Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Importante consultation publique sur le quartier du Vieux-Moulin

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 octobre 2010 12 commentaires

Intéressante rencontre pour les citoyens à venir le 26 octobre. On va traiter de dossiers controversés du secteur du Vieux-Moulin. On parle du ruisseau pollué qui est canalisé à plusieurs endroits, la redoute Montcalm et les terres de Saint-Michel-d’Archange (SMA) entourant le centre hospitalier Robert Giffard.

Les résidents du quartier du Vieux-Moulin de l’arrondissement de Beauport seront appelés à se prononcer sur les grandes orientations de développement dans leur milieu lors de l’importante consultation publique qui aura lieu le mardi 26 octobre prochain à 19 h au Centre de loisirs du Petit-Village, 2900, boulevard du Loiret.

«Les principaux dossiers traités par le Conseil de quartier du Vieux-Moulin depuis quelques années comme la mise en valeur du ruisseau du Moulin, les terres SMA, la redoute Montcalm et la circulation seront, entre autres, à l’ordre du jour de cette rencontre. À cette occasion, les résidents pourront non seulement exprimer leurs attentes quant au développement du quartier, mais aussi proposer des projets ou appuyer ceux qui seront proposés. Une partie de l’exposition « Je me souviens…d’un ruisseau et d’un moulin », de même que la maquette du moulin seront sur place», souligne la présidente Marie-France Legault.

via Michel Bédard de Beauport Express.

Voir aussi : Arrondissement Beauport, Patrimoine et lieux historiques.


12 commentaires

  1. lacapitaleblogue.com | links for 2010-10-15

    16 octobre 2010 à 02 h 01

    […] Importante consultation publique sur le quartier du Vieux-Moulin Intéressante rencontre pour les citoyens à venir le 26 octobre. On va traiter de dossiers controversés du secteur du Vieux-Moulin. (tags: lcb local urbanisme 2010-10-15) […]

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  2. Claude Jean

    30 octobre 2010 à 09 h 15

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  3. Claude Jean

    30 octobre 2010 à 10 h 04

    Étude de caractérisation de l’arrondissement historique de Beauport

    Dans le contexte de l’élargissement du concept de patrimoine et de la nécessaire adaptation aux exigences contemporaines , la Commission des biens culturels du Québec publiait, en septembre 2002, Un cadre de référence pour la gestion des arrondissements historiques. Cet outil, de portée générale, prescrit d’en adapter les principes à la réalité particulière de chacun des arrondissements historiques.

    Le processus d’application du cadre de référence est une démarche en trois étapes.

    • L’étude de caractérisation de l’arrondissement : synthèse historique et identification des traces qui subsistent de cette histoire.
    • L’énoncé de valeurs et de critères d’interventions : traduction des caractéristiques patrimoniales de l’arrondissement en normes et en pratiques de gestion.
    • L’ABC de l’arrondissement historique : outil de sensibilisation patrimoniale à l’intention des résidents actuels et futurs de l’arrondissement.

    Le présent document porte sur la première étape de cette démarche en trois temps pour l’arrondissement historique de Beauport.

    La recherche a été confiée à Mme Denyse Légaré, Ph.D., historienne de l’art et de l’architecture. Les commentaires des directions de la Capitale nationale et du patrimoine du ministère de la Culture et des Communications ainsi que ceux de la Société d’art et d’histoire de Beauport en ont enrichi le contenu. Le service de l’aménagement du territoire de la Ville de Québec a fourni les cartes des limites de l’arrondissement aujourd’hui. La Commission les remercie toutes et tous chaleureusement de leur précieuse collaboration.

    Adoptée par la Commission des biens culturels du Québec, l’ Étude de caractérisation de l’arrondissement historique de Beauport vise donc à révéler les traces tangibles et les traits dominants toujours perceptibles dans le territoire visé . Ce sont ces traces mêmes qu’il est essentiel de préserver et de mettre en valeur pour la survie de l’arrondissement historique.

    Pour en savoir plus sur le sujet consulter le lien suivant:

    http://www.cbcq.gouv.qc.ca/beauport.html

    Merci de militer pour la sauvegarde de la redoute Montcalm!.

    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!

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  4. Claude Jean

    30 octobre 2010 à 10 h 12

    Est-ce la dernière chance de visiter les sites du Q. G.
    de Montcalm et de sa redoute avant leur disparition ?

