Source: Gilles Lavoie, Le Soleil, le 31 juillet 2010
Tout juste passé le pont Dorchester, à l’amorce de la 3e Avenue à Limoilou, on découvre à gauche, sous les arbres, un «fauteuil pour deux». De loin, on croit à un meuble laissé-pour-compte.
On approche, on tâte. Le «fauteuil» est dur et tout métal. On regarde de plus près. Un «tricot», lacéré par ci par là, de quelques milliers de petits écrous lui sert de revêtement. Un revêtement à claire-voie, d’ailleurs.
En complèment, Québec Hebdo avait déjà parlé des « Quatre artistes de Québec [qui] exposent sous vos fesses«
31 juillet 2010 à 22 h 57
Intéressant comme concepts. Mais ça doit être chaud pour les fesses quand le soleil plombe dessus.
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1er août 2010 à 06 h 35
Il est bien à l’abri sous plusieurs arbres donc pas vraiment de problème.
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