Samuel Auger
Le Soleil
(Québec) Une image vaut mille mots. La Ville s’apprête à soumettre un projet de piste cyclable audacieux au centre-ville, la cohabitation vélo-auto défraie les manchettes après une série d’accidents tragiques… Mais au-delà des débats, rien ne bat une balade dans la jungle urbaine… une caméra sur le casque! Récit d’un parcours hasardeux et révélateur
30 juin 2010 à 07 h 38
Ca me fait rire le vélo vient couper le taxi et il semble vouloir dire que le taxi est en faute. On voit la lumière changer au vert et le vélo dépasse 2 voitures par la droite pour aller traverser le chemin alors que le taxi est dans la voie pour tourner à droite. Le vélo qui lui veut continuer son chemin aurait du ce ranger derrière les voiture pour attendre son tour. Partager c’est pas à sens unique!
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30 juin 2010 à 07 h 45
Selon le code de la route, le cycliste a priorité sur quelqu’un qui doit tourner à droite si je ne me trompe pas.
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30 juin 2010 à 14 h 01
Pour avoir priorité il ne doit pas dépasser les voitures par la droite comme il le fait.
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30 juin 2010 à 09 h 52
Dans les cours de conduite, on enseigne de faire angle mort à droite avant de tourner. Ce n’est pas pour rien. C’est fait particulièrement pour les vélos ou les piétons que vous n’auriez pas vu.
Évidemment, je ne connais aucun automobiliste qui fait son angle mort avant de tourner à droite.
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30 juin 2010 à 14 h 03
Par contre le vélo est loin de l’angle mort quand le taxi débute son virage. Le taxi devait s’attendre à ce que le vélo arrête ca course car il n’y a pas de voie réservé pour le vélo et qu’il n’est pas a égalité. Si les deux véhicule étaient arrêté à la lumière le vélo à droit de passer en premier mais pas en dépassant par la droite comme il le fait.
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30 juin 2010 à 07 h 43
Question d’un cycliste qui ne connait pas son code de la route québécois parfaitement :
A-t-on techniquement le droit de dépasser une file à l’arrêt par la droite, sur la même voie, comme le cycliste le fait si souvent dans la vidéo (ce que je fait aussi bien entendu).
Une chose que je sais cependant, c’est que beaucoup de voitures (et pire, de camions) sont dans l’illégalité, puisqu’il leur est interdit de dépasser un vélo dans la même voie !
Pour limiter cela, et pour me garder une marge de sécurité par rapport au trottoir, je me garde toujours environ 3′ de libre à ma droite… au grand dam des véhicules : dommage !
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30 juin 2010 à 08 h 15
Je me suis posé la même question au sujet du dépassement de la file. Je ne sais pas si c’est légal, mais c’est de pratique courante. C’est probablement aussi plus sécuritaire si tu réussis à te placer complétement en avant de la file pour être très visible.
Ceci dit, je me suis déjà fait en rentrant dans un stationnement pour éviter la file et une lumière rouge. Un automobiliste, qui avait eu la même idée, est venu me chercher dans le stationnement.
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30 juin 2010 à 08 h 52
« Une chose que je sais cependant, c’est que beaucoup de voitures (et pire, de camions) sont dans l’illégalité, puisqu’il leur est interdit de dépasser un vélo dans la même voie ! »
En fait, vous avez tort sur ce commentaire. Le code de la sécurité routière dit:
341. Le conducteur d’un véhicule routier ne peut dépasser une bicyclette à l’intérieur de la même voie de circulation que s’il y a un espace suffisant pour permettre le dépassement sans danger.
Donc, sur certaines rues, comme le chemin Ste-Foy lorsqu’il n’y a qu’une voie, un conducteur peut vous dépasser sans changer de voie en toute légalité s’il y a suffisament d’espace (1 mètre??) entre vous deux. Ce qui est plus difficile à faire sur des voies réduites comme René Lévesque par exemple.
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30 juin 2010 à 09 h 16
La question de la légalité est donc laissé à la libre interprétation des deux parties…
Reste qu’avec une largeur d’un peu plus de 3m, ce qui représente une dimension fréquente pour une voie de circulation, aucun véhicule autre qu’un deux-roues ne peut dépasser un cycliste de manière sécuritaire sur la même voie !
La preuve ?
Très souvent, les véhicules sont forcés d’empiéter sur l’autre voie (parfois en franchissant une ligne double) pour nous dépasser. Or dans ce cas, s’ils doivent franchir une voie, ce ne devrait pas être pour y être « à moitié », mais ça devrait être un changement de voie en règle.
