Les constructeurs de maisons de la région de Québec demandent à l’administration du maire Labeaume de revoir sa volonté de densifier les secteurs urbains qui prive les ménages de profiter d’une maison unifamiliale, selon eux.
Les constructeurs de maisons de la région de Québec demandent à l’administration du maire Labeaume de revoir sa volonté de densifier les secteurs urbains qui prive les ménages de profiter d’une maison unifamiliale, selon eux.
Voir aussi : Étalement urbain.
4 octobre 2010 à 17 h 02
Des vrais arrièrés
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4 octobre 2010 à 18 h 57
Mais encore ?
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4 octobre 2010 à 17 h 26
Ça les privent surtout de gros revenus…ils ne me feront pas verser une larme.
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4 octobre 2010 à 17 h 53
Un beau cas de conflit d’intérêt. Leur opinion ne vaut malheureusement rien.
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4 octobre 2010 à 18 h 12
Il est vrai qu’ils seront privés de gros revenues.
Il est aussi vrai que ce n’est pas tout le monde qui voudra aller habiter dans Pointe-aux-lièvres, d’Estimauville ou la Cité Verte. Je ne vivrais à aucun de ces endroits, personnellement.
Que faire? Où est la solution? Qui l’a? Et surtout, quelle est-elle?
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4 octobre 2010 à 18 h 23
La solution :
1 – passer les 3 prochaines années pogné sur Henri IV ou Robert-Bourassa pendant que le MTQ fait des travaux.
2 – passer les 30 années suivantes pogné sur Henri IV ou Robert-Bourassa, parce que le réseau autoroutier ne suffit plus à la motorisation de tous les Québécois qui ont acheté des McMansion.
3 – Lire le Plan de mobilité durable publié 33 ans plus tôt mais non réalisé faute de volonté politique. (Ça aurait restreint les «libârtés»)
4 – Mourir en laissant en héritage une province sans le sou, dévastée écologiquement et encore dépendante du pétrole étranger.
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5 octobre 2010 à 07 h 31
Très bon! :)
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5 octobre 2010 à 22 h 39
Aller vivre à St-Augustin ou à l’Ancienne-Lorette! En tous cas, c’est ce que je vais faire.
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4 octobre 2010 à 18 h 50
Évidemment, les promoteurs qui font des maisons unifamiliale veulent sauver leur créneau. Mais si le marché change, pourquoi ne tente t’ils pas d’adapter leurs produits? Je ne vois pas pourquoi on fait une nouvelle avec ça.
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4 octobre 2010 à 18 h 52
C’est par le marché qui change c’est la ville qui veut forcer un changement.
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4 octobre 2010 à 19 h 36
Un changement dans un marché peut se produire par une volonté politique, comme Obama qui obligera les constructeurs à réduire la consommation de leurs véhicules.
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4 octobre 2010 à 20 h 50
Entre obliger les constructeurs à réduire la consommation de ses véhicules et obliger les clients à prendre le bus plutôt que leur auto, il y a une marge.
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4 octobre 2010 à 19 h 34
Je crois qu’ils devraient bâtir sur les champ à Beauport près de Bourg-Royal et aussi à Charlesbours près du nouveau quartier Rivières Roche dans le bois et agrandir le projet pour doubler le nombre de maison.
C’est ça qui devraient faire, pour êncore bâtir des maisons.
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4 octobre 2010 à 22 h 30
Ce sont des terres zonées agricoles. J’ignore comment fonctionne le processus d’un développement résidentiel. Quelqu’un sait?
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5 octobre 2010 à 00 h 07
– Promoteur fait des recherches de rentabilité
– Promoteur achète un terrain
– Promoteur demande permis selon la règlementation en vigueur
– Ville délivre le permis
– Promoteur construit et livre les unités
Dans les grandes lignes, c’est pas beaucoup plus compliqué que ça.
Pour ce qui est zoné agricole, la CPTAQ ne permet plus ou presque le changement de zonage, alors oubliez ça.
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4 octobre 2010 à 19 h 54
@ Francis L : j’ai l’impression moi aussi qu’il y a des prometteux qui ne veulent pas « revoir leurs plans » (sans jeu de mots).
