Lextrémité nord de la rue Seigneuriale à Beauport donne accès à un sentier et à un boisé fréquentés à lannée par les randonneurs et les motoneigistes. Mais dautres visiteurs ont un comportement outrageusement incompatible avec les premiers en considérant lendroit comme un dépotoir où on peut se débarrasser de carcasses danimaux, de matériaux de construction et dautres indésirables.
via Pierre-Olivier Fortin du Soleil.
Mise à jour 2010-10-18 : Le Beauport Express a publié un autre article sur cette problématique : Dépotoir à ciel ouvert au nord de la rue Seigneuriale
12 octobre 2010 à 18 h 02
Ça c’est un vrai manque de fierté et d’intelligence.
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12 octobre 2010 à 20 h 20
lol
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13 octobre 2010 à 11 h 56
Lol?
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12 octobre 2010 à 21 h 08
Sur le boulevard Raymond à la hauteur des lignes d’Hydro c’est le même problème et dans le rayon dangereux au bout du chemin du Lac-des-Roches des gens tirent un peu partout avec environs n’importe qu’elle arme à feu, des douilles de tout calibre partout sur le sol, les affiches de la ville trouée comme des passoires, endroit non recommandé la nuit…
Les gens ne savent pas vivre et le service de police ne réussi pas a répondre assez rapidement pour prendre les malfrats!
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12 octobre 2010 à 22 h 15
Il en coûterait probablement moins cher à la ville de subventionner l’achat de caméras de surveillance aux propriétaires des lieux, que d’envoyer un agent constater les dégâts à chaque plainte. Sinon, les propriétaires des deux terrains sur lesquels passent le prolongement de la rue pourraient très bien clôturer le bout de la rue. D’ailleurs, on dirait que ça ne dérage curieusement pas les propriétaires…
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13 octobre 2010 à 02 h 04
[…] Pollueurs tenaces à Beauport L'extrémité nord de la rue Seigneuriale à Beauport donne accès à un sentier et à un boisé fréquentés à lannée par les randonneurs et les motoneigistes. Mais dautres visiteurs ont un comportement outrageusement incompatible avec les premiers en cons… (tags: lcb local societe 2010-10-12) […]
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13 octobre 2010 à 11 h 58
C’est pas mal les limites de la ville à cet endroit. On dirait un no-man’s land.
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