Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Questionnement autour d’un stationnement résidentiel

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er juin 2010 1 commentaire

Source : Denis Fortin, Québec Hebdo, le 1er juin 2010

De nombreux citoyens des rues limitrophes à la Villa Saint-Vincent dans le secteur Saint-Rodrigue à Charlesbourg ont profité de la tenue d’une assemblée de consultation publique tenue pendant la séance du conseil d’arrondissement du 25 mai dernier pour venir dire aux élus qu’ils étaient en désaccord avec le changement de zonage proposé.
Ils en avaient particulièrement contre la volonté du promoteur d’y construire un stationnement extérieur dans une pente située à l’arrière du complexe, au sud d’un éventuel complexe de 32 logements projetés par une filiale de Construction canadienne, le maître d’œuvre de ce projet.

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De la « micro-nouvelle », me direz-vous, mais peut-être que d’autres citoyens de la ville vivent un problème similaire.

Localisation de la rue Cocteau sur Google Maps.

Voir aussi : Arrondissement Charlesbourg, Logement locatif ou social, Message d'intérêt public, Québec La cité.


Un commentaire

  1. Manu

    1er juin 2010 à 23 h 56

    Un « problème », pas une « problématique »…

    Désolé, mas je ne suis vraiment plus capable du supporter ceux qui y voient des synonymes (même des journalistes le font! alors rien contre Martin Otis qui nous apporte tout de même une nouvelle intéressante). Si ça peut être utile à savoir pour quelqu’un : si c’est quelque chose qui se pose, qui se vit, qui se règle, qui s’améliore, qui se détériore, etc. c’est un problème, ou un ensemble de problèmes (qui n’est pas une problématique, peu importe la taille de l’ensemble de problèmes). De manière simpliste, une distance entre deux villes sur une carte est à cette carte ce qu’un problème est à une problématique. Fin du chialage.

    Ce que je trouve intéressant, c’est qu’en temps normal, ce serait un simple cas de « pas dans ma cour » (et quand on demeure en bas d’un pente, on reçoit l’eau qui ruisselle d’en haut, et quoi qu’on construise en amont doit continuer de faire ruisseller l’eau en aval d’une manière semable, i.e. on doit maintenir l’écoulement naturel de l’eau).

    Toutefois, là ils avaient une raison de refuser, et le conseil d’arrondissement n’aura pas servi, comme c’est souvent le cas avec ces conseils, qu’à faire la « job platte » que le conseil de ville ne veut pas faire, comme les dérogations mineures et modifications de zonages (qui sont généralement mineures aussi, à part les quelques cas qui sortent dans les journaux).

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