Jean-François Néron
Le Soleil
(Québec) Les associations de marchands du Vieux-Québec «affichent» leur colère contre la Ville qui semble vouloir mettre un frein, d’une manière contestée, à des habitudes commerciales pourtant longtemps tolérées.
Jean-François Néron
Le Soleil
(Québec) Les associations de marchands du Vieux-Québec «affichent» leur colère contre la Ville qui semble vouloir mettre un frein, d’une manière contestée, à des habitudes commerciales pourtant longtemps tolérées.
Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Commercial.
20 juillet 2010 à 10 h 59
Ils devraient plutôt donner des contraventions quand la pancarte est un vraie torchon et laisser faire le reste du temps. Entre les vieux pylône tout rouillés des banlieues et les petites pancartes de restaurant il y a une marge…
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20 juillet 2010 à 11 h 50
Pas très réaliste que de demander aux inspecteurs de donner des contraventions sur des bases purement subjectives.
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20 juillet 2010 à 12 h 59
Donner des contraventions pour les ardoises des restaurants qui sont placées sur le trottoir ça ne fait pas de sens…
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21 juillet 2010 à 12 h 33
Avoir du sens c’est français, pas « faire du sens »
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20 juillet 2010 à 13 h 24
Ouh, des tableaux avec le menu du jour, quel crime! On a encore droit à des applications «by the book» par des inspecteurs zélés. Qui s’est déjà plaint de ces affichettes?
Pendant ce temps là, dans les quartiers de banlieue (comme le mien), on laisse traîner des remorques de camion pas entretenues placardées d’annonces peu esthétiques sur le bord d’un boulevard achalandé, devant des résidences. Ça aussi, c’est deux poids, deux mesures.
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20 juillet 2010 à 13 h 45
Faut nuancer : dans le cas Tutto Gelato, il ne s’agit pas du menu habituel affiché sur la facade, à l’entrée de l’établissement mais d’un panneau purement publicitaire posé sur le trottoir. On tolèrerait ce cas, qu’on verrait se multiplier ce genre de publicité pas toujours esthétique ni de bon goût.
Les commercants ont toujours été au courant de ce règlement mais finissent par se penser au-dessus des lois et règlements, ce que ne peuvent se permettre les simples citoyens.
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20 juillet 2010 à 18 h 10
L’article n’explique pas où est le problème d’avoir à se procurer un permis. On mentionne que ça prend une heure et demie. Le règlement existe depuis longtemps, alors les commerçants ne pouvaient-ils pas s’y prendre à l’avance?
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21 juillet 2010 à 00 h 20
D’un côté, je trouve ça débile une amende de 800$ pour un panneau, alors que pour le même « prix », on peut couper un gigantesque arbre centenaire au centre-ville, ou rouler à 100 km/h sur St-Jean…
D’un autre côté, si effectivement ils « savaient » que c’était « toléré jusqu’à temps que le règlement soit appliqué », c’était à eux d’y voir d’avance. Contrairement à ce qu’ils croient, c’est justement en plein été que c’est le temps de donner des contraventions. On ne fait pas des barrages routiers contre l’alcool le mardi à 10h du matin, on fait ça le samedi en fin de soirée lorsqu’il y a un risque. On ne va donc pas surveiller les affiches sur le trottoir le 24 novembre, on le fait l’été lorsqu’il y a de l’abus.
Bref, les commerçants auraient pu prendre une heure et demi par une fraîche journée de mai pour demander leur permis. Néanmoins, il faudrait voir s’il y a réellement deux poids deux mesures comme le prétendent certain, ou bien si on s’est d’abord attaqué aux cas les plus flagrants (dimensions, type d’information affichée, etc.).
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21 juillet 2010 à 09 h 42
Il faut aussi se demander le but de l’interdiction…
Si ça encombre le trottoir et nuit à la circulation:
Cela empêche les personnes à mobilité réduite et les poussettes de circuler sur le trottoir (ce qui va les obliger à circuler dans la rue…)
Cela pourrait aussi entraîner la responsabilité de la ville en cas de blessure s’il est prouvé que la ville est laxiste dans l’application de son propre règlement et qu’elle a laissé une affiche installée sur le trottoir sans permis. Donc, ce serait l’ensemble des citoyens qui paieraient pour ça…
J’imagine que c’est justement ça le but de demander un permis avant d’installer quelque chose sur une propriété publique, d’Assurer la sécurité des citoyens et des touristes… Tout n’est pas une question d’esthétique…
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21 juillet 2010 à 12 h 44
Au prochain conseil de Ville, à la période des questions, nul doute que le sujet sera abordé.
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21 juillet 2010 à 18 h 20
Ce qui me surprend le plus sur tout ça c’est le fait que personne n’ait remarqué que sur la très grosse photo de l’affiche de Gelato en 2 du soleil il est évident que cette affiche contrevient à la loi 101 d’une manière flagrante,on se croirait à Montréal.
Pour le reste ,il est évident que si on laisse faire,ça va ressembler au boulevard Kennedy dans 5 ans.
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