Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Québec dans le trafic: une rentrée infernale

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 septembre 2010 14 commentaires

Daphnée Dion-Viens et Annie Morin
Le Soleil

(Québec) Cette année plus que jamais, la rentrée à Québec rime avec trafic, congestion et bouchon de circulation autant pour les automobilistes que pour les usagers du transport en commun. Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) compare même la situation à «une tempête de neige par jour» depuis le début de septembre!

La suite

Québec dans le trafic: piégé!

Trafic à Québec: encore deux années à endurer

Québec dans le trafic: dans les circonstances

Québec dans le trafic: coincé sur la 20

Le covoiturage boudé

Toujours plus nombreux derrière le volant

Ne vous fiez pas aux panneaux

Voir aussi : Québec La cité.


14 commentaires

  1. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    17 septembre 2010 à 08 h 10

    De chez moi au travail, dans le secteur Lebourgneuf, il y a 6,5 km à franchir, en partie le long de Pierre-Bertrand ou Lebourgneuf: ça me prend environ 1h à pied (je le fais régulièrement, et ça tient en forme), 25 min à vélo (le plus souvent), 35 min par autobus (Métrobus et 60)…

    Et moi qui trouve que je travaille loin de la maison!!

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    • Yvan Dutil

      17 septembre 2010 à 10 h 24

      25 minutes à vélo. Il doit y avoir pas mal d’intersections à traverser. Moi, cela me prenait 35 minutes à l’aller et 25 minutes au retour pour faire Ste-Foy-St-Augustin, soit 12 km.

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      • julien Utilisateur de Québec Urbain

        17 septembre 2010 à 11 h 56

        Effectivement, Pierre Bertrand n’est pas l’idéal pour rouler à bicyclette. Les lumières étant synchronisées pour les autos (50km/h), on attrape souvent les lumières rouges.

        De plus, l’échangeur avec l’autoroute de la Capitale est particulièrement difficile à traverser. Pour passer de Pierre Bertrand Nord vers bouvier Ouest, cela peut prendre plusieurs minutes car il est impensable de faire un virage à gauche à vélo. Il faut alors traverser les rues Marais et Bouvier pour ensuite attendre et traverser Pierre Bertrand.

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      • Jean Cazes (monlimoilou.com)

        17 septembre 2010 à 19 h 35

        Étant un peu peureux de nature, je ne file pas très vite… et je n’arrive pas au travail en sueur (l’une des raisons « anti-vélo » évoquée par feue Andrée Boucher). En terme d’effort, c’est comme marcher! ;-)

        En passant, pourquoi cette obsession de toujours tout faire à la course?

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      • Yvan Dutil

        19 septembre 2010 à 12 h 15

        Dans mon cas, c’est une question de distance. Il est probable que 5-6 km, je pourrais me permettre de rouler un peu plus lentement. Mais quand on a 12 km, il faut aller un peu plus vite. N’empêche que ma vitesse de base est au environ de 20 km/h sur le plat.

        La semaine prochaine, je dois faire 17 km, pour me rendre à une conférence. Une bonne pratique car mes futurs bureaux sont juste à coté.

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    • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

      17 septembre 2010 à 19 h 41

      Je crois que vous marchez d’un bon pas.

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  2. Manu

    17 septembre 2010 à 12 h 37

    Ça me fait penser que le MTQ dis à propos des travaux de l’échageur Charest/Robert-Bourassa :

    « L’élaboration de ce projet est aussi l’occasion pour le ministère des Transports de contribuer à l’essor du transport collectif en ajoutant une voie réservée au transport en commun sur l’autoroute Robert-Bourassa, laquelle sera ouverte à la circulation pendant le déroulement des travaux. »

    http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/regions/capitale_nationale/chantier_rea_echangeur_a440_740

    Pas encore vu de voie réservée…

    J’imagine que ce sera en 2011 et 2012, lorsqu’on travaillera sur Robert-Bourassa (peut-être même juste en 2012, lorsqu’on aura réellement terminé la démolition et réfection de Charest Ouest au-dessus de Robert-Bourassa). Mais pour l’instant, rien pour aider… et comme le disais un des articles (et comme on le disait ici dans un précédent billet) la ville a vraiment mal planifié ses travaux.

