Sur le site du projet, on parle de 250 cases de stationnement sur six étages de souterrains. Le développement durable, mais pas trop, pourrait-on dire…
Aussi, si je ne me trompe pas, il y a un règlement municipal qui détermine un nombre minimal d’espaces de stationnement lors de la construction d’un nouvel immeuble à bureaux.
Des étages sous-terrain n’ont rien à voir avec le développement durable de toute façon… C’est d’ailleurs là pour « durer ». Même que dans 25 ans, si on a besoin de quoi que ce soit sous-terre (notamment du matériel de géothermie, ou simplement un « réservoir de chaleur » pour l’hiver (ou de plus frais l’été venu), on aura déjà l’espace nécessaire en convertissant au besoin une partie des étages sous-terrain. Très hypothétique comme exemple, mais simplement pour illustrer que ça ajoute des possiblités d’adaptation plutôt que des contraintes.
Et pendant que j’y pense… est-ce que ça aurait été mieux de faire ce bureau dans Lebourgneuf avec le double des espaces de stationnement? Là on s’est organisé pour qu’il soit accessible en auto et en TEC. Je parie aussi que comme dans la plupart des stationnements récents de ce genre, il y aura un large espace protégé (grillage, cadenas, etc.) pour les vélos.
Question réglementation municipale en ce qui a trait aux espaces de stationnement, je ne me souviens plus des détails, mais j’aimerais connaître quel ratio case de stationnement/superficie des espaces locatifs (ça aussi je ne me rappelle plus ce que dit la réglementation) prescrit le règlement de la ville.
Il faudrait se se questionner sur l’offre, un frein à l’utilisation des transports collectifs.
Tout ce que je voulais illustrer, on peut bien se draper dans le développement durable, toucher à la place de l’automobile dans nos vies comme dans nos villes est encore difficile.
Effectivement, c’est difficile, je te l’accorde à 100%.
C’est justement car pour la majorité du territoire et même la majorité de la population de Québec, l’organisation de la vie (pas une question de mentalité, mais l’organisation physique du territoire avec laquelle on doit composer) présuppose une mobilité que seule l’automobile peut fournir. Ce n’est même plus une question de choix pour plusieurs, à moins bien sûr qu’on considère qu’on n’a pas besoin d’aller travailler (la majorité des emplois à Québec sont dans des lieux ou des heures hors d’atteinte raisonnable pour les TEC), ni aller porter des enfants à la garderie, ni aller faire l’épicerie (parfois à quelques kilomètres), ni aller voir son médecin de famille (parfois à des dizaines de kilomètres…), etc.
L’automobile représente alors un « problème » tellement plus petit que tous ceux que la plupart des gens auraient sans celle-ci que le choix devient facile.
Pour revenir au sujet, je ne connais pas les ratios, mais il y aura probablement plus de travailleurs que d’espaces de stationnement, donc une demande plus forte que l’offre. Alors ça ne devrait pas être si pire… reste que ça serait intéressant d’avoir les chiffres à cet effet.
Je trouve que les gens manquent parfois de réalisme ici. On est en Amérique du Nord, sans dire qu’une voiture est nécessaire, ce n’est pas un luxe non plus, c’est un objet pratique qui donne une grand liberté aux gens.
Oui on peut diminuer l’utilisation de la voiture, la meilleure façon selon moi serait de monter le prix de l’essence un peu comme en Europe. Automatiquement les gens auraient un incitatif à utiliser moins leurs voitures, à conduire de plus petites voitures, à utiliser le TEC, etc.
Et si un jour pas très lointain les voitures deviennent « propres » (du moins dans leur consommation d’énergie), il faudra trouver des arguments de moins en moins convainquant pour démoniser l’automobile (et le traffic n’est pas un argument, puisqu’il pénalise principalement les utilisateurs de l’automobile)
Parfaitement d’accord, je suis convaincu qu’avec une meilleure technologie et avec un prix de l’essence plus élevé, on pourrait diminuer par 2 la consommation d’essence des voitures.
Pour les camions lourds, il faudrait taxer le diesel davantage pour rendre le train et le transport par bateau plus intéressant.
