travaux. J’aimais bien m’y rendre pour écouter les musiques militaires lors du festival, sauf qu’il y était moins agréable de s’y asseoir…

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Message d'intérêt public, Québec La cité.


5 commentaires

  1. Pier Luc

    10 mars 2010 à 17 h 48

    Surprenant qu’un stationnement sous-terrain dans lequel on ne met normalement pas de calcium qui se trouve sous le terrain en gazon de l’Hôtel de Ville soit endommagé comme les vieux viaducs de la même époque…

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    • Léonce Naud

      11 mars 2010 à 08 h 27

      Je suggère que le problème est le suivant:
      1) Le calcium pénètre dans le stationnement souterrain avec le mélange de sel et de neige qui adhère aux véhicules (gardes-boue, ailes…).
      2) La chaleur du lieu fait fondre le tout, la saumure liquide qui en résulte pénètre dans le sol en béton du stationnement et entre en contact avec les tiges de fer d’armature.
      3) Ce liquide salé provoque la corrosion de l’armature. Les tiges d’acier augmentent de volume et provoquent l’éclatement du béton.

      Devinette: quelles mesures prendre pour que l’eau salée ne puisse en aucun cas entrer en contact avec l’acier d’armature dans le cas de stationnements souterrains ?

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  2. Pierre-Luc Auclair Utilisateur de Québec Urbain

    10 mars 2010 à 17 h 53

    Pas si surprenant. Les dalles dans un stationnement sous-terrain ne sont vraiment pas aussi épaisses et sont soumises à beaucoup de vibrations quand même. La Presse en parlait récemment je crois, en suite à un effondrement qui a fait un mort l’an passé.

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  3. Manu

    11 mars 2010 à 08 h 31

    Moi ce qui m’inquiète c’est

    Construit il y a 40 ans, « le stationnement a atteint sa durée de vie utile »,

    Pardon??? On a construit ça pour seulement 40 ans? Est-ce que ceux qui ont demandé un stationnement sous-terrain qui ne durerait que 40 ans sont encore en vie qu’on leur fasse payer leur incompétence? C’est vrai qu’en 1970 il était normal dans les mentalités d’époque de dépenser sans compter les coûts de développemetn, et encore moins ceux d’entretien. Mettons ça sur la dette publique, il y en aura d’autres pour payer nos conneries plus tard.

    Non mais 40 ans…

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