Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…

L’écolobus continue de « rouler sa bosse »

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 2 avril 2010 23 commentaires

Le beau temps arrive et avec lui son « flot » de touristes qui apprécieront le service gratuit offert entre le Grand Théâtre et la Gare Fluviale via le Vieux-Québec par ce petit bus. Ici, l’écolobus à son arrêt de la rue l’Amérique Française

L’écolobus un service gratuit du RTC.

Verrons-nous plus d’écolobus rouler dans notre ville ?

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie, Transport en commun.

23 commentaires

  1. Pier Luc

    2 avril 2010 à 23 h 10

    On voit qu’il est un peu amoché. Son par-choc est cassé en bas et le devant et tout éraflé. Il a la vie dure.

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    • David

      4 avril 2010 à 01 h 19

      De quoi tu parle?? t’a déjà eu une voiture à Québec? un bus peut-être??C’est pas tous les jours rose d’habiter/circuler dans les cartiers centraux en voiture/bus…
      Tu me gonfle..
      J’en sort tout juste je dois vous dire que le service y est hyper sympathique ! Longue vie..
      @Gérald; Vraiment? Au moins une saison encore non ?

      David, rue St-François, St-Roch..

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      • Pier Luc

        4 avril 2010 à 09 h 25

        Je ne sais pas de quoi vous vous parlez, moi je dis juste qu’il est amoché en avant, il a du accrocher un poteau ou une chaine de trottoir.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      4 avril 2010 à 08 h 02

      L’écolobus « gratuit » l’a été pour une période de deux ans qui devrait achever en juin 2010. Et j’ai entendu un chauffeur le confirmer. Vu la popularité de ce mode de transport, est-ce qu’il demeurera gratuit ? Je ne le sais pas. Quant à façon de percevoir le coût du transport, si je me pose aussi la question, ils vont sûrement trouver la solution.
      Pour les habitués de l’écolobus, il faut savoir où le prendre en Basse-Ville i.e. au traversier, sinon c’est souvent déjà plein de passagers. Quant à la Haute-Ville, il faut le prendre avant son arrivée à Place d’Youville. D’ailleurs, lorsque le petit bus emprunte la rue d’Auteuil en montant, il arrive souvent que le chauffeur demande à plusieurs personnes de sortir afin d’alléger le poids. Les passagers montent alors la côte sur le trottoir et réembarquent en haut.

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  2. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

    3 avril 2010 à 18 h 48

    il manque définitivement d’exemplaires de ce petit véhicule lorsque l’été arrive…

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  3. Jacques

    4 avril 2010 à 05 h 26

    Ce type de véhicule pourrait très bien satisfaire à la demande pour plusieurs trajets du circuit 10, en dehors des heures de sortie de classe du CEGEP Garneau et sans doute dans le sens contraire pour sa fin de parcours au Cegep. Et durant la fin de semaine aussi.

    Le circuit 18, à certaines heures se contenterait aussi de ce type de véhicule.

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    • Pier Luc

      4 avril 2010 à 09 h 28

      Le conducteur du bus ne coûte pas moins chère en salaire parce que le bus est plus petit et si le bus dort la moitié de la journée… J’ai déjà lut que ce bus là était intéressant dans les petites rues du vieux parce qu’il tourne plus facilement et qu’il ne gaspille pas de diésel lors de ses arrêts fréquents mais qu’il ne faisait pas nécessairement faire d’économie (chauffeur, coût du véhicule) sur un parcours normal.

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    • PhilT

      4 avril 2010 à 13 h 05

      Le circuit 18 est trop long, l’Ecolobus a une vitesse maximale de 33 km/h.

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  4. Safeguard

    5 avril 2010 à 07 h 55

    C’est vrai que c’est une belle petite machine. Même s’il aurait mérité un peu plus de puissance pour les côtes.
    J’aimerais bien l’essayer derrière le volant, ça me ferais changement de mon quarante-cinq pieds.