C’est pour cette raison qu’en temps normal, et notamment sur les grands axes, ou justement, il y a la possibilité de changer de voie, je n’ai aucune raison de me tasser complètement contre le trottoir.
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30 juin 2010 à 14 h 19
… et j’ajouterais que l’article 344 du Code de la sécurité routière dit:
Le conducteur d’un véhicule routier peut franchir une ligne visée à l’article 326.1 (NDLR ligne continue), dans la mesure où cette manoeuvre peut être effectuée sans danger, pour dépasser un tracteur de ferme ou une autre machine agricole, un véhicule routier muni d’un panneau avertisseur de circulation lente, un véhicule à traction animale ou une bicyclette.
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30 juin 2010 à 08 h 38
moi je me faufile toujours a la droit de la file qui se dirige tout droit. Donc dans ce cas je me serais placé à gauche du taxi. Plus sécuritaire et je dérange personne.
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30 juin 2010 à 08 h 41
tout a fait, c’est souvent ce que je fais, mais bien des cycliste ne le font pas, tout simplement parce qu’il faut alors pouvoir s’imposer comme une voiture pour ne plus être cantonné à la droite…
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30 juin 2010 à 08 h 56
Effectivement, c’est assez dur psychologiquement d’autant plus qu’il faut s’insérer dans le trafic J’ai le même problème lorsque je dois tourner à gauche. Je suis terrifié à chaque fois.
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30 juin 2010 à 12 h 20
A mon avis, les vélos ne devraient pas partager les grands axes avec les voitures. Ils n’ont tout simplement pas la même vitesse. Je suis pour la construction de bandes cyclables, mais un vélo qui circule sur René-Lévesque entre les autobus, taxis et autres véhicules, c’est dangeureux, même si c’est légal.
Un vélo peine à dépasser les 30 km/h dans des zones de 50. On fait quoi nous en voiture derrière ? On attend qu’il soit rendu à sa destination ?
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30 juin 2010 à 12 h 27
Dans une zone de 50 km/h, contourner les vélos ne pose pas généralement de problèmes. Sur les grands boulevards, c’est une toute autre histoire. Tant que le réseau cyclable sera inadéquat et mal intégré, les cyclistes même avec de la bonne volonté vont se ramasser coincés dans le trafic.
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30 juin 2010 à 13 h 16
avec les arrêts fréquents, les autobus aussi dépassent aussi rarement les 30km/heure sur les grandes rues comme René Lévesque.
« On fait quoi nous en voiture derrière ? On attend qu’il soit rendu à sa destination ? »
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30 juin 2010 à 13 h 09
Le journaliste ne devrait PAS se faufiler dans la file par la gauche pour effectuer un dépassement sur des voitures qui vont TRÈS VISIBLEMENT tourner à droite. Il n’a qu’à blâmer sa technique de conduite ici !
Il aurait dû aller à la droite de la 2e file, qui elle continuait tout droit, ou attendre son tour derrière la première file que tout le monde ait engagé l’intersection.
Ça me fait bien rire ce reportage, à part la personne qui voulait tourner à gauche, je n’ai pas vraiment vu personne commettre de fautes.
Cependant c’est vrai que les conducteurs au Québec ne semblent pas connaitre le principe des priorités. Je dois probablement être le seul cycliste au Québec à laisser passer les piétons sur un passage clouté !
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30 juin 2010 à 13 h 14
« Je dois probablement être le seul cycliste au Québec à laisser passer les piétons sur un passage clouté « »
Et vous devez vous faire klaxonner par ceux derrière vous. À chaque fois que j’ai essayé de m’arrêter devant un passage clouté, ceux derrières moi ont freiné d’urgence, tout surpris que je puisse m’arrêté là et m’ont klaxonné.
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30 juin 2010 à 13 h 49
C’est bien vrai, mais honnêtement qu’un cave me klaxonne parce que je fais ce que je suis supposé faire, ça me passe six pieds au dessus de la tête !
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30 juin 2010 à 14 h 36
bravo à la ville pour pousser le transport en commun, j’écoutais certaines radio cette semaine, de celles qui pense encore que l’on doit élargir les routes, construire des ponts et construire de nouvelles banlieues, et j’étais découragé. L’animateur s’astinait avec un représentatant du RTC sur le prix payé par les utilisateurs, soit 37 %, il s’en indignait. Mais qu’est-ce que la ville attends pour donner des chiffres d’utilisation et pour comparer ces chiffres.
