Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Des supports à vélo sur les bus de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 mars 2010 25 commentaires

Isabelle Porter
Le Devoir

Québec — Bonne nouvelle pour les cyclistes de la capitale: à compter du 1er juin, une première flotte de 25 autobus sera dotée de nouveaux supports à bicyclette. Le service, qui touche uniquement les nouveaux appareils articulés desservant le centre-ville, sera disponible sur un total de 67 bus à la fin de 2011.

Situés à l’avant des véhicules, les supports peuvent contenir chacun deux bicyclettes. La structure est rétractable et peut être retirée lorsqu’elle est inutilisée. Un système de verrou automatique s’actionne lorsqu’on pose la roue du vélo sur la structure.

Dans un premier temps, seuls les nouveaux appareils articulés du réseau 801 auront des supports. Suivront plus tard, cet été, ceux du réseau 800, pour un total de 45 appareils d’ici l’automne prochain.

La suite

Voir aussi : Vélo.


25 commentaires

  1. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    25 mars 2010 à 09 h 04

    La première batch d’articulés livrée à l’automne comportait déjà des racks à vélo, ils les ont enlevé pour l’hiver.

    Je suis bien curieux de voir si ca va bien marcher d’avoir choisi un service aussi saturé pour mettre en vigueur un tel service…

    Je m’attends aussi à ce que le RTC soit inondé de réclamations pour des vélos de luxe brisés [qui l’étaient peut-être déjà avant].

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    • Christophe

      25 mars 2010 à 09 h 19

      La STLévis en avait posé, l’été passé, sur trois de ses parcours. Il était clairement indiqué qu’elle n’était pas responsable des bris ni des voles. À mon avis, le RTC ne prendra pas le risque de ne pas indiquer ce genre d’information.

      De plus, il y a des points précis où l’on peut embarquer ou débarquer son vélo, ça évite de devoir en embarquer à chaque arrêt.

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        25 mars 2010 à 09 h 35

        Le fait d’afficher « pas responsable de … » ne vous décharge pas de vos responsabilités pour autant. S’il y a une cabochon qui va foutre un bicyk à 3000$ en avant du bus pis il se fait endommager, il peut très bien aller aux petites créances et risque même de gagner.

        Bonne idée de limiter les lieux d’embarquement, question de ne pas foutre le bordel à des endroits inopportuns comme Dorchester où ca ne fait pas que paralyser le métrobus mais la multitude d’autres parcours qui attendent derrière. Assez bordélique d’ailleurs quand ton bicycle est celui du fond sur le rack…

        On peut déjà supposer que la plupart des utilisateurs voudront simplement embarquer dans St-Roch pour monter jusqu’au Grand Théatre.

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  2. Al Capone

    25 mars 2010 à 09 h 57

    Totalement inutile et stupide comme idée… Ça fait juste ralentir l’autobus.

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  3. ELalonde

    25 mars 2010 à 11 h 37

    Je peux comprendre que certains trouvent ça inutile. Moi, non.

    Je me déplace souvent à vélo au travail et quand ils annoncent de la pluie seulement une partie de la journée (soit le matin ou le soir), je rennonce de le prendre au risque de me rendre ou de revenir détrempé.

    Alors au moins je pourrais au moins revenir en bus :-)

    Mais bon, est-ce que ça vaut le prix qu’ils vont mettre là-dessus?

    Il y a tellement peu de vélos à Québec.

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    • Erick Utilisateur de Québec Urbain

      25 mars 2010 à 13 h 56

      Si tu as un endroit sécuritaire à la job pour laisser ton vélo, tu peux toujours le laisser là pour la nuit et le ramener le lendemain soir.

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      • ELalonde

        25 mars 2010 à 14 h 27

        Ca n’a aucun sens. Si je veux revenir en vélo le lendemain, je fais quoi? Et il n’y a pas d’endroit sécuritaire pour laisser un vélo, à part chez soi.

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        25 mars 2010 à 14 h 48

        Tu montes en bus le lendemain matin, possible d’ailleurs qu’il fasse aussi mauvais le lendemain matin d’ailleurs.