La marge bénéficiaire doit être plus élevée quand on construit pour la énième fois la même maison dessinée sur autocad par un technicien de niveau cégep, dans une nouvelle rue entièrement défrayée par la municipalité de lointaine banlieue, avec Hydro-Québec qui plante des poteaux électriques tout croche comme en 1920.
Construire des condos de qualité demanderait trop d’efforts et – ô sacrilège – il faudrait engager ces élites snob qu’on appelle architectes.
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4 octobre 2010 à 21 h 43
Hydro-Québec est un chef de file international en gestion, en conception et en exploitation de réseau. On s’arrache son expertise dans les plus grands chantiers du monde, incluant les Trois-Gorges.
Si tu veux critiquer Hydro-Québec je te conseille de le faire sur un thème que tu connais ou qui est vraiment questionnable parce là tu perds de la crédibilité en lançant des choses comme ça…
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4 octobre 2010 à 22 h 07
@Georges-Antoine :
Tous les pays le moindrement développés enfouissent les fils électriques, et font de grands efforts pour ne pas gaspiller l’énergie.
Nous au Québec, parce qu’on a de l’électricité « cheap », on est devenus les champions de la pollution lumineuse.
Je suis fier d’Hydro-Québec à bien des égards… mais je ne m’abstiendrai pas pour autant de critiquer des pratiques d’aménagement passéistes et franchement douteuses au plan de l’aménagement urbain et de la protection du paysage.
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5 octobre 2010 à 08 h 25
Dans plus en plus de nouveaux quartiers, les fils sont enfouis… J’ai l’impression que c’est plus un choix du promotteur que d’hydro Québec car le promotteur doit ensuite refiler la facture à ses clients…
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5 octobre 2010 à 12 h 54
Enfouir ça coûte très cher en installation, en réparation et en entretient.
Certains chiâlent pour leurs compte de taxes et exigent du luxe en même temps; soyons conséquents.
Pour ce qui est de l’éclairage urbain, le choix technologique ne relève pas d’Hydro-Québec.
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5 octobre 2010 à 16 h 02
La facture d’enfouissement est en effet refilée aux utilisateurs, ce qui est inévitable. Le promoteur la refile aux résidents à même le prix du terrain. Pour l’éclairage de la ville, ça doit être une compensation incluse dans le prix d’achat initial. De plus, pour le petit bout entre la ligne enfouie et les compteurs résidentiels, Hydro-Québec facture le branchement comme à l’habitude, mais dans le cas des fils enfouis, c’est aux environs de 1300$ par branchement.
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4 octobre 2010 à 21 h 58
et pradiso, dis-moi donc à quel endroit on construit aujourd’hui sur des rues payées par la municipalités? Il y en a peut-être, je n’en connais simplement pas.
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4 octobre 2010 à 20 h 44
Ca fait normalement l’affaire des promoteurs de découper leur terrain en le plus de propriétaires possibles. Sauf qu’ils savent très bien que parfois il faut faire certains compromis sinon le client va ailleurs.
Ils préviennent la Ville des effets néfaste en cas d’exagération. Et ils ont raison, s’ils ne font que des condos, le gens vont aller vivre à St-Catherine au lieu de Neufchatel, priveront la Ville de Quiébec de taxes, et viendront saturer nos routes faute de transport en commun etc.
Evidemment si les gens vont ailleurs, ca fait pas l’affaire des prometteurs. Aussi, la ville est résolue à ne pas agrandir son périmètre d’urbanisation, alors les promoteurs qui ont des terrains en dehors de ce périmètre, ne serait-ce que juste de l’autre coté de la ligne, ont tout à craindre pour leur investissement.
Qu’importe les voeux-pieux de la ville, elle n’aura pas le choix de s’ajuster à la demande, voire même d’agrandir le périmètre qu’elle ne veut pas agrandir, surtout quand il n’y aura plus de place. La ville peut arriver à améliorer l’usage de ses rares terrains, mais c’est pas elle qui fixe les lois du marché.
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4 octobre 2010 à 20 h 46
« Les entrepreneurs déplorent que la Ville force le choix des consommateurs à habiter des condos du centre‐ville dans le but de fermer le périmètre d’urbanisation. »
… tout comme elle a forcé autrefois les consommateurs à habiter des bungalows en banlieue et adopter un mode de vie axé sur la dépendance à l’automobile. Juste retour des choses.
