Véronique Demers
Québec Hebdo
(…) En ce moment, Québec possède 5,7% (incluant Saint-Augustin-de-Desmaures) de son territoire sous forme de milieux naturels d’intérêt protégés, dont la moitié de cette superficie est constituée de battures, ces parties du rivage que la marée descendante laisse à découvert.
26 mai 2010 à 23 h 15
Je cite « La porte-parole des 22 signataires de la déclaration croit que non seulement la ville sera déclarée verte si elle atteint son objectif, mais le fait de conserver des milieux naturels d’intérêt devrait favoriser la rétention des citoyens en ville. «Ça permet de lutter contre l’étalement urbain, parce que les citoyens veulent avoir un contact avec la nature», justifie-t-elle. »
En poussant son argument à l’absurde, si Québec était resté à l’état de forêt, il n’y aurait effectivement pas d’étalement urbain ;)
À ma connaissance, la raison première pour laquelle les gens vont à Val-Bélair ce n’est pas la proximité de la nature, mais bien le prix. Comparons le prix d’un bungalow près du boisé Neilson à celui d’un bungalow à Val-Bélair et on obtiendra facilement une différence de plus de 50%.
Je suis pour les parcs et les espaces boisés en ville. Cependant, ça a un prix…
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27 mai 2010 à 08 h 32
« À ma connaissance, la raison première pour laquelle les gens vont à Val-Bélair ce n’est pas la proximité de la nature, mais bien le prix. »
Ouais, mais il y a aussi l’argument que « pour les enfants, c’est plus sain de les élever à la campagne (sic) »… car évidemment, à leurs yeux, la ville, c’est plein de dangers!!
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27 mai 2010 à 19 h 08
Effectivement à tort ou à raison, la ville est vue comme un milieu plus dangereux que la banlieue ou la campagne.
Je serais curieux cependant de voir, une fois compensé pour le milieu familial, lequel des 3 environnements est le plus dangereux pour les enfants?
Je serais porté à croire que la campagne n’est pas aussi sécuritaire qu’on pense et que la ville n’est pas si dangereuse que ça.
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