    Par contre je tiens à souligner qu’il n’a JAMAIS été gratuit. Le cout est seulement reporté sur les prix des autres parcours et sur le permis de conduire des automobilistes.

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  5. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    5 avril 2010 à 12 h 58

    C’est une expérience pilote qui prend fin. Quelle sera la suite ??? Je trouve dommage que l’on mne pense pas à les multiplier pour fermer aux autos et autobus les vieux murs. Ohé les écolos où êtes vous quand le devoir vous appelle!!!

    Je penses même à inciter les fournisseurs de commerces de ce secteur de se doter de véhicules électriques pour fournir les commercants et restos dans les vieux murs. Bref, c’estlà qu’il faur du piétonnier, des vélos, des minibus électriques presqu’exclusivement…

    Il serait aussi intéressant d’équiper les banlieues de ces minibus pour amener les usagers à des points de chute du réseau métrobus. Et celles-là seraient payantes car faisant partie du réseau avec correspondance au reste deàu réseau.

    Si on a décidé dans le plan de développement du RTC de privilégier les autobus articulés (tramways sur pneu) au tramway pour en faire la colonne vertébrale du réseau. il; est temps d’alimenter ces métrobus articu;lés avec des mini à bus qui vont chercher les usagers dans les banlieueus.

    Quant aux 107 autobus hybrides, c’est trop une vingtaine ferauit l’affaire. Elles sont aussi de trop car un mastodonte semblable doit se promener à vide les trois quart du temps, hors des périodes de pointe. Ils pourraient être remplacés par le minibus électriques les trois quart du temps et il en résulterait une économie…

    Bref, c’est toute la conception du réseau qui est à repenser au lieu de garrocher les millions à gauche et à droite.

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    • Francis L

      5 avril 2010 à 13 h 21

      Fermer le Vieux-Québec aux autos, c’est une idée sûrement louable. Le problème c’est pour les résidents qui eux aussi font les frais du mauvais transport en commun de Québec et qui ont besoin d’une auto. Une solution pourrait être de mettre des portes à l’entrée du Vieux Québec, et qui ne laisseraient passer que les véhicules ayant une permission. C’est ce que plusieurs centres-villes en Europe ont fait, à Orléans par exemple.

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        6 avril 2010 à 11 h 43

        Même si j’ai aussi vu ca en Europe, je ne suis pas d’accord avec le principe. La même règle doit s’appliquer à tous et il est hors de question d’avoir des « quartiers réservés aux résidents ». Si vous choisissez d’aller vivre dans un tel quartier, faut l’assumer: si vous faites le choix d’y avoir une auto, faut aussi accepter que le reste du monde y aient le droit d’y circuler en auto. Votre rue ne vous appartient pas et elle est payée aussi par les autres contribuables. Si vous faites le choix d’y vivre sans auto, alors l’idée d’y interdire l’auto totalement devrait carrément vous plaire. J’ai rien contre l’idée d’un Vieux-Québec sans auto, mais comme je dis, même règle pour tout le monde.

        En fait les automobiles des résidents n’est qu’une partie du problème. Les camions de livraisons pour les commerces, de même que l’accès aux hotels comme le Chateau-Frontenac etc, sont une autre partie du problème.

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      • Francis L

        6 avril 2010 à 17 h 26

        Ce n’est pas la même chose. On ne parle pas ici de construire un quartier barricadé du reste de la ville comme on peut malheureusement voir aux États-Unis, mais simplement d’en limiter les autos. Étant donné la configuration de ce secteur, ça rendrait le lieu plus invitant pour tout le monde.

        Mais bon, je ne crois pas qu’on puisse fermer le Vieux-Québec en entier. Les exemples que j’ai vus en Europe étaient beaucoup moins vastes. Je crois que la politique actuelle de fermer certaines rues est mieux choisi.

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        7 avril 2010 à 11 h 28

        Le périmètre du Vieux-Québec est assez petit pour y marcher et aller chercher l’auto stationnée en dehors du périmètre.