    Québec – Arrondissement de Beauport, 17 août 2007- À moins de 4 mois de fêter le
    400e anniversaire de Québec et un peu plus d’un an de commémorer le 250e
    anniversaire de la conquête anglaise par le Général Wolfe, les vestiges du quartier
    général du marquis de Montcalm et de la redoute française occupés par les troupes
    du Général français Montcalm sont toujours menacés par la construction d’immeubles
    d’habitation. Les terrains où se trouvent ces sites hautement symboliques et chargés
    d’histoire font l’objet d’un grand intérêt pour les promoteurs immobiliers.
    On sait que la ville de Québec réfléchit depuis près de quatre ans sur un plan
    d’aménagement du secteur; la ville a ainsi laissé passer le dernier appel d’offres pour
    la vente des terrains sans lever le petit doigt. Selon Mme Nicole Lizotte, présidente de
    la Société d’art et d’histoire de Beauport (SAHB), « même si le zonage du secteur
    permet de contrôler le développement immobilier, il est évident que la construction de
    condos empêcherait de mettre en valeur l’intérêt premier d’une redoute comme celle
    du marquis de Montcalm : soit les percées visuelles qui offrent l’occasion de
    mettre en valeur et de comprendre toute la stratégie militaire et le déplacement
    des troupes lors des différentes tentatives anglaises de prendre Québec par la
    Côte de Beauport ».
    « Les percées visuelles, voilà l’intérêt de ce site, voilà l’héritage qu’il nous
    appartient collectivement de mettre en valeur » ajoute la présidente de la SAHB.
    Pour l’instant, non seulement la ville fait la sourde oreille et refuse de racheter
    l’ensemble de cet emplacement symbolique, mais, qui plus est, le service de
    l’urbanisme de l’arrondissement envisage également le prolongement d’un boulevard
    urbain ! « Il nous reste peu de temps, à l’aube du 400e anniversaire de Québec et du
    375e anniversaire de Beauport, pour rajuster notre vision à long terme et rendre à ce
    lieu la mémoire et les honneurs auxquels il a droit.

    Pour en savoir plus sur le sujet consulter le lien suivant:

    http://www.histoirequebec.qc.ca/PDF/communiqu%E9%20Redoute&QGMontcalm.pdf

    Merci de militer pour la sauvegarde de la redoute Montcalm!.

    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!

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  5. Claude Jean

    30 octobre 2010 à 10 h 15

    Ami(e)s de Québec protègeons notre histoire
    10 janvier
    Ami(e)s de Québec protègeons notre histoire
    Des condos menacent la redoute de Montcalm
    Julie Lemieux
    Le Soleil
    Québec

    À la veille du 400e anniversaire de Québec, les vestiges du quartier général et de la redoute française occupés par Montcalm pendant la Conquête de 1759 pourraient être transformés en condos. Ces terrains historiques, situés à Beauport près de l’ancien centre Cinquième saison, ont été vendus à la société immobilière Olymbec, qui n’a toutefois pas encore signé le contrat.

    Depuis sept ans, la Société d’art et d’histoire de Beauport (SAHB) tente de convaincre les autorités municipales et provinciales de protéger ce lieu et de le transformer en parc d’interprétation de la guerre de 1759. C’est en effet à cet endroit, connu sous le nom de coteau de Giffard, que Montcalm s’est réfugié pour observer les troupes britanniques. C’est là qu’il a installé son campement, qu’il attendait le débarquement de Wolfe pendant le siège de Québec et qu’il a fait construire une imposante redoute. C’est là qu’il a vécu ses derniers jours et qu’il a vu les Anglais lui faire une feinte pour l’attaquer ensuite sur les plaines d’Abraham.

    Encore aujourd’hui, on comprend pourquoi Montcalm avait choisi ce coteau comme point d’observation militaire. La vue sur le fleuve, sur la ville, sur l’île d’Orléans et sur la Rive-Sud y est large, magnifique. La redoute n’est plus reconnaissable et elle a été altérée avec le temps. Mais la SAHB croit qu’il serait très facile de la reconstruire, tout comme on l’a fait pour la redoute de Wolfe dans le parc de la Chute-Montmorency.

    Pendant le siège, Montcalm avait aussi réquisitionné les maisons environnantes et fait de l’une d’entre d’elles son quartier général. Cette résidence, appelée Villa Montcalm, a par la suite été propriété du brasseur et riche homme d’affaires John Racey et de deux maires de Beauport.