D’autre part, ce n’est pas parce qu’on construit à Pointe-Aux-Lièvres qu’on va raser Charlesbourg…
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4 octobre 2010 à 20 h 53
« Forcé » le monde à aller vivre dans des bungalows?
Hum…
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4 octobre 2010 à 22 h 09
Lorsqu’on sait l’homogénéité du cadre bâti résidentiel qui s’est construit de 1950 à 1990, oui, les gens étaient en quelques sorte résolue à vivre dans des résidences pavillonnaires (bungalows, cottage…). Les projets de nos jours sont beaucoup plus axés sur la diversité des typologies résidentielles, avec évidemment un retour du balancier en faveur de typologies permettant une plus grande densité compte tenu des préoccupations de développement durable qui n’existaient pas auparavant.
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4 octobre 2010 à 22 h 32
Les gens ont choisi ce mode de vie par choix et non pas par obligation.
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4 octobre 2010 à 23 h 04
Parce qu’il y avait des coopératives d’habitations qui permettaient aux familles de quitter leurs appartements minables du la basse-ville pour avoir une vraie maison avec un terrain. J’ai lut un roman basé sur l’histoire vraie d’une famille de Montréal qui vivait dans un appartement ouvriers tout ce qu’il y a de plus cheap, de plus mal-construit et de plus insalubres. Quand le bonhomme a eu assez d’argent mit de côté, ils se sont payé un petit bungalow et ils étaient très heureux. Mais ils auraient pu être très heureux dans un bon appartement avec un parc pas loin. Mais là, l’habitude est là et on est pris avec.
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4 octobre 2010 à 23 h 05
Excusez les fautes, je suis un peu fatigué.
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4 octobre 2010 à 22 h 04
Je ne vois pas trop pourquoi les constructeurs se plaignent… Que les gens se fassent construire leur maison à Ste-Foy ou à Pont-Rouge, il y a bien un constructeur qui construit cette maison là. On peut parler d’étalement urbain ou ce genre de chose, mais les constructeurs n’en ont rien à foutre et qu’ils ne viennent pas me faire croire qu’ils font cela « au nom de la population ». Qu’ils suivent la demande comme ils prétendent si bien savoir le faire…
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4 octobre 2010 à 22 h 37
A mon avis c’est les promoteurs (et non pas les constructeurs) qui acquis des terrains en dehors du périmètre d’urbanisation dans le but de les développer plus tard qui stressent avec le fait que la ville ne veut pas agrandir ce périmètre.
Pour les constructeurs que les gens se batissent à Ste-Foy ou Pont-Rouge ca change pas grand chose pour eux. Leur crainte est peut-être que les gens boudent carrément la région de Québec.
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4 octobre 2010 à 23 h 08
Ils construiront à Saint-Romuald s’il faut.
En fait, je pense que le problème c’est qu’une tour d’habitation ça ne se construit pas comme une maison et qu’ils n’ont pas tous l’expertises pour construire des tours d’habitation. C’est pas pour rien que tout d’un coup c’est rendu écolo de faire de gros immeuble en bois. C’est pas écolo du tout, ça nécessite plein d’arbres (quand bien même ils diraient qu’ils les recyclent…). En fait, une gros immeuble en bois ça peut être construit par une entreprises spécialisés dans les bungalow parce que c’est en bois comme les bungalows. En tout cas, c’est ce que je pense.
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4 octobre 2010 à 23 h 21
Il y a plus de 200 constructeurs dans la région de Québec et parmis ceux-ci, il y a environs 5 à 10 grands promoteurs qui contrôlent la majorité des terrains dans la capital. Il est certain que les petits constructeurs, demandent de meilleurs conditions, parce qu’ils ne peuvent acheter en grand lot des terrains disponibles. Ce sont plutôts les plus riches constructeurs (pour ne pas dire un autre nom) qui ramassent tous ce qu’ils peuvent. Naturellement, il faut avoir de bon ami(s) dans ce domaine.Bientôt vous verrez une nouvelle tendance pour construire à Québec, les acheteurs vont aquerir des maisons existantes pour les démolirent, afin de mieux reconstruire à leur goût. Selon moi, ça vaut la peine. Un terrain à ¨Rivière Des Roches¨ vaut actuellement entre 125000$ et 200000$ pour environs 7500 p². De plus avec une résidence, les projets s’élevent dans les 475000$. Si vous voyez une vieille maison à vendre dans les 150000$ à Québec ou Charlesbourg, faite le calcul….ça pourrait vous surprendre….
