Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Domaine de la Montagne des Roches: un pas vers un référendum

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 juin 2010 6 commentaires

Isabelle Mathieu
Le Soleil

(Québec) Le projet de développement résidentiel du Domaine de la rivière des Roches pourrait bientôt être soumis à un référendum; 96 citoyens de Charlesbourg ont réclamé l’ouverture des registres, un premier pas vers la tenue d’un scrutin référendaire.

La suite

Labeaume plaide contre les référendums

Un billet précédent

Voir aussi : Arrondissement Charlesbourg, Étalement urbain, Parc, Qualité et milieu de vie.


6 commentaires

  1. Manu

    29 juin 2010 à 22 h 22

    Ça sonne un peu comme « moi j’ai pu me construire pas loin de la rivière, car j’étais ‘assez’ loin, mais il n’est pas question qu’on vienne rajouter plein d’autres personnes dans mon boisé près de ma rivière. »

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  2. J-M

    29 juin 2010 à 22 h 42

    Du chialage de gens qui sont au courant depuis longtemps du développement, mais se sont habitués à ne pas avoir de voisin derrière et/ou un boisé à proximité et qui font tout pour bosser le secteur.

    Et je le sais, je demeure dans ce coin de Charlesbourg…

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  3. François Magellan

    30 juin 2010 à 09 h 19

    Arrangez-vous sinon les autres vont vous arranger.
    Aux exagérations et aux personnes à qui on peut reprocher le « pas dans ma cour » – comme si c’était toujours un défaut -, je préfère une population qui s’occupe de ses affaires, qui enverra le message aux autorités ainsi qu’aux promoteurs à y penser deux fois plutôt qu’une avant de proposer un projet bâclé, qui fait des coins ronds, qui outrepasse la réglementation pour ensuite demander des dérogations. Donc, je conclus qu’on peut faire n’importe quoi avec votre milieu de vie, que vous êtes prêts à accepter n’importe quelle réglementation simplement si on vous dit « faites-moi confiance »
    je vous prie de laisser vos coordonnées et qu’importe ce qui va se présenter dans votre quartier, même si le prétexte que c’est conforme au zonage ou à la réglementation, vous n’aurez rien à dire. A un pouvoir, il faut toujours un mécanisme de contre-pouvoir pour pour éviter les abus.
    En terminant, si les référendums et signatures de registres empêchent le développement de Québec, bloquent chaque fois des projets, comme le laisse penser le maire de Québec, la ville est donc maintenant paralysée. Est-ce que la ville est aujourd’hui paralysée, aux mains des groupes de pressions ?
    Je vous suggère d’aller voir l’émission en ligne sur la ville d’Helsinki. De la densité, mais malheureusement pour les p’its gars pas de tours parce que là-bas, on a compris que l’urbanisme et la densité c’est beaucoup plus que ça, c’est surtout un milieu de vie, des milieux naturels préservés, la conciliation, bref une leçon pour Québec. Mais malheureusement, bien des dégâts sont faits.
    http://www.tv5.ca/webvideo/ports-d-attache-heidi-a-helsinki-1990.html

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  4. Louise

    30 juin 2010 à 09 h 20

    Je me demande si les 96 sigantaires savent ce qu’ils ont signé. Le zonage actuel permet la construction résidentielle, il ne prévoit aucune protection à l’exeption de la bande riveraine de la rivière.

    Le nouveau règlement de zonage prévoit entre autre, la protection de l’érablière et de plusieurs zones de conservations naturelles. Ce règlement n’est pas en vigueur et l’érablière n’est pas protégée présentement. Ces 96 citoyens ont voté contre le nouveau règlement de zonage.

    J’ai souvent entendu parlé du PAE (plan d’aménagement d’ensemble) qui prévoit la protection de l’érablière. Par contre, ce PAE est relié au nouveau règlement de zonage. Pas de nouveau règlement, pas de PAE, pas de protection de zones naturelles.

    Promouvoir la protection des boisées et voter contre un règlement destiné à les protéger, je trouve ça illogique !

    Le promoteur propose un projet où 40% (au lieu des 10% habituels) des espaces verts sont préservés et 20 mètres de protection riveraine (au lieu des 10 mètres exigés par le Ministère de l’environnement).

    Pensez-y !

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  5. Langis D. Harvey

    30 juin 2010 à 12 h 17

    Je ne connais pas ce coin là.
    Mais il me semble que tous les cours d’eau, qui sont sur le territoire de la ville.
    Devrait-être plus que protégé au minimum de 10,20 30 40 où 50 mètre car même 5o mètre c’est pas beaucoup ( 150 pieds ).
    Selon moi, exiger une protection ( générale de 100 mètres ) soit de 300 pieds de tous les plan d’eau et des rivières serais un minimun plus qu’acceptable.
    Après l’OR NOIR qui pollue , l’OR BLEU se doit d’être protégé !!!!

    Je ne suis pas un ÉCOLO mais une personne sensibilisé au RESPECT de son environnement.

    Si le Maire actuel demande un moratoir sur le développement autour du lac St-Charles, qui est une des sources d’approvisionnement d’eau potable pour les citoyens de la ville.
    Il a raison en cela. Mais dans le futur qu’ elle seront nos besoin d’eau potable……potable ???

    Signaler ce commentaire

     ou annuler