Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


La Maison Gomin toute seule

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 juillet 2010 4 commentaires

Carte postale de la prison Maison Gomin (date inconnue) - Collection Luc Masson

Voici une carte postale d’une photo prise probablement peu de temps après la construction de la prison pour femmes Maison Gomin. La prison qui portait le nom originalement du refuge Notre-Dame-de-la-Merci avait été construit pour améliorer les conditions de détention des femmes. Jusqu’alors les femmes étaient dans les mêmes prisons que les hommes.

Elle fut construite en 1930 pendant la crise économique parmi d’autres projets de construction majeurs dans la région (tunnel ferroviaire, réservoir d’eau sous les plaines et j’en passe). L’architecture est l’oeuvre d’Henriette Barrot-Chenevert, l’épouse de aoul Chenevert, architecte bien connu de l’époque. Elle fut responsable aussi du projet d’agrandissement du Château Frontenac.

Références et sites d’intérêt :

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Patrimoine et lieux historiques, Voyage dans le temps.


4 commentaires

  1. J.

    9 juillet 2010 à 17 h 02

    @Nicolas Roberge, « Elle fut responsable aussi du projet d’agrandissement du Château Frontenac. »
    C’est possible de nous montrer la partie du Château qui a été agrandie par cette architecte ?

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  2. J.

    9 juillet 2010 à 17 h 05

    Henriette n’a pas sa page sur Wikipedia. Il faudrait lui en créer une pour son oeuvre.

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  3. J.

    10 juillet 2010 à 02 h 23

    À partir de cette info, j’ai appris que le fonds a été transféré.  » En 1974, l’architecte Henriette Barrot, veuve de Raoul Chênevert, déposera aux Archives de l’université Laval le plus important fonds d’archives d’architecture du Canada (il sera cédé aux Archives nationales du Québec en 1989) : plus de 500 projets, marqués du nom de Tanguay, y révèlent l’époque qui a balayé l’âme de tant de villes et laissé l’empreinte permanente de l’architecte. De la tradition au renouveau, l’identité de la ville de Québec, par l’œuvre de Tanguay, a en effet franchi le cap de la modernité. »
    Source:http://www.biographi.ca/009004-119.01-f.php?&id_nbr=8385&&PHPSESSID=ychzfqkvzape

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