François Cattapan
Journal de l’Habitation
Le gouvernement fédéral a confirmé récemment une contribution financière pouvant atteindre 4,7 M$ au projet La Cité Verte. Cet appui de Ressources naturelles Canada permettra au promoteur de l’écoquartier du secteur Saint-Sacrement à Québec, SSQ immobilière, de faire la démonstration d’un nouveau système central de chauffage urbain alimenté à la biomasse.
3 juillet 2010 à 12 h 19
Gérald le lien est plutôt ceci
http://www.journalhabitation.com/Environnement/Efficacite-energetique/2010-06-25/article-1415176/La-Cite-Verte-sera-chauffee-a-la-biomasse/1
En tous cas cela semble, indiquer que la municipalité a accepter le principe de biomasse… bonne nouvelle !
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3 juillet 2010 à 13 h 26
Oups. Merci ! J’ai apporté la correction.
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3 juillet 2010 à 22 h 58
Malgré que les millions pleuvent sur ce projet, il demure que les unités de condos sont très onéreux et au dessus de la moyenne du marché. Ça coûte donc cher les idées verdoyantes !!!
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4 juillet 2010 à 08 h 23
Ce n’est pas tant que cela coute plus cher que les gens sont prêt à payer plus cher.
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4 juillet 2010 à 09 h 39
Effectivement, un calcul rapide des subventions accordées à ce projet démontre que chaque unité de logement de ce projet bénéficie d’une subvention moyenne de 40 000$.
C’eut été une coopérative que les bien-pensants de droite auraient crié au scandale !
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4 juillet 2010 à 11 h 31
Réal :
Une coop aurait obtenu +- 75,000$ pour des unités ayant une valeur de 125,000$ chacune.
http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Fevrier2010/26/c5080.html
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4 juillet 2010 à 13 h 01
André
Je sais bien que les coopératives d’habitation recoivent des subventions, c’était justement pour mettre en parallèle ces subventions avec celles accordées pour la Cité Verte. Il arrive fréquemment ici qu’on critique vigoureusement ces subventions dans le cas des coopératives en disant que c’est injuste pour les classes moyennes qui les paient à même leurs taxes.
Toutefois, dans le cas des Habitations Ste-Geneviève et Vautelet II, il faut préciser que ce ne sont pas des coopératives mais des logements sociaux, propriété de l’Office Municipal de l’Habitation de Québec et administrés par cet organisme.
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4 juillet 2010 à 13 h 50
Le Québec aurait assez de logements sociaux :
« Contrairement à ce qu’on entend perpétuellement sur la place publique par le biais d’organismes qui revendiquent toujours plus de logements sociaux, le Québec semble avoir atteint un équilibre satisfaisant à cet égard. »
http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/06/20100621-062037.html
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5 juillet 2010 à 12 h 11
Dans le cas présent, je considère plutôt la subvention comme une dépense de recherche. Plutôt que de dépenser le même montant dans des laboratoires pour tester cela à grande échelle, c’est la Cité Verte qui sert de cobaye. Il n’y a rien d’étonnant ni de scandalisant là-dedans. D’ailleurs même ceux qui se plaignent de ces « subventions » ont le droit d’en profiter personnellement en achetant une des unités d’habitation.
Personnellement, je porterais plutôt mon « chialage » sur la contradiction entre « cité verte » et « chauffage au combustible organique qui produit des tonnes de GES », mais c’est un autre débat…
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5 juillet 2010 à 23 h 45
La biomasse est par définition carboneutre. D’autant plus que ce sont des résidus d’autres activités qui servent de combustible.
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7 juillet 2010 à 14 h 11
Si on pouvait aussi la produire et la transporter sans GES. Ce n’est peut-être pas énorme, mais tout de même, l’hydro-électricité aurait fait mieux à cet égard.
Au moins, s’il s’agit de valorisation de sous-produits, c’est dans la bonne direction.
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7 juillet 2010 à 16 h 21
Effectivement, c’est de la valorisation de résidus. Personne ne coupe des arbres directement pour la brûler dans des chaudières.
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4 juillet 2010 à 10 h 28
Ils ont quand même baissé les prix, alors en quelque part, ils se sont ajustés à la demande.
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6 juillet 2010 à 09 h 07
Monsieur Dutil est en conflit d’intérêt dans le carbocentrisme…
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6 juillet 2010 à 21 h 25
C-à-d?
Pour ce qui est du concept de carboneutralité, il faut relativiser.
Si effectivement c’est de la biomasse qu’on aurait laisser moisir (génération de méthane) alors oui, non seulement on peut dire que la biomasse est carboneutre, mais en plus on évite des émissions de méthane.
Cependant, dans le cas du mais transformé en éthanol c’était plutôt changer 4 trente sous pour 1 piastre.
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6 juillet 2010 à 21 h 58
Dans le cas présent, on brule du bois. Les arbres accumulent du CO2 jusqu’à ce qu’ils meurent. Alors, ils relâchent du CO2 dans l’environnement.
Quand on brûle du bois, on ne fait qu’accélérer le cycle. De plus, la chaudière à biomasse ne brulent pas des bûches mais des résidus de bois qui seraient brulés ou enterrés.
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7 juillet 2010 à 08 h 20
C’est pour cela que je parlais de génération de méthane.
La matière organique en putréfaction génère très souvent du méthane.
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7 juillet 2010 à 12 h 05
C’est vrai uniquement dans des conditions anaérobiques. Dans le cas du bois en forêt c’est rarement le cas.
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7 juillet 2010 à 14 h 12
tiens… le bot qui connait encore des ratés!
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