    En plus de ceux mentionnés par l’articile, ajoutons dans le même secteur l’avenue Chauveau à l’est de St-Jacques, qui est d’ailleurs fermée à la ciruclation vers l’est, et le feux de circulation qui a été converti en « 4 stop ». Et vous savez où vous mène le détour pour Chauveau vers l’est? sur St-Jacques, 1,5 km vers nord, jusqu’à Johnny-Parent, là où l’intersection est justement en travaux…

    Il y a eu d’autres travaux pas mal moins embêtant plus tôt cette année. Pourquoi ne pas avoir fait les présents travaux entre avril et août, là où le trafic est beaucoup plus faible, plutôt qu’en plein mois de septembre? où on aurait plutôt fait les autres travaux qu’on a fait plus tôt cette année.

    Finalement, plusieurs travaux, même l’avenue Chauveau fermée à la circulation depuis quelqus semaines (et on ne pas pour combien de temps encore) ne sont PAS sur le site de la ville. Plusieurs autres travaux ont des dates erronées (celles prévues bien avant le début des travaux, et non les dates réelles) faute de mises à jour sur leur site web. Le site du RTC est curieusement beaucoup plus complet en ce qui concerne les travaux.

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    • Kp

      17 septembre 2010 à 12 h 40

      c’est une conspiration visant à obliger les méchants automobilistes à utiliser le transport en commun…

      (hi hi hi) c’est une joke…
      ne le prenez point au sérieux !

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      • Manu

        17 septembre 2010 à 20 h 36

        C’est que l’autobus est non seulement pris dans le trafic sur les artères, mais aussi dans les rues résidentielles où déborde le trafic. De plus, il doit suivre son parcours sans pouvoir prendre un autre chemin qui serait plu rapide. Bref, pour l’instant, ce n’est malheureusement pas une solution de rechange intéressante.

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      • Yvan Dutil

        17 septembre 2010 à 21 h 10

        Il suffit d’ajouter des charrues aux autobus. Problème régler.

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  3. Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

    18 septembre 2010 à 22 h 59

    Au fond, ces bouchons infernaux auront probablement un effet plus grand pour le RTC que n’importe quelle campagne de publicité.

    Cela dit, on a oublié de mentionner également qu’en septembre, il y a toujours une recrudescence dans le trafic due, entre autres, à la fin des vacances, la rentrée universitaire et collégiale. En général, on aperçoit une amélioration vers la fin septembre. On voit aussi le même phénomène en janvier.

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    • Manu

      19 septembre 2010 à 09 h 10

      Pour le RTC, pas vraiment… comme je disais, les autobus prennent encore plus de retard que les automobiles sur leur trajet. J’ajouterais de plus que plusieurs commencent leur trajet en retard. Bref, l’autobus n’est vraiment pas invitant en ce moment.

      Ce sera probablement différent aux étés 2011 et 2012 lorsqu’il y aura une voie réservée pour les autobus et que le trafic sera confiné à une (ou zéro!) voie. Toutefois, ce ne sera probablement que dans la zone de travaux, ce qui fera que les seuls autobus qui peuvent participer à une « conversion » des automobilistes, soit les parcours express, seront eux aussi pris en banlieue et encore là, plus que les automobiles comme c’est le cas cette année.

      Ce n’est vraiment pas de bonne augure.

      Quant à la « temporalité » de ce trafic, j’ai plutôt remarqué que ça va à la fin octobre, ou début novembre avant que
      ca s’améliore, mais on s’entend pour dire que c’est effectivement en septembre que c’est le pire, et qu’à chaque année, les gens ont l’impression que c’est énormément pire que l’année précédente, alors qu’il n’y a que quelques pourcents, tout au plus, d’augmentation du trafic d’une année à l’autre.

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      • Yvan Dutil

        19 septembre 2010 à 12 h 18

        Le problème est que les embouteillages augmente de façon exponentielle quand on s’approche de la capacité limite du réseau de transport. Aux É.-U., la crise économique a amené une réduction de 3% de la circulation automobile, les embouteillages ont diminué de 30%.

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      • Manu

        19 septembre 2010 à 23 h 57

        En effet. Donc le commentaire de « c’est vraiment pire d’une année à l’autre » doit surtout être vrai pour ceux en périphérie, où ça peut refouler assez loin. Ceux par contre qui sont plus près des centres d’action (par exemple, Duberger ou Giffard) ne doivent pas y voir aucune différence, sinon très peu.

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