– combien coute l’usage d’un autoroute par véhicule
– combien couterait un pont entre Québec Lévis et si on est utilisateur payeur bien on devrait payer le pont sur 40 ans ans
– combien coute au km par unité d’habitation une route en ville quartier central VS route en banlieue du type Val-Bélair, ce devrait être quoi 10 fois plus non ?
– combien coute le déneigement d’une route en banlieue…
Si on veut l’utilisateur payeur ok, mais comptons alors tout, les gens en banlieue devront payer possiblement 10 x plus pour le deneigement qu’en ville, 10 x plus pour l’eau et les égouts, 10 X plus pour les pompiers et les policiers ( ils ont plus de distances par habitant à faire ) etc…
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30 juin 2010 à 17 h 31
Les gens se décidront alors à quitter la banlieu pour vivre en ville et l’on aura enfin une densité urbaine beaucoup plus interessante.
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30 juin 2010 à 14 h 37
Pour le tramway, cela fait plus de 15 ans que j,en attend parler, d’en avoir un dans d’Estimauville, sur René Levesque, allons y donc et faisons de notre ville une vraie ville du 21 siecle
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30 juin 2010 à 23 h 49
Pour répondre à certaines interrogations:
487. Sous réserve de l’article 492, le conducteur d’une bicyclette doit circuler à l’extrême droite de la chaussée et dans le même sens que la circulation, sauf si cet espace est obstrué ou s’il s’apprête à effectuer un virage à gauche.
C’est le seul article qui s’apparente de près ou de loin à un « dépassement par la droite », et selon mon interprétation, il n’y a aucun dépassement pas la droite en temps normal, puisque le cycliste n’3st pas d’abord derrière un véhicule, puis ensuite à l’extrême droite de la chaussée pour dépasser, puis devant le véhicule. Il ne fait que circuler vers l’avant. D’ailleurs un véhicule routier ne « commet » pas non plus un dépassement par la droite lorsqu’il circule dans la voie de droite tandis que des véhicules dans la voie de gauches sont arrêtés (en attente de virage à gauche par exemple).
L’application d’une loi est généralement une question d’interprétation. L’avis d’une autorité compétente serait bienvenu. Toutefois, cette interpréation semble tenir si on considère les articles suivants, pertinents au cas du taxi au départ entre autres (félicitons d’ailleurs le chauffeur d’avoir respecté le code de la route mieux que 95% des automobilistes)
Les articles 341 et 344 ont été mentionnés plus haut, alors je ne les répèterai pas.
349. Le conducteur d’un véhicule routier ou d’une bicyclette qui effectue un virage à une intersection doit céder le passage aux piétons et aux cyclistes qui traversent la chaussée qu’il s’apprête à emprunter.
351. Le conducteur d’un véhicule routier qui veut effectuer un virage à droite à une intersection doit, après avoir signalé son intention et s’être assuré qu’il peut le faire sans danger, se ranger à l’extrême droite de la chaussée ou dans l’espace réservé à cette fin par une signalisation appropriée, tourner court et ne pas empiéter sur la gauche ou le centre de la chaussée sur laquelle il s’engage.
Dans le cas du taxi, il y avait au départ un feu rouge sur lequel il avait commencé à s’engager pour tourner à droite. Les articles 349 et 351 ne s’appliquent que lorsque le feu est vert (bien que le taxi aurait légalement pu « coller le trottoir » en attendant le feu vert, réglant du coup nos questions car le cycliste aurait alors été contraint d’attendre derrièr ou peut-être de passer à gauche du taxi) .
Toutefois, parmis les quelques articles sur le virage à
droite au feu rouge, on trouve (et notez « ou si près de s’engager » vers la fin).
359.1. Malgré l’article 359 et à moins d’une signalisation contraire, le conducteur d’un véhicule routier ou d’une bicyclette peut, face à un feu rouge, effectuer un virage à droite après avoir immobilisé son véhicule avant le passage pour piétons ou la ligne d’arrêt ou, s’il n’y en a pas, avant la ligne latérale de la chaussée sur laquelle il veut s’engager et après avoir cédé le passage aux piétons engagés dans l’intersection de même qu’aux véhicules routiers et cyclistes engagés ou si près de s’engager dans l’intersection qu’il s’avérerait dangereux d’effectuer ce virage.
On ne mentionne pas sur quelle chaussée (celle d’origine du véhicule qui veut tourner, ou celle sur laquelle il veut s’engager) proviennent les usagers « engagés ou si près de s’engager dans l’intersection » auxquels on doit céder le passage. Il me semble toutefois (et si je me rappelle bien les campagnes d’information sur le VDFR) que tout ce verbillage n’exprìme que le gros bon sens : pas de VDFR si on risque de couper la route à un autre.