    Sauvons notre patrimoine!

    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!

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  6. Claude Jean

    30 octobre 2010 à 10 h 22

    Plaque de la bataille de Montmorency.

    En lien avec la demande de sauvegarder la villa et redoute Montcalm, voici la plaque commémorative de la Victoire française à Montmorency.

    Texte de la plaque
    Bataille de Montmorency

    Ici, le 31 juillet 1759, les troupes françaises, sous Montcalm et Lévis, repoussèrent l’armée du général Wolfe.

    Pour plus de détails consulter le lien suivant:

    http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/RPCQ/detailBien.do?methode=consulter&bienId=99274

    Protégeons notre patrimoine!

    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!

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  7. Claude Jean

    30 octobre 2010 à 10 h 29

    BATAILLE DE MONTMORENCY

    Contexte
    En juillet 1759, le général Wolfe hésite beaucoup. Il élabore divers plans de débarquement qu’il ne met finalement pas à exécution. À la fin du mois, la côte de Beauport demeure néanmoins son objectif privilégié. Il avait d’ailleurs établi le 9 juillet un campement sur la rive est de la rivière Montmorency. De là, il pouvait observer et surtout bombarder les positions françaises. Mais cette fois, il s’agit de mener une opération d’envergure.

    Ce plan consiste à faire débarquer ses troupes à Beauport, près de Montmorency, dans le but de prendre une redoute française pour ensuite la renforcer et ainsi attirer Montcalm hors de ses retranchements. Or, au début de l’opération, soit le 31 juillet, ce que le général observe lui-même à partir d’un bateau de transport, et ce, sous le feu des batteries françaises, c’est que la redoute convoitée est située beaucoup plus près des lignes françaises que ses observations faites à partir de l’île d’Orléans lui avaient laissé croire. Il réalise que même s’il prenait la place, il ne pourrait la conserver longtemps. À peine l’opération est-elle commencée que celle-ci est vouée à l’échec. Que faire alors? Tout annuler? Une telle décision affecterait sans doute le moral des troupes qui s’attend à une bataille décisive. De même, sa crédibilité et son autorité risqueraient d’être remises en question98.

    Du côté français, observant les mouvements de troupes britanniques, Montcalm ordonne de sonner l’alarme générale vers 12h00. Tous doivent se rendre à leur poste dans les retranchements qui s’étendent entre les rivières Saint-Charles et Montmorency.

    Déroulement / bilan
    Cette alerte n’est pas sans créer un certain désordre que Wolfe remarque et qui l’amène à prendre une décision : modifier son plan et attaquer. Il ordonne conséquemment à Townshend et à Murray, qui se trouvent au campement de Montmorency, et à Monckton, à Pointe-Lévy, de se préparer. Dans l’après-midi, les troupes de Monckton s’apprêtent à effectuer un débarquement, mais sont arrêtés par une barrière de blocs de pierre visible uniquement à marée basse. L’opération est suspendue jusqu’à ce que le général décide d’un meilleur endroit pour s’exécuter. Vers 17h30, des Grenadiers et des hommes du 60e régiment mettent pied à terre et dirigent l’attaque. Parallèlement, les troupes de Townshend et de Murray traversent la rivière à gué au bas des chutes (uniquement possible à marée basse) et se dirigent vers l’ouest pour rejoindre les hommes de Monckton fraîchement débarqués.

    Pendant ce temps, Montcalm suit les déplacements des troupes britanniques. Son défi est d’anticiper l’endroit où elles vont débarquer. Au fur et à mesure que progresse l’ennemi, il s’avère évident que la bataille sera livrée près de Montmorency. Montcalm renforce donc son aile gauche commandée par Lévis.

    Du côté britannique, les soldats sont très fébriles. Ils attendent ce moment depuis maintenant un mois. Mais cette fébrilité les perdra. Les Grenadiers, sans attendre que les hommes de Monckton ou que ceux de Townshend et Murray ne soient arrivés pour supporter l’opération, partent à l’assaut des lignes ennemies en tentant d’escalader les hauteurs pour atteindre leurs retranchements. Les Français abandonnent sur le champ la redoute et ouvrent le feu99.