        Si tu as un rack à bicycle à l’ouvrage où tu peux l’attacher c’est déjà mieux que rien. On est à Québec ici, pas dans Harlem, alors à moins d’être vraiment dans un endroit peu recommendable, si le bicycle ne vaut pas cher, il a des bonnes chances d’être encore là et en bon état le lendemain. De toute façon si on parle d’un bicycle de compétion, je le laisserais même pas trainer en plein jour…

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      • ELalonde

        25 mars 2010 à 15 h 34

        Je pense que tu ne comprends pas.

        Le but c’est que je me rendre au travail à vélo le plus possible.

        En ce moment, s’il fait mauvais le matin, je ne prend pas mon vélo. S’ils annoncent mauvais le soir, non plus.

        Donc dans les 2 cas, je perd deux ‘rides’ de vélo. Je dis ‘perd’ parce que ça fait parti de mon training.

        Si j’utilise ta solution, que je me rend à vélo le matin et que je laisse là le soir pour prendre l’autobus, je suis pogné le lendemain pour revenir en autobus. Donc j’ai tout de même perdu deux ‘rides’. Et s’il fait mauvais pendant des jours, mon vélo va rester là.

        Évidemment, tu vas me dire habille toi en conséquence, sauf que je ne me déplace pas sur un vélo pépère avec des sacoches et je n’ai pas le temps ni d’endroit pour me doucher rendu au travail. Et comme je dois être habiller propre.

        Tu peux dire que Québec n’est pas Harlem (un quartier devenu plutôt sécuritaire en passant), les vols de vélo sont fréquents à peu près partout. Et je ne me déplace pas avec un vélo de compétition, mais pas une vieille patante non plus.

        En tout cas, je ne sais même pas pourquoi j’ai à me justifier. D’une manière ou d’une autre, s’ils implémentent ce projet, je vais l’utiliser. Sinon, je vais continuer à faire comme avant et ça ne changera rien.

        J’ai dit moi-même dans mon commentaires que je me questionne si le prix en vaut la peine alors pas besoin de me trouver des solutions de rechange, je pense que je suis capable de gérer mon bicycle à pédale comme un grand.

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        25 mars 2010 à 16 h 18

        On t’a pas demandé de te justifier…

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  4. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    25 mars 2010 à 13 h 54

    Je ne trouve pas que c’est une mauvaise idée en soit, surtout dans une ville pleine de côtes comme ici, je trouve même ca intéressant et je pourrais même m’en prévaloir moi-même. J’avais déjà vu ca dans une autre ville et je trouvais ca cool.

    En Europe c’est rendu la grosse mode, de nombreux trains francais (intercités toutefois) acceptent les vélos gratuitement et la mode de faire un bout en vélo et un autre bout en TEC semble particulièrement répandue dans les pays scandinaves, où pourtant le climat et le relief n’est pas plus qu’ici en faveur de ce mode de transport.

    Sauf que je crains que ca nuise à l’efficacité du système, surtout en mettant ca sur un parcours aussi critique que le métrobus. J’aurais moins de misère à comprendre qu’ils mettent ca sur des bus ordinaires assignés à des parcours locaux.

    S’agit de mettre des balises pour éviter que ca nuise à l’efficacité du réseau. Comme Christophe le dit à propos de Lévis, ils peuvent restreindre les arrêts, quitte à en limiter l’usage qu’aux principaux terminus pour éviter de paralyser le circuit à mi-trajet.

    Comme Montreal le fait avec ses métros et trains de banlieue, ils peuvent aussi en interdire l’usage aux heures de pointe, quoi que dans le cas d’un rack à vélos devant un bus, ils n’enlèvent aucun place aux autres voyageurs ,contrairement au métro.

    Pour ce qui est du prix, si ca ne consiste qu’à mettre des racks à vélo à 500$ l’unité devant les 500 bus de la flotte du RTC, c’est quand même pas si pire que ca. Ca ne couterait que la moitié du prix d’acquisition d’un bus pour équipper la totalité de la flotte. Evidemment je ne calcule pas là-dedans le salaires des employés qui les installent et désinstallent deux fois par année + réparations. Vu sous cet angle, ca peut couter assez cher et c’est peut-être pas ca la priorité.

    L’autre idée que j’amène, pourquoi ce service supplémentaire devrait-il obligatoirement être gratuit? Quel prix êtes-vous pret à payer pour faire transporter votre bicycle de Marly jusqu’au Zoo pour ensuite aller faire le tour du Lac Beauport où je ne sais quoi? Ou juste pour monter la haute-ville le matin sans arriver tout en sueurs au travail?