En plus, il y a une marge entre un type qui fait 50 000 km avec son Hummer et 10 000 km avec une sous-compacte.
Le coût de l’essence, certes, mais aussi la diminution de l’offre, notamment dans l’accès à certains secteurs de la ville comme dans l’espace de stationnement.
Il faut faire attention, on peut se tirer dans le pied, si cela est trop difficile d’accès en voiture, il est possible que les emplois déménagent à des endroits où il est plus facile d’y accéder en voiture.
Au sujet des voitures; d’un côté on nous dit que ça pollue, de l’autre que ça fait du trafic. Ils essaient de marier les deux pour faire: trafic =pollution. Comme dit plus haut, quand ça ne polluera plus, ce sera difficile de forcer les gens à prendre le bus. Et, quand le bus sera plus efficace et diminuera le traffic, les gens se diront qu’ils peuvent bien continuer de circuler en voiture. Au Québec on vas avoir bien de la misère à éliminer la voiture. Au mieux, on vas équilibrer les choses. La solution serait de faire de l’urbanisme d’empotés comme en Europe pour que ça aille bien mal de se déplacer en voiture.
Ne pas aligner les rues aux intersections, ne pas faire les rues assez larges, mettre pleins de virages… Dans le font, s’arranger pour enrager le monde de façon à ce qu’ils prennent le transport en commun. Transport qui lui passerait par les seuls rues qui sont construites sur le sens du monde.
Les européens ont aussi des villes plus vieilles que celle en amérique, et qui n’ont pas été construites pour l’automobile. Celle-cu c’est imposé par la suite. Si les rues de Paris étaient comme celle de New York, Paris ne serait plus aussi jolie.
Je n’ai pas mentionné l’Europe et je n’étais pas très sérieux dans ce que je disais. Je disais juste à la blague que si la ville devenait un vrai foutoir pour les automobilistes, ce serait plus facile d’inciter les gens à prendre le transport en commun.
Imaginez que Québec a des rues comme le Vieux-Québec à la grandeur. Je crois que c’était l’image de Pier Luc.
Même à Paris au 19e siècle (si c’est pas 18e) on a démoli un nombre incroyable de résidences pour tracer des boulevars plus rectilignes et rendre la situation moins chaotique (et encore là…)
En campagne, ils (les Européens) construisent de moins en moins de routes rectilignes. D’une part, parce que ca rend le parcours plus agréable visuellement avec des perspectives qui changent souvent et, d’autre part, parce que ça oblige les automobilistes à réduire la vitesse.
Sur plusieurs anciennes routes rectilignes, ils ajoutent des « casse vitesses ». Ils ont des dos d’ânes très ingénieux avec de larges plaformes qui font office de passages piétons. Ils insèrent beaucoup de chicanes. Ca, ca t’oblige à rouler lentement ! Les obstacles sont souvent des terres pleins végétalisés ou bêtement des poteaux en plastique fluorescants. Mais le pire, c’est lorsque les chicanes sont formées par des espaces de stationnement. Tu zigzagues alors entre les voitures en espérant qu’aucune n’arrive en contre-sens!! Faudrait que je vous montre des photos…
Je me dis toujours que si on devait introduire ça au Québec, les gens seraient fous de rage. lol
Peut-être ne le percevez-vous pas ainsi, mais le traffic engendre souvent un sentiment d’insécurité pour les usagers plus faibles, comme le vélo et le piéton. C’est un argument assez récurrent chez les familles pour ne pas s’installer au centre-ville.
La voiture détériore le cadre de vie, à moins de considérer que de voir passer des « beaux chars » améliorer le cadre de vie. Pas trop mon truc, j’avoue. En général, lorsque je recherche un nouveau logement, j’évite les grandes artères, pas vous?
Et Je parle pas du bruit. et des voitures en émettront toujours pas mesure de sécurité.
De plus le traffic crée des ruptures assez forte sur le territoire. Je parle pas que des autoroutes, mais aussi des boulevards.
Est-ce que ce seront des choses qui changeront lorsque les voitures seront moins polluantes? J’en doute.