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5 octobre 2010 à 17 h 24
@Gilles
J’ai exactement vu quelque chose du genre près de chez moi, une petite maison qui me semble n’était pas si moche que ca qui a été rasée pour faire place à une plus grosse. C’est tout de même rare qu’on voit ca. La seule différence par rapport avec ce que vous dites c’est que c’est pas vraiment un secteur « recherché ».
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5 octobre 2010 à 06 h 21
Leur discours est contradictoire. D’un côté ils déplorent le manque de choix à Québec même. De l’autre côté ils ne semblent pas dire que cela empêche de faire le choix de la résidence unifamiliale en périphérie. Là où ils ont raison, c’est qu’on a là un étalement urbain d’un certain type, géographiquement plus étendu. Mais d’une manière ou d’une autre, ça reste des tas de maisons unifamiliale qui elle ne laisse pas le choix sur un autre aspect des choses: la voiture comme moyen de transport.
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4 octobre 2010 à 22 h 25
Tenez, un peu d’histoire.
Dans les années 50 il y avait un immense territoire qui ce trouvait
au nord de Québec. Ce territoire allait devenir la municipalité de
Charlesbourg-Ouest. C’était le début de l’urbanisation de la
banlieue. Or il existait à l’époque des terrains vacants de plusieurs
hectares qui étaient « spotés » par nulle autre que l’industrie
aéronautique (Douglas) et ce appuyé par le gouvernement
Duplessis. Malheureusement, c’est mêmes terrains étaient « spotés »
par des prometteurs qui désiraient tout simplement les ouvrires
a la « colonisation » des bungalows. Pour faire bref, comme
aujourd’hui, il existait une proximité incestueuse entre le pouvoir
politique locale et le pouvoir économique locale. Pour faire encore
plus bref, ce sont les prometteurs qui emportèrent la mise et
ce au détriment d’une industrie aéronautique Québécoise qui
allait s »établir a Montréal. Je vous laisse donc imaginer que
serait devenu Québec s’il elle avait pus obtenir que cette industrie
naissante construise ses usines sur notre territoire.
PS. Faudrait que je vous parle de la fois ou Québec a faillis devenir
un centre de production cinématographique dans les années 50/60.
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5 octobre 2010 à 16 h 29
Devenez rédacteur pour le blog, ce sera surement intéressant de vous lire! Voir comment ça se fait que la première ville d’Amérique est devenu un « gros village » et que c’est seulement aujourd’hui qu’on cherche à devenir ce que l’on aurait du être depuis longtemps (selon Frontnac) m’intéresse beaucoup.
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5 octobre 2010 à 17 h 27
A mon avis, Québec a été réduit au titre de gros village le jour où ils ont creusé le chenal permettant aux navires de monter jusqu’à Mtl et au-dela au lieu de devoir absolument être déchargé à Québec.
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5 octobre 2010 à 07 h 44
Petit Commentaire sur un gros Sujet :
Un gros et grand Promoteur ,ça spécule en grand;
Ça n’ a aucune limite dans ses visions de développement car,
il s’en fou ,
c’ est la rentabilité Maximum $$$ , au moindre coût.
Plus t’ es Gros, plus tu veux être Gros et pour lui, si tu est petit reste petit et bouge pas trop, si non…
Avec toutes les projets que la Ville a l’ Intention de mettre de l’ avant, les petits auront peu de place.
Si non, quand sous-contractance pour les GROS;
pis le p’tit parle pas trop fort : pour ne pas dire, ferme ta geueule Car tu ne sai sce que tu dit, mon petit…et je peu te renvoyer si tu me dérange trop !!!
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5 octobre 2010 à 11 h 41
J’ai passé mon enfance en blanlieue, ensuite au centre-ville et je suis de retour en banlieue. Toutefois, c’est en raison de l’offre ridiculement trop cher des condos au centre-ville que je suis encore en banlieue.
Je serait très intéressé par d’Estimauville ou encore pointe-aux-lièvres, mais encore là, je ne suis pas près à mettre 300 000$ pour co-habiter dans un 1 500 pieds carrés.