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  5. Pier Luc

    25 mars 2010 à 15 h 32

    Juste deux espaces, il se passe quoi si tu arrive avec ton vélo et que tu ne peux pas le mettre sur le bus parce qu’il y en a déjà deux? Ça risque d’être un chiar…

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    • ELalonde

      25 mars 2010 à 15 h 36

      Il se passe la même chose que quand il n’y a pas de place dans le bus: tu attends ou tu fais autrement.

      De toute manière, il y a tellement peu de vélos à Québec, je doute que le monde vont s’en servir tant que ça.

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    • Erick Utilisateur de Québec Urbain

      25 mars 2010 à 16 h 21

      Pis en plus c’est pas tous les bus qui auront un rack, juste les artics, donc faudra déjà attendre une bus verte, et si le rack est déjà utilisé, en attendre une autre avec un rack. Si ca se bat trop pour mettre les vélos, plusieurs comprendront vite le truc d’aller prendre le bus plus en amont…

      Si jamais ca devient « trop » populaire, faudra qu’ils pensent à un autre moyen, mais au moins la popularité permettra justement de justifier ce moyen.

      Même principe avec l’espace handicapé qu’ils sont supposé officialiser à un moment donné…

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  6. Mym

    25 mars 2010 à 16 h 39

    Ils ont un système semblable à Ottawa et ça fonctionne très bien, même sur les lignes très occupées; en effet le cycliste a amplement le temps d’attacher son vélo le temps que la dizaine de personnes à l’arret montent, et il monte après. Tout simplement. Aucun temps d’attente supplémentaire. Et quand le rack est plein, tu attends le prochain.
    Moi je trouve ça génial, ça va encourager les gens à faire du vélo, même sur des grands trajet (ça permet de faire juste la moitié de la balade en vélo), et aussi de voir de coins de Québec moins accessible si on est à un des bouts du trajet. Si les gens embarquent, ils vont surement en installer plus.

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  7. Georges-Antoine

    25 mars 2010 à 17 h 56

    Les vélos pourront servir de pare-choc pour éviter d’endommager les autobus lors des impacts.

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  8. Hola

    25 mars 2010 à 18 h 28

    …….jusqu’à ce que, par accident, un bus écrase un passager entrain d’attacher son vélo à l’avant du bus!

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  9. ELalonde

    25 mars 2010 à 18 h 32

    J’ajouterais, étant moi-même cycliste, que ces racks n’encourageront pas beaucoup l’utilisation du vélo.

    Ce qui manque à Québec c’est une véritable bande cyclable Est-Ouest et une Nord-Sud. Il y en a, mais elles sont toutes raboutées. C’est un peu n’importe quoi.

    Et un commentaire que j’entend souvent des autres cyclistes, c’est le danger que pose les automobilistes lorsqu’on est à vélo à Québec. Je me sens pas mal moins en sécurité en roulant à Québec qu’à Montréal, ou ailleurs. Je crois qu’il y a tellement peu de vélos à Québec que certains automobilistes ne sont pas trop habitués. Ce que je vois le plus souvent c’est des voitures qui roulent vraiment trop proche du cycliste qui est déjà collé sur le bord de la chaussée. Ou des automobilistes qui ne font jamais leur angle mort à droite quand il tourne à droite, même si on en parle clairement dans les cours de conduite. Dans le premier cas, il est quasiment plus sécuritaire de rouler directement au milieu d’une voie pour ne pas se retrouver coincé entre le trottoir et une voiture et dans le second cas, on doit attendre à tout coup avant de traverser (même si on devrait suivre le traffic) à une lumière verte puisqu’on ne peut pas se fier que les conducteurs sur la droite vont regarder avant de tourner.

    Bref, des petites pancartes de sensibilisation comme ceux qu’on a pour les pneus d’hiver ou même pour le feu, coûteraient sûrement moins chers et rappeleraient à cette minorité de conducteurs négligeants qu’il n’y a pas que des voitures sur la voie publique. Vous en connaissez sûrement des automobilistes qui se croient dans leur salon quand ils conduisent et qui ne sont pas attentifs. Ces gens ont besoin de rappels.