        Faudrait au minimum garder un accès aux parkings d’Youville et au de l’Hotel-de-Ville (via un accès par la côte de l’Hotel-Dieu pour ce dernier). Les résidents qui tiennent à avoir une auto devraient se stationner en dehors du périmètre, autrement dit payer une passe mensuelle à l’un de ces stationnements. Reste la problématique des autres parkings publics plus à accéder autrement qu’en passant par les rues fermées, et comme je disais plus haut, les bus de touristes, les camions de livraison et de déménagement, etc.

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    • Erick Utilisateur de Québec Urbain

      6 avril 2010 à 11 h 55

      Fernand, non seulement un véhicule qui est limité à 33 km/h c’est pas vraiment l’idéal pour desservir des quartiers de banlieue où la limite de vitesse est généralement 50 et tolérée jusqu’à xxx, mais en plus il n’y a pas vraiment d’économie à faire avec demi-bus, car non seulment ils ne reviennent pas à moitié prix, mais en plus le chauffeur et les employés d’entretiens coutent aussi chers (ou même plus cher si ca prend 2 bébébus pour en remplacer un ordinaire). C’est vraiment un détail les quelques litres d’essence supplémentaires pour opérer inutilement un 40 pieds à moitié-vide au lieu d’un 20 pieds bondé.

      Dans votre vie personnelle, avez vous plusieurs autos, une Smart pour quand vous êtes seul, une auto plus grosse pour aller faire l’épicerie, une fourgonnette pour sortir en famille et un pick-up aller à la quincaillerie? Non, ein, vous vous arrangez pour en choisir une de taille moyenne qui répond à la majorité de vos besoins, et pour les autres besoins vous vous arrangez autrement. Le RTC, c’est le même principe, ils ont intérêt à avoir un parc de véhicules le plus uniforme possible.

      Quand aux navettes de quartier qui rabattent sur le métrobus, je me demande bien à quoi ca peut servir d’avoir un métrobus aux 5 minutes qui vous laisse je ne sais où pour attendre une navette de quartier qui ne passe qu’aux 30 ou 60 minutes avec aucune synchronisation. C’est d’ailleurs le gros bug de la « logique métrobus » du RTC.

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      • Francis L

        6 avril 2010 à 17 h 38

        Concernant les Écolobus dans les banlieues, je suis entièrement d’accord. De toute façon, pour que ça fonctionne, il faudrait une ligne vraiment très peu fréquentée autrement la saturation arrive vite!

        Par contre, concernant la « logique métrobus « , je vous ferais remarquer que ce n’est pas qu’à Québec qu’on applique ce principe, mais un peu partout dans le monde. Comme le métrobus passe régulièrement, les gens qui font un transfert n’ont qu’à calculer l’heure à laquelle ils doivent le prendre afin d’arriver à temps pour le transfert! En général, quand un bus passe aux 60 minutes, on ne tente pas de le prendre sans regarder l’horaire.

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      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        7 avril 2010 à 09 h 14

        Tu peux pas te synchroniser avec un parcours local avec un métrobus dont l’heure de passage en ville est aléatoire et le temps de parcours est encore plus aléatoire. Tu as beau sortir du bureau à tous les jours à la même heure, tu vas arriver au point de transfert en banlieue avec 20 minutes d’écart d’une journée à l’autre. Et ca c’est si t’as pas un transfert entre 2 métrobus à te taper de surcroit. Tu as beau jouer avec ton heure de départ, tu t’en sort pas, t’est toujours obligé de te donner une marge de manoeuvre qui va faire que tu vas toujours arriver trop en avance, sinon si tu joues trop serré, tu risque de le manquer ton bus aux heures.

        Une des alternatives possibles est d’éliminer ces points de transferts en assurant le tronc commun (corridor équivalent au métrobus) en alternant le passage des services locaux aux destinations différentes. Ca a ses avantages et inconvénients mais globalement c’est plus avantageux ainsi.

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