La qualité de l’air. Ce sera probablement la plus grande amélioration. Suivie par la réduction du bruit (même si les véhicules doivent en émettre un pour des raisons de sécurité, il n’aura pas besoin d’être si fort car le niveau de bruit de fond aura grandement diminué).
Je concède sans problème les ruptures crées pour l’automobile. On a canalisé la moitié des ruisseaux de la ville (et pas mal tous ceux en haute-ville… si vous en trouvez un dites-le moi!) et certaines rivières, on a dynamité des caps, aplani des pentes, dressé des ponts, etc. question de se libérer de frontières naturelles. En même temps, on s’est créé un réseau de frontières anthropiques. Les chemins de fer d’abord (et encore aujourd’hui), puis les boulevards et les autoroutes.
Au moins, dans le cas présent, il n’est pas question d’ajout de telles frontières. Même qu’en général, de nos jours, la ville penche de plus en plus pour une réduction de celles-ci (réménagement des boulveards avec voies réduites et trottoirs plus larges par exemple).
18 juillet 2010 à 19 h 42
La grosse bâtisse rouge qu’il y avait là était belle. C’est du gaspillage leur « éco-chantier »…
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18 juillet 2010 à 22 h 09
Combien de stationnements dans un Écochantier ?
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19 juillet 2010 à 00 h 38
Surement beaucoup vu la profondeur du trou qu’ils font. À moins qu’ils aménagent des bureaux dans le sous-sol…
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19 juillet 2010 à 08 h 13
Sur le site du projet, on parle de 250 cases de stationnement sur six étages de souterrains. Le développement durable, mais pas trop, pourrait-on dire…
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19 juillet 2010 à 08 h 46
Il y aura combien d’employés dans la bâtisse?
Aussi, si je ne me trompe pas, il y a un règlement municipal qui détermine un nombre minimal d’espaces de stationnement lors de la construction d’un nouvel immeuble à bureaux.
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19 juillet 2010 à 19 h 51
Des étages sous-terrain n’ont rien à voir avec le développement durable de toute façon… C’est d’ailleurs là pour « durer ». Même que dans 25 ans, si on a besoin de quoi que ce soit sous-terre (notamment du matériel de géothermie, ou simplement un « réservoir de chaleur » pour l’hiver (ou de plus frais l’été venu), on aura déjà l’espace nécessaire en convertissant au besoin une partie des étages sous-terrain. Très hypothétique comme exemple, mais simplement pour illustrer que ça ajoute des possiblités d’adaptation plutôt que des contraintes.
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19 juillet 2010 à 19 h 55
Et pendant que j’y pense… est-ce que ça aurait été mieux de faire ce bureau dans Lebourgneuf avec le double des espaces de stationnement? Là on s’est organisé pour qu’il soit accessible en auto et en TEC. Je parie aussi que comme dans la plupart des stationnements récents de ce genre, il y aura un large espace protégé (grillage, cadenas, etc.) pour les vélos.
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19 juillet 2010 à 20 h 24
Question réglementation municipale en ce qui a trait aux espaces de stationnement, je ne me souviens plus des détails, mais j’aimerais connaître quel ratio case de stationnement/superficie des espaces locatifs (ça aussi je ne me rappelle plus ce que dit la réglementation) prescrit le règlement de la ville.
Il faudrait se se questionner sur l’offre, un frein à l’utilisation des transports collectifs.
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19 juillet 2010 à 20 h 36
Tout ce que je voulais illustrer, on peut bien se draper dans le développement durable, toucher à la place de l’automobile dans nos vies comme dans nos villes est encore difficile.
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21 juillet 2010 à 00 h 31
Effectivement, c’est difficile, je te l’accorde à 100%.
C’est justement car pour la majorité du territoire et même la majorité de la population de Québec, l’organisation de la vie (pas une question de mentalité, mais l’organisation physique du territoire avec laquelle on doit composer) présuppose une mobilité que seule l’automobile peut fournir. Ce n’est même plus une question de choix pour plusieurs, à moins bien sûr qu’on considère qu’on n’a pas besoin d’aller travailler (la majorité des emplois à Québec sont dans des lieux ou des heures hors d’atteinte raisonnable pour les TEC), ni aller porter des enfants à la garderie, ni aller faire l’épicerie (parfois à quelques kilomètres), ni aller voir son médecin de famille (parfois à des dizaines de kilomètres…), etc.
