Renée Larochelle
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Si un incendie réduisait le château Frontenac en cendre demain matin, que reconstruirait-on à sa place? Un édifice de style gothique qui lui ressemblerait vaguement ou plutôt un bâtiment à l’architecture résolument contemporaine? «Nous avons parfois tendance à reproduire ce que l’on connaît et à rester collés à certaines images nostalgiques», déclare l’architecte Jacques White, pour qui la réponse à cette question ne va pas de soi.
14 octobre 2010 à 21 h 05
Si demain un incendie détruisait le Château Frontenac, il y aurait
un type énervé qui ce pointerait une heure après pour déclaré
sans trop réfléchir, « Il faut le reconstruire dès demain. La ville
s’engage pour 40% et Harper, je suis sûr de son accord, pour
l’autre 60%. »…et trois ans après nous aurions encore des ruines
célèbres caché par du plywood.
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14 octobre 2010 à 21 h 47
Tiens, ça fait penser au Manège militaire…. ou à St-Vincent-de-Paul. Par extenstion, on peut aussi penser à l’agrandissement du musée sur Grande-Allée ou le « neuf » qui remplacera le « vieux » ne fait pas l’unanimité.
Quant au Château Frontenac, même si ce n’était qu’un exemple (assez symbolique quand même), notons qu’il remplace en quelque sorte le dernier château St-Louis, incendié, dont les ruines sont juste à côté. Dans ce cas on a conservé le style original en bonne partie, bienqu’on aurait pu faire autrement (je ne connais pas les styles qui prévalaient à l’époque) et on serait d’ailleurs aujourd’hui habitué à ce « autrement » sans se poser de question.
J’aime l’analogie : « transmission de la flamme et non conservation des cendres »
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15 octobre 2010 à 08 h 16
Le Manège Militaire… Il est coincé dans la vieille ville, pas d’accès facile à l’autoroute et ça vas coûter une beurrer à l’armée pour reconstruire dans les murs à l’identique. En plus, ils ne veulent même pas refaire à l’identique, ils veulent une bâtisse fonctionnelle. Moi je pense que ça vas traîner très longtemps cette affaire là. Si l’armée décidait de ne pas revenir, le terrain et les ruines pourraient êtres cédées à la ville qui pourrait trouver des partenaires pour faire quelque chose avec ça. En autant de laisser tomber le « reconstruire à l’identique ». Tu restaure les murs de pierre de la façade, tu refait un toit inspiré du style d’origine mais pour le reste, du vas dans le contemporain.
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17 octobre 2010 à 14 h 14
en parti d’accord.. ça aurait du servir de point central.. de connexion entre les plaines et la grande allée.. un point central.. un peu à l’image de la place des festivals à montréal
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