Toutefois, juste pour nous mêler, la règle générale des feux verts :
363. À moins d’une signalisation contraire, face à un feu vert, clignotant ou non, le conducteur d’un véhicule routier ou d’une bicyclette doit, après avoir cédé le passage aux véhicules routiers, aux cyclistes et aux piétons déjà engagés dans l’intersection, poursuivre sa route.
Cette notion de « déjà engagé » se retrouve un peu partout dans le code de la route et en cas de litige, c’est probablement à un juge de trancher. Dans ce cas-ci, on pourrait dire que le taxi étant déjà engagé pour un virage à droite lorsque le feu est tombé vert, le cycliste aurait dû le laisser passer. Toutefois, en vertu de l’article 359.1, il n’aurait pas dû amorcer son virage en premier lieu.
Autrement dit, grosso modo, si tu barres la route à quelqu’un « déjà engagé » (appellons le Gaston), tu es en tort. Toutefois, une fois engagé devant Gaston, tu as alors priorité, et si Gaston cause un accident « dans ton derrière », il est en tort. Alors à qui la faute en cas d’accident? La question revient à savoir si tu t’es engagé de manière « dangereuse » ou non, et cela peut être très subjectif et dépend des cas. Par exemple, en plein été, s’engager dans une zone de 50 km/h à « 5 secondes » (environ 70m) devant un véhicule qui arrive est fort acceptable, mais probablement pas en hiver sur une chaussée un peu glissante.
Le présent cas du taxi est probablement un des plus tordu à interpréter. Mais en des circonstances plus habituelles, la règle est assez claire : on ne peut jamais tourner à droite de manière à barrer la route à des piétons ou cyclistes déjà engagés ou sur le point de le faire (évidemment, à moins qu’une signalisation les en empêche). Comme disait ELalonde ci-haut, dans les cours de conduite, on enseigne de faire angle mort à droite avant de tourner. Ce n’est pas pour rien.
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19 août 2010 à 13 h 23
OK! Là on va mettre quelquechose au clair… Pensez-y juste un instant. Un Vélo roule en moyenne quelle vitesse par rapport à celle de la voiture dans les rues de Québec. Là, je ne parle pas des cyclistes en leggings moulants qui font ça tous les jours, mais plutôt de ceux qui trouvent que l’essence est trop chère! Le conducteur roule, en moyenne, entre 50 et 65 KM/H, car oui, l’être humain déteste suivre les règlements et roule, en moyenne, au dessus de la limite permise. Le cycliste, tant qu’à lui, a une vitesse de (croisière) moyenne de 30 KM/H et possède une accélération beaucoup moindre que celle du conducteur. Alors, si nous faisons un calcul rapide il y a un écart de 20 à 35 KM/H entre nos deux rivaux! Donc, le cycliste n’est pas assez rapide pour, (moralement), être accpetable sur les routes. Il représente un danger pour lui même et pour les automobilistes! Je m’explique. Vous est-il déjà arrivé d’être dans la voie de droite et soudainement de voir un cycliste dans cette même voie, devant vous, à environ 60 CM du troitoir? Vous regardez dans votre rétroviseur de gauche suivi de votre angle mort et de ne pouvoir le dépasser à cause du traffic à 5 heures de l’après-midi? Tout le monde serait prêt à dire que le conducteur n’a qu’à ralentir, mais la réalité est autre! Vous vous êtes levé, avez préparé les enfants pour lécole, avez pris un café de dernière minute, n’avez pas trouvé de stationnement, êtes arrivé en retard, avez reçu un avertissement verbal de votre patron, avez passé une mauvaise journée… Vous tentez donc un dépassement. Vous enjambez la ligne pointillés blanche, l’automobiliste dans votre angle mort en fait autant avec la ligne jaune et évite de justesse le véhicule qui venait en sans inverse qui lui, à son tour, enjambe la ligne pointillée blanche et évite de justesse la voiture qui était dans son angle mort…
Pour ma part, j’estime qu’il est facile de freiner pour un cycliste. Donc si il ralenti sa vitesse de croisières de 10 KM/H et roule sur les trottoirs, il ne représentra plus un danger puisqu’il n’aura qu’a varier constamment sa vitesse pour arriver à ces fins. Un pieton marche, en moyenne 3 KM/H à 5KM/H. Ce qui laisse une bonne avance au cycliste. Bien sur, je ne parle pas des endroits tel que Montréal rue sainte-catherine.
Tout ça en attendant la solution utopique!
RUE, TROTTOIR, PISTE CYCLABLE dans cet ordre
Tant qu’à y être un TGV et un Train Routier sur les même rails…
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