    L’opération est désastreuse pour les Britanniques. D’abord, la pente à escalader par les Grenadiers s’avère beaucoup plus abrupte que Wolfe et ses hommes ne l’avaient évaluée. Et comme si ce désordre n’était pas suffisant, la nature vient jouer les trouble-fête. Alors que les Français sont vraisemblablement près de manquer de munitions, un orage éclate, rendant encore plus difficile, voir impossible, l’ascension de l’escarpement qui mène aux lignes françaises. Qui plus est, cette ascension est gênée par le feu de tirailleurs dissimulés dans des bosquets. Les habits rouges des Grenadiers offrent d’ailleurs une cible parfaite100.

    Pendant ce temps, la pluie fait d’autres dommages : elle noie la poudre des fusils, mettant par le fait même fin à la fusillade qui a cours. Les Grenadiers se voient alors dans l’obligation de rebrousser chemin et se retirent à la redoute où les 15e et 78e régiments ont pris place. Quant à eux, les hommes de Townshend, peu avant l’orage, s’attaquent à la redoute du Sault. La situation n’est pas meilleure pour eux : les défenseurs, relativement à l’abri de la pluie, font un feu incessant sur leurs assaillants, dont la progression est ralentie par la boue101.

    À ce moment, Wolfe a déjà compris que l’attaque est un échec. La marée commence à monter, ce qui risque de couper toute possibilité de retraite aux hommes de Townshend et de Murray. Ces derniers, avant même qu’ils aient pu rejoindre le reste de l’armée, doivent donc rebrousser chemin et retraverser la rivière Montmorency à gué avant qu’il ne soit trop tard. Quant aux régiments de la première brigade, incluant les Grenadiers encore vivants, ils repartent dans leurs bateaux, exception faite d’une partie du 78e régiment qui prend la direction du camp de Montmorency et escorte, par le fait même, le général Wolfe102.

    À sept heures, l’orage est terminé, tout autant que la bataille de Montmorency. Alors que le ciel s’éclaircit et que la brume se dissipe, les Français peuvent voir, du haut de la falaise, le mouvement des troupes ennemies qui battent en retraite. Une immense acclamation retentit : les Français ont remporté la victoire!

    Le bilan de l’opération chez les Britanniques est désastreux : 210 morts et 230 blessés. Quant à l’armée française, les pertes s’élèvent à environ 70 morts et blessés, la majorité tombée sous le feu de l’artillerie britannique installée du côté est de la rivière Montmorency103. Les Français peuvent néanmoins respirer de nouveau. L’ennemi a été repoussé.

    Conséquences
    La défaite subie par les Britanniques à Montmorency porte un solide coup à Wolfe. La décision d’attaquer à ce moment avait été prise après plusieurs semaines d’indécision et de tergiversations et l’opération avait échoué. La défaite met le général en furie; colère qu’il déversera principalement sur les Grenadiers dont il critique la conduite impétueuse, irrégulière et indisciplinée. Tous trouvent ces accusations exagérées. La critique n’est d’ailleurs pas sans altérer les relations entre le général et son état-major.

    Des mesures sont prises par le général pour la suite du siège. Il donne d’abord l’ordre d’occuper les troupes pendant qu’il prépare une autre attaque. Il fait aussi renforcer le contrôle du fleuve Saint-Laurent en amont de Québec. De plus, la campagne de peur et de destruction menée depuis juillet 1759 prend de l’ampleur. Pendant cet été, qui paraît certainement interminable pour les villageois qui habitent les terres en aval et en amont de Québec, les hommes de Wolfe brûlent environ 1400 maisons, granges, fermes et églises. Ces opérations sont en grande partie menées par les Rangers et les hommes de l’infanterie légère104. Wolfe fait aussi augmenter le rythme des bombardements sur Québec. La nuit du 8 au 9 août est particulièrement dévastatrice; la basse-ville est attaquée et trois incendies éclatent simultanément105.

    Mais, plus important encore, la défaite de Montmorency en juillet 1759 entraine une rupture entre Wolfe et ses brigadiers. Ces derniers, qui ont passé l’été dans l’attente d’un combat, voient enfin leur commandant prendre une décision. Mais celle-ci est désastreuse. Le ressentiment envers Wolfe à la suite de la défaite est décuplé et les critiques se mettent à fuser de toutes parts, plus particulièrement de son état-major avec qui les relations se font de plus en plus tendues.

    http://bataille.ccbn-nbc.gc.ca/fr/siege-de-quebec/bataille-de-montmorency/

    Merci de militer pour la sauvegarde de la redoute Montcalm!.

    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!