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5 octobre 2010 à 13 h 02
@ Erick
Un choix dicté par une idéologie et une grosse machine de lobby américain (parce qu’on a rien inventé ici, on n’a fait que copier un modèle américain: l’«american way of life») avec à leur tête, entre autres, l’industrie automobile.
Le système bancaire n’est pas non plus étranger au «choix» de vivre en banlieue alors qu’il favorisait (et favorise encore) l’achat d’une maison individuelle plutôt que d’autres typologies, et a fait en sorte que les maisons soit vu comme un investissement plutôt qu’un habitat comme ça a toujours été le cas avant cette période (La crise économique dont on ressort à peine a été causé par ce système hypothécaire).
À cet époque, il est vrai que les quartiers centraux étaient parfois en mauvais état, et les logements trop petits pour les familles de babyboomers. Lorsqu’un fermier vendait sa terre à un promoteur qui répétait la même maison sur une nouvelle rue au milieu du champ, c’était facile pour une famille qui en avait les moyens de souhaiter s’y établir. Était-ce la seul façon d’améliorer la qualité de vie de la population? Bien sur que non, mais c’était la plus simple, la plus rentable ($$$) et celle qui était encouragé à l’époque car fier symbole de modernité et de statut social. Les villes réglementaient pour que le développement ce fasse ainsi, donc peu d’autres typologies ont été construites à cet époque (quelques walk-up…). Encore aujourd’hui la règlementation, à bien des endroits, empêche ces quartiers d’évoluer… comme quoi les gens s’y sont peut-être établit non par choix, mais parce que c’était (en c’est encore aujourd’hui) trop souvent l’unique option.
Il faut sortir du paradigme: ville=condo; banlieue=maison pavillonaire. La réalité est plus complexe et les villes/banlieue doivent offrent et doivent encore plus offrir une vaste variété de typologies résidentielle afin de satisfaire tous les besoins et créer des quartier mixte autant dans le cadre bâti, les fonctions qu’on y retrouve que sa population (âge, statut économique, type de ménage, etc.).
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5 octobre 2010 à 16 h 09
Sur ce dernier point, on s’en sort probablement tranquillement, à voir la quantité d’unités en copropriétés ou en location qui se construisent autour des boulevards Lebourgneuf (d’un bout à l’autre) et Robert-Bourassa (aux environs de Chauveau et dans le Domaine Capitale à Duberger). Il y a d’autres endroits ailleurs bien sûr, mais il s’agit de zones développées depuis quelques années et on y voit une bonne diversité il me semble.
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5 octobre 2010 à 16 h 32
Chauveau et Robert-Bourassa se développent intelligemment mais autour c’est le n’importe quoi total, des ries sinneuses bordées de bungalow carrés avec des simulacre de façade en pierre (certaines maisons sont en vraie pierre mais c’est loin d’être la norme).
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5 octobre 2010 à 18 h 17
Ce ne sont pas tous les constructeurs qui sont contre la densification. C’est plutôt ceux qui avaient l’habitude de construire des bungalows et qui ne sont pas assez bien connecté avec les propriétaires des quelques grands lots disponiblent à Québec.
En affaires la capacité d’adaptation est essentielle à la survie……Le monde change, les habitudes des gens changent, les villes changent, les constructeurs doivent aussi changer et s’adapter.
Comme il y a toujours deux côtés à une médaille, ceux qui sont actuellement propriétaire de bungalows verront la valeur de leurs maisons grimper…..mais ca sera plus cher pour ceux qui voulaient en acheter un, alors il achêterons un petit condo, une maison en rangée ou un jumelé…….
Au lieu de chialer il faut s’adapter…..
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5 octobre 2010 à 23 h 43
Selon les constructeurs, on crée une rareté pour les maisons neuves à Québec. Donc logiquement, ils pourront les vendre plus cher et faire plus profits par maison. Raison de plus pour ne pas se plaindre….
Bref, ça revient à ce que plusieurs disent : ils ne sont probablement pas de conivence avec les bonnes personnes et se retrouvent avec des limitations sur « leur » territoire.
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15 octobre 2010 à 15 h 02
C’est aBsolument n’importe quoi.
Les constructeurs en question font rire d’eux autres. Ni plus ni moins.
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