L’automobile représente alors un « problème » tellement plus petit que tous ceux que la plupart des gens auraient sans celle-ci que le choix devient facile.
Pour revenir au sujet, je ne connais pas les ratios, mais il y aura probablement plus de travailleurs que d’espaces de stationnement, donc une demande plus forte que l’offre. Alors ça ne devrait pas être si pire… reste que ça serait intéressant d’avoir les chiffres à cet effet.
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19 juillet 2010 à 19 h 12
voiture = le mal
wow !!
Je trouve que les gens manquent parfois de réalisme ici. On est en Amérique du Nord, sans dire qu’une voiture est nécessaire, ce n’est pas un luxe non plus, c’est un objet pratique qui donne une grand liberté aux gens.
Oui on peut diminuer l’utilisation de la voiture, la meilleure façon selon moi serait de monter le prix de l’essence un peu comme en Europe. Automatiquement les gens auraient un incitatif à utiliser moins leurs voitures, à conduire de plus petites voitures, à utiliser le TEC, etc.
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19 juillet 2010 à 19 h 53
Et si un jour pas très lointain les voitures deviennent « propres » (du moins dans leur consommation d’énergie), il faudra trouver des arguments de moins en moins convainquant pour démoniser l’automobile (et le traffic n’est pas un argument, puisqu’il pénalise principalement les utilisateurs de l’automobile)
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19 juillet 2010 à 20 h 05
Parfaitement d’accord, je suis convaincu qu’avec une meilleure technologie et avec un prix de l’essence plus élevé, on pourrait diminuer par 2 la consommation d’essence des voitures.
Pour les camions lourds, il faudrait taxer le diesel davantage pour rendre le train et le transport par bateau plus intéressant.
En plus, il y a une marge entre un type qui fait 50 000 km avec son Hummer et 10 000 km avec une sous-compacte.
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19 juillet 2010 à 20 h 26
Le coût de l’essence, certes, mais aussi la diminution de l’offre, notamment dans l’accès à certains secteurs de la ville comme dans l’espace de stationnement.
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19 juillet 2010 à 20 h 58
Il faut faire attention, on peut se tirer dans le pied, si cela est trop difficile d’accès en voiture, il est possible que les emplois déménagent à des endroits où il est plus facile d’y accéder en voiture.
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21 juillet 2010 à 00 h 34
Lebourgneuf, le Parc Technologique, et tous les parcs industriels où des locaux « d’industrie légère » finissent de plus en plus en bureaux.
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19 juillet 2010 à 20 h 55
Au sujet des voitures; d’un côté on nous dit que ça pollue, de l’autre que ça fait du trafic. Ils essaient de marier les deux pour faire: trafic =pollution. Comme dit plus haut, quand ça ne polluera plus, ce sera difficile de forcer les gens à prendre le bus. Et, quand le bus sera plus efficace et diminuera le traffic, les gens se diront qu’ils peuvent bien continuer de circuler en voiture. Au Québec on vas avoir bien de la misère à éliminer la voiture. Au mieux, on vas équilibrer les choses. La solution serait de faire de l’urbanisme d’empotés comme en Europe pour que ça aille bien mal de se déplacer en voiture.
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19 juillet 2010 à 21 h 13
genre Bordeaux peut-être?
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20 juillet 2010 à 07 h 08
De l’urbanisme d’empoté ? Tu peux élaborer Pier-Luc ?
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20 juillet 2010 à 11 h 02
Ne pas aligner les rues aux intersections, ne pas faire les rues assez larges, mettre pleins de virages… Dans le font, s’arranger pour enrager le monde de façon à ce qu’ils prennent le transport en commun. Transport qui lui passerait par les seuls rues qui sont construites sur le sens du monde.