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  8. Claude Jean

    30 octobre 2010 à 10 h 32

    La bataille de Montmorency et le régiment de la Sarre.

    « 1759—Le régiment quita ses quartiers le 27 may pour aller

    joindre les généraux à Québec. Il arriva le 28 à l’anse des Mers36

    et campa le 29 à la rivière St-Charles, où il s’occupa à faire des retranchemens

    dirigés par Mr de Savournin et par un lieutenant du

    régiment.

    « Le 10 juin, après s’être défait des gros équipages que les Anglais

    brûlèrent quelques jours après, on campa à Beauport, au dessus de la

    Canardière: la Sarre et Languedoc à la droite, Béarn et Guienne au

    centre, un bataillon de Béri et Royal Roussillion au Saut de Montmorency.

    Le 123 7 les Anglais commencèrent à bombarder Québec et à le

    canonner avec 60 pièces d’artillerie.

    « Le 14 Mr de Lévi et Mr de Beauclair, capitaine de la Sarre,

    allèrent avec 4 hommes de chaque bataillon à l’isle aux Galops (30

    lieues au dessus de Montréal) pour la fortifier.38

    « Les ennemis, qui avaient placé 40 pièces de ca,non au Saul de

    Montmorency, firent avancer trois vaissaux qu’ils embossèrent pour

    faciliter la descente. Nous occupâmes nos lignes et nos retranchemens.

    A midi leurs batteries et leurs vaissaux firent un feu concidérable et

    ils firent débarquer 6000 hommes dans des bergues. A 6 heures, par une

    pluie d’orage, ils tentèrent de forcer nos lignes. Ils furent repoussés

    et obligés de s’embarquer.

    http://www.erudit.org/revue/haf/1950/v3/n4/801595ar

    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!

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  9. Claude Jean

    30 octobre 2010 à 10 h 47

    Le 2ème bataillon du régiment de la Sarre.

    Pour en savoir plus sur le régiment de la Sarre et son combat à Montmorency consulter le lien suivant;

    http://www.regimentdelasarre.ca/

    Rendons hommage aux valeureux soldats du Roy! Sauvegardons la redoute Montcalm.!

    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!

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  10. Claude Jean

    8 novembre 2010 à 10 h 46

    L’importance de sauvegarder la redoute Montcalm.

    « Siège de Québec de 1759 : l’efficacité du « camp retranché » »

    L’an 2009 marque le 250e anniversaire du siège de Québec, qui a
    détruit une grande partie de la ville. Pourtant, ce n ‘était pas faute
    d’un imposant système défensif : loin de se cantonner aux plaines
    d’Abraham, il s’étendait à l’est au-delà de l’enceinte de la capitale de
    la Nouvelle-France. Visite du « camp retranché »,
    dans les actuels Limoilou et Beauport.

    Pour tout savoir sur ce sujet consulter le lien suivant:

    http://www.erudit.org/culture/continuite1050475/continuite1056239/15669ac.pdf

    En souhaitant que cet article puisse permettre de sauvegarder et mettre en valeur la redoute Montcalm haut lieux de notre histoire et de notre patrimoine.

    Bonne lecture et découvertes.

    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!

