L’Association provinciale des constructeurs d’habitations du Québec (APCHQ) – région de Québec déplore que le Plan de mobilité durable de la Ville de Québec impose un seul type d’habitation aux futurs acheteurs, le condo. Du coup, on stoppe indirectement la construction des autres types d’habitation, sans toutefois créer de véritables facteurs d’attraction pour inciter les consommateurs à choisir le centre-ville.
5 octobre 2010 à 17 h 18
Ou-est qu’ils ont pris ca qu’il ne se ferait plus du tout d’autres choses que des condos?
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5 octobre 2010 à 19 h 05
Un peu démagogique comme propos :
À ce que je sache les maisons en rangées, les jumelés et les maisons de ville ne sont pas, pour le commun des mortels, des condos.
Peut-être que d’un point de vue légal, ce sont des condos, mais je pense qu’on joue avec les mots ici.
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5 octobre 2010 à 20 h 21
Un jumelé une maison de ville ou en rangée ne sont pas au sens légal un condo.
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5 octobre 2010 à 22 h 02
Bon bien raison de plus pour dire que ces promoteurs mentent effrontément.
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6 octobre 2010 à 16 h 55
Les jumelés et maisons en rangées peuvent être en propriétés individuelles autant qu’en condo. C’est la beauté de ces types de bâtiments, vous préférez un mode ou bien l’autre, vous avez le choix pour pratiquement le même bâtiment. Possible qu’il y ait des petites différences, notamment sur la largeur des terrains (espace entre les voisins).
Un de mes amis avait même d’ailleurs acheté un jumelé en condo, lui et sa voisine ont ensuite faire modifier le tout pour convertir ca en maisons séparées. En fait à l’origine c’était des maisons en rangées de 6 unités qui étaient planifiées à cet endroit, mais les acheteurs ne voulaient que des unités de bout et boudaient les milieux, alors il a ajusté le tir en créant des 2 x 2 jumelés ou quelque chose du genre, même si ca lui faisait perdre quelques unités au total. La preuve qu’on ne peut pas forcer les consommateurs à acheter ce dont ils ne veulent pas.
Personnellement je suis proprio d’un jumelé et je suis bel et bien chez moi, ne partageant que la toiture et le drain agricole avec mon voisin, les seuls deux seuls cas où je peux avoir à négocier lui.
J’avais aussi visité des maisons en rangées et ils ne m’ont jamais dit que c’étaient des condos. Il y avait par contre certains droits de passage (pour l’accès arrière aux unités du milieu) qui peuvent varier selon le cas. Si ca avait été des condos ils ne m’auraient pas parlés de droits de passage sur un terrain qui appartient déjà à tous.
Mais on peut pleinement supposer qu’un promoteur puisse offrir le même bâtiment en mode condos. On est pas obligé d’être l’un par dessus l’autre pour être en condo.
p.s. Vous parlez à la fois de maison en rangée et de maisons de ville, y a t’il une différence, car dans ma tête à moi c’est exactement la même chose?
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5 octobre 2010 à 23 h 09
Personnellement, je crois que oeu importe ce que la Ville de Québec fait, elle ne pourra arrêter l’étalement urbain, du moins pas du vivant de personne ici. La raison est fort simple : l’étalement urbain se fait déjà en bonne partie en dehors des limites de la ville. Donc déjà en partant l’objectif de la ville est un voeux pieux. Alors leur argument comme quoi les présentes mesures ne permettront pas d’atteindre cet objectif n’a absolument aucune valeur.
Le seul moyen d’y parvenir serait une concertation régionale, mais n’y comptons pas. C’est à peu près la seule source intéressante de revenus pour les petites municipalités autour de Québec, le maire Labeaume n’a aucune (pas encore du moins) diplomacie à cet égard; il serait plutôt du genre à demander, pardon… exiger du gouvernement du Québec un moratoire sur le développement dans les 100 km autour des villes. Finalement, mon p’tit doigt me dit que ce ne seront pas les constructeurs qui viendront proposer une telle mesure régionale!
Au mieux, la ville peut tenter de ralentir l’étalement urbain. À cet égard, on peut en effet se questionner à savoir si les mesures prises (moin d’unifamiliales) ralentissent ou accélère celui-ci (en dehors des limites de la ville notamment). Toutefois, comme on l’a dit dans un récent billet, les constructeurs (de maisons…) n’en ont probablement rien à foutre de l’étalement urbain. Au contraire, l’étalement urbain les arrangerait. Donc encore là, j’accord peu de crédibilité à leur récente sortie.
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6 octobre 2010 à 13 h 04
Je pense que la population de Québec ne grossira « jamais » assez pour rendre le traffic invivable. Donc les gens qui préfèrent vraiment la banlieue continueront d’y vivre. Ceux qui sont ambivalents vont peut-être se laisser tenter, à condition que les logements soient attrayants à plusieurs niveaux.
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