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20 juillet 2010 à 14 h 39
Les européens ont aussi des villes plus vieilles que celle en amérique, et qui n’ont pas été construites pour l’automobile. Celle-cu c’est imposé par la suite. Si les rues de Paris étaient comme celle de New York, Paris ne serait plus aussi jolie.
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20 juillet 2010 à 21 h 28
Je n’ai pas mentionné l’Europe et je n’étais pas très sérieux dans ce que je disais. Je disais juste à la blague que si la ville devenait un vrai foutoir pour les automobilistes, ce serait plus facile d’inciter les gens à prendre le transport en commun.
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21 juillet 2010 à 00 h 36
Imaginez que Québec a des rues comme le Vieux-Québec à la grandeur. Je crois que c’était l’image de Pier Luc.
Même à Paris au 19e siècle (si c’est pas 18e) on a démoli un nombre incroyable de résidences pour tracer des boulevars plus rectilignes et rendre la situation moins chaotique (et encore là…)
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21 juillet 2010 à 14 h 21
En campagne, ils (les Européens) construisent de moins en moins de routes rectilignes. D’une part, parce que ca rend le parcours plus agréable visuellement avec des perspectives qui changent souvent et, d’autre part, parce que ça oblige les automobilistes à réduire la vitesse.
Sur plusieurs anciennes routes rectilignes, ils ajoutent des « casse vitesses ». Ils ont des dos d’ânes très ingénieux avec de larges plaformes qui font office de passages piétons. Ils insèrent beaucoup de chicanes. Ca, ca t’oblige à rouler lentement ! Les obstacles sont souvent des terres pleins végétalisés ou bêtement des poteaux en plastique fluorescants. Mais le pire, c’est lorsque les chicanes sont formées par des espaces de stationnement. Tu zigzagues alors entre les voitures en espérant qu’aucune n’arrive en contre-sens!! Faudrait que je vous montre des photos…
Je me dis toujours que si on devait introduire ça au Québec, les gens seraient fous de rage. lol
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19 juillet 2010 à 21 h 11
Peut-être ne le percevez-vous pas ainsi, mais le traffic engendre souvent un sentiment d’insécurité pour les usagers plus faibles, comme le vélo et le piéton. C’est un argument assez récurrent chez les familles pour ne pas s’installer au centre-ville.
La voiture détériore le cadre de vie, à moins de considérer que de voir passer des « beaux chars » améliorer le cadre de vie. Pas trop mon truc, j’avoue. En général, lorsque je recherche un nouveau logement, j’évite les grandes artères, pas vous?
Et Je parle pas du bruit. et des voitures en émettront toujours pas mesure de sécurité.
De plus le traffic crée des ruptures assez forte sur le territoire. Je parle pas que des autoroutes, mais aussi des boulevards.
Est-ce que ce seront des choses qui changeront lorsque les voitures seront moins polluantes? J’en doute.
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21 juillet 2010 à 00 h 44
La qualité de l’air. Ce sera probablement la plus grande amélioration. Suivie par la réduction du bruit (même si les véhicules doivent en émettre un pour des raisons de sécurité, il n’aura pas besoin d’être si fort car le niveau de bruit de fond aura grandement diminué).
Je concède sans problème les ruptures crées pour l’automobile. On a canalisé la moitié des ruisseaux de la ville (et pas mal tous ceux en haute-ville… si vous en trouvez un dites-le moi!) et certaines rivières, on a dynamité des caps, aplani des pentes, dressé des ponts, etc. question de se libérer de frontières naturelles. En même temps, on s’est créé un réseau de frontières anthropiques. Les chemins de fer d’abord (et encore aujourd’hui), puis les boulevards et les autoroutes.
Au moins, dans le cas présent, il n’est pas question d’ajout de telles frontières. Même qu’en général, de nos jours, la ville penche de plus en plus pour une réduction de celles-ci (réménagement des boulveards avec voies réduites et trottoirs plus larges par exemple).
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15 août 2010 à 19 h 19
si vous voulez faire un petit geste pour le Transport en commun,
faites partie de cette page facebook pour le Tramway à Québec:
http://www.facebook.com/home.php?#!/pages/Pour-le-tramway-a-Quebec-/128945493804559?ref=ts
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