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  11. Claude Jean

    8 novembre 2010 à 13 h 31

    [Avis et prises de position
    du Conseil des monuments et sites du Québec
    Les ravages d’un boulevard urbain
    A u printemps 2002, la Société
    d’art et d’histoire de Beauport
    (SAHB) et un groupe de
    citoyens informaient le CMSQ
    de leur préoccupation quant au
    prolongement du boulevard
    F r a n ç o i s – D e Laval j u s q u ‘à
    l’autoroute Félix-Leclerc. Les
    citoyens s’inquiétaient de la
    pollution environnementale.
    Sur le tracé de l’autoroute se
    trouvent les ruines de la villa
    Montcalm, qui aurait servi de
    quartier général à Montcalm en
    1759. Ici, la villa dans les années
    1910-1920.
    Photo: coll. Lise Couture
    Saint-Hilaire
    sonore et visuelle qu’entraînerait
    un boulevard urbain à forte
    densité de circulation et ils
    craignaient la disparition d’un
    site historique aussi important
    que méconnu, celui de la villa
    et de la redoute Montcalm.
    Le site, à proximité de l’arrondissement
    historique de Beauport,
    occupe un promontoire
    offrant une vue imprenable sur
    le fleuve Saint-Laurent, l’île
    d ‘ O r l é a n s et la vallée de la
    rivière Beauport. Il renferme les
    vestiges d’une redoute française
    ainsi que ceux d’une maison
    ayant servi de quartier général
    au marquis de Montcalm en
    1759. Témoins du passé militaire
    de Beauport, ces vestiges
    rendent compte d’une pratique
    architecturale propre au XVIIe
    siècle et de l’occupation du site
    aux XVIL et XVIIP siècles.
    Le projet de prolongement du
    boulevard François-De Laval
    émane de la Ville de Québec.
    Ce sera elle qui en assurera la
    conception, le financement et
    l’exécution. Or non seulement
    le projet menace l’intégrité du
    site de la villa et de la redoute
    Montcalm, mais son achèvement
    rendrait impossible la
    mise en valeur du site. Et si ce
    projet se concrétise, il ajoutera
    une autre page noire à l’histoire
    de l’aménagement du boulevard
    F~rançois-De Laval. En
    effet, le premier aménagement
    routier de c e t t e artère a été
    réalisé au détriment des vestiges
    historiques de la distillerie
    Young et de la brasserie de
    Beauport, qui ne pouvaient
    guère plus être mis en valeur.
    Qui plus est, la réalisation de
    ce boulevard a altéré de façon
    d é f i n i t i v e l’aspect de l’arrondissement
    historique de
    Beauport.
    Plusieurs citoyens de Beauport,
    de pair avec la SAHB, se
    sont mobilisés pour sauvegarder
    ce site exceptionnel et ont
    présenté une demande de classement
    à la ministre de la
    C u l t u r e et des Communications,
    madame Diane Lemieux.
    Le CMSQ a fortement appuyé
    cette demande et a reconnu la
    valeur historique incomparable
    du site. D’autre part, le CMSQ
    a joint sa voix à celle de la
    SAHB et du comité de sauvegarde
    afin de persuader les
    élus municipaux d’évaluer un
    autre parcours possible pour le
    prolongement du boulevard
    FVançois-De Laval.

    http://www.erudit.org/culture/continuite1050475/continuite1054447/15552ac.pdf

    Protégeons notre patrimoine avant qu’il ne soit trop tard!

    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!

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  12. Claude Jean

    8 novembre 2010 à 15 h 11

    Le patrimoine archéologique des fortifications du Québec.

    La présente étude est réalisée dans le cadre de la participation du Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition Féminine du Québec au Répertoire canadien des lieux patrimoniaux. Son objectif est d’identifier le patrimoine archéologique des fortifications situé sur le territoire québécois. L’objectif ultime d’une telle démarche est de permettre une meilleure visibilité, une meilleure mise en valeur, une plus grande diffusion, une bonne préservation ainsi qu’une conservation accrue des sites archéologiques canadiens.
    Cette étude recense donc les différents lieux du Québec où se situent des traces du patrimoine architectural militaire défensif. C’est à travers la documentation historique, les études historiques et archéologiques, les rapports de fouilles, l’Inventaire des sites archéologiques du Québec (ISAQ) et le Répertoire du patrimoine culturel du Québec (RPCQ) que ces sites ont pu être identifiés. Ainsi, il est possible de déterminer quels sites font actuellement l’objet d’un statut fédéral, provincial ou municipal, ceux qui ont fait l’objet de recherches archéologiques et ceux qui ne nous sont connus qu’à travers la documentation historique et la mémoire collective.
    Quarante sites ont pu être identifiés et douze d’entre eux sont actuellement sous la juridiction d’organismes dépendant directement du gouvernement fédéral, tels que Parcs Canada et la Commission des champs de bataille nationaux. Puisque ces organismes participent de façon indépendante au RCLP, ils ne font pas partie des recommandations de cette étude. Seize des quarante sites bénéficient actuellement d’un statut provincial ou municipal et se trouvent sur la liste du RPCQ. Finalement, douze sites ne possèdent actuellement aucun statut et n’ont jamais fait l’objet de recherches archéologiques.

    Pour tout savoir à ce sujet consulter le lien suivant:

    http://www.mcccf.gouv.qc.ca/fileadmin/documents/publications/patrimoine/archeologie/Santerre-fortifications.pdf

    Préservons notre patrimoine pour qu’il ne tombe dans l’oubli!

    Bonne lecture et découvertes.

    Soldat Sanspareil
    2ème bataillon du régiment de la Sarre
    Vive le Roy!

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