    Je crois bien que je vais m’installer sur une piste cyclable et faire signer une pétition à ce sujet pour envoyer ça à l’hotel de ville. :-)

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    • Erick Utilisateur de Québec Urbain

      26 mars 2010 à 09 h 05

      C’est une réalité que les Québécois sont des chauffards, les pires en Amérique et faut probablement aller en Grèce ou quelque part du genre pour trouver pire. Ce n’est pas juste « à » Québec le problème mais « au » Québec. Les Montréalais ne sont pas plus prudent que les gens de Québec, c’est même le contraire. La différence majeure que je vois entre Qc et Mtl, c’est qu’à Mtl ils n’ont pas embarqué dans l’histoire du virage à droite sur la rouge… ils ont bien fait et on aurait du faire pareille!! Car c’est rendu dangereux plus que jamais de traverser à pied ou à bicycle une intersection achalandée. A titre d’exemple, l’endroit où je débarque de mon bus dans mon secteur et où je dois traverser une intersection importante où c’est même pas interdit de tourner à droite sur la rouge, c’est vraiment périlleux, le monde tournent sur la rouge, se crissent de la lumière de piétons (et les piétons aussi par le fait même), on en voit même qui virent en double sur la rouge!!

      En plus ici à Québec les flics ne donnent plus de tickets à personne pcq ils sont en moyens de pression, alors vous pouvez bien passer à 200 sur les rouges…. y a pas de problème.

      Pour ce qui est de la sécurité des cyclistes qui roulent à droite, je ne trouve pas ca si pire que ca (du moins pas pire que le reste). Y a des endroits où l’on pas le choix de les coller si on veut pas faire un face-a-face avec un autre char. Quand les cyclistes choisissent des artères sécuritaires, en général ca se passe bien. Quand je vois des cyclistes rouler sur la route qui relie Valcartier à Ste-Catherine alors qu’il y a une piste cyclable parallèle tout près…. pas très intelligent!

      Pour ce qui est des virages à droite, le trafic automobile étant plus rapide, l’automobiliste n’a pas de raison de ne pas voir les cyclistes devant lui. Le seul danger c’est lorsque les cyclistes dépassent les autos par la droite dans le trafic ou à des feux de circulation, et ca, ils (cyclistes) ne devraient jamais faire ca. C’est eux qui sont imprudents dans ce cas. C’est à celui qui enfreint les règles de circulation de s’auto-protégér et non pas aux autres de le prendre par la main.

      Le pire je trouve pour les cyclistes c’est les chars stationnés en rangée qui réduisent la voie de circulation au point où c’est souvent même pas possible de s’y croiser deux autos. La c’est vrai qu’on se fait souvent coller, surtout par les taxis qui sont vraiment très dangereux, particulièrement dans les petites rues du centre-ville. Sans compter le risque de se faire ouvrir une porte dans la face.

      Plusieurs boulevards et rues importantes pourraient faire l’objet de bandes cyclables lorsque l’espace y est suffisant, s’agit juste de peindre une ligne blanche à 2 pieds du trottoir pour signifier « l’accottement », mesure qui permet aussi d’améliorer la sécurité des piétons.

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      • Yvan Dutil

        26 mars 2010 à 12 h 42

        C’est effectivement pas une bonne idée de doubler les voiture à l’arrêt à Hawaii, je me suis fait rentrer dedans en doublant doucement une file de voiture à l’arrêt. Le conducteur avait décidé de prendre un racourci par un stationnement pour éviter une lumière. Ma femme c’est fait avoir de la même façon à Québec.

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  10. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    25 mars 2010 à 21 h 56

    « Totalement inutile et stupide comme idée… Ça fait juste ralentir l’autobus. » – Al Capone

    Mais encore???

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  11. Yannick Chouinard

    26 mars 2010 à 22 h 21

    Comme l’on déjà dit certains, ça permettra aux utilisateurs les moins en jambes d’entre nous de faire de plus longue distance comme aller sur l’île d’Orléans ou au parc de la Jacques-Cartier.

    De mémoire, y’a déjà quelques réseaux de transport en commun au Québec dont les bus sont pourvus de tels supports. Comme l’ascenceur du Faubourg est toujours mystérieusement interdit aux cyclistes, ça demeure le seul moyen de faire le trajet haute ville-basse ville pour le cycliste moyen sans suer.

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