Les résidents de Neufchâtel, Lebourgneuf et Loretteville tournent en rond, depuis quelques semaines. Loin de perdre leur temps, ces automobilistes doivent se familiariser avec un élément encore méconnu du système de transport québécois, le carrefour giratoire.
via Luc Fournier de Québec Hebdo.
Voir aussi: Le carrefour giratoire est opérationnel (…ou presque)
20 octobre 2010 à 15 h 24
Réduit les accidents et super intéressant pour les automobilistes (en fait, j’aime bien cela).
Mais si compliqué à traverser pour un piéton!
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20 octobre 2010 à 17 h 06
C’est vrai, j’espère qu’ils vont déneiger les espèces de trottoirs au centre parce que si non, je ne sais pas trop comment en vas traverser ça. Ça vas être compliqué pour les déneigeurs. À moins qu’ils décident de nous faire contourner par la piste cyclable en en déneigeant un bout.
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20 octobre 2010 à 19 h 29
Pourquoi veux tu qu’il déneige les « espèces » de trottoirs au centre ce n’est pas fait pour cela. Il faut traverser au niveau des passages prévus à cet effet, juste avant le cédez le passage pour la voiture. Et donc le piéton aura juste à tourner autours du carrefour giratoire, comme une voiture. Cela n’est pas compliqué, le seul problème c’est que les automobilistes a Québec ne savent pas ce que signifie un passage pour piétons et ils ne les laissent jamais traverser cet endroit, contrairement à l’Ontario ou en Angleterre.
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20 octobre 2010 à 19 h 48
Il vas falloir qu’ils déneigent ces passages dont vous parlez. Et ça, je ne suis pas certain qu’ils vont le faire. Ils déneigent même pas les trottoirs de Robert-Bourassa et ne déglacent le tunnel près des Galeries de la Capitale qu’après qu’on porte plainte. Ils vont surement déneiger les trottoirs qui l’entourent, mais ceux qui permettent de traverser c’est autre chose…
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20 octobre 2010 à 21 h 41
Un piéton n’a pas à traverser un carrefour giratoire, il doit en faire le tour
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21 octobre 2010 à 00 h 04
Pier Luc : la ville a admis l’an passé son erreur pour Robert-Bourassa et ça sera correct à l’avenir (ou c’était il y a deux an et c’était déjà correct l’hiver dernier?).
Mais effectivement, la ville n’est pas forte sur le déneigement des jonctions « rue-trottoir ». Ou bien c’est la gratte de troittoir qui tourne le coin sur le trottoir sans rejoindre la rue (ou à cause du « V » entre la rue et le trottoir la pelle ne se rend pas jusqu’au sol), ou bien c’est la gratte de rue qui laisse exacetment à cet endroit son « petit banc de neige de gossage de coin de rue », ou bien c’est un (un, pas tous) idiot d’ingénieur civil qui a décidé de mettre les grille d’égoûts pluviaux à cet endroit, question que la neige, la glace et la slush convergent en petits et gros mottons à cet endroit à chaque journée un peu plus douce, pour bien geler la nuit et boucher la grille.
La-dessus on s’entend probablement: autant la ville que les sous-contractants ne savent pas déneiger une jonction rue-trottoir, et les ingénieurs embauchés par la ville ou sous-contractés à cette fin ne savent pas les concevoir adéquatement pour les piétons (ou jouent la carte de l’ignorant en disant que ce n’était pas précisé dans leur mandat, ou pire que c’est « toujours de même que ça c’est fait » sans se poser de question).
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20 octobre 2010 à 16 h 38
Je confirme, pour avoir marché en masse au pays des giratoires (france), ce n’est pas du tout une bonne idée de les utiliser là où il y a ou il risque d’y avoir des piétons dans le futur. Quoi qu’entre traverser ca ou un intersection avec permission de virer à droite sur la rouge… je suis pas sur lequel est le moins pire!
C’est vrai que ca limite les gros accidents. Un stop ou une lumière rouge, il y a toujours le risque qu’un distrait passe tout droit à toute vitesse et ramasse un malchanceux sur son passage, mais avec un giratoire, c’est impossible de le traverser à grande vitesse sans aboutir dans dans le terreplein central.
Je suis surpris qu’on ait pris autant de temps au Québec à implanter des giratoires. Pourtant tourner en rond on connait ca depuis longtemps… Maintenant on a le bon outil pour le faire!
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20 octobre 2010 à 20 h 48
Les giratoires cela prend plus de place qu’une intersection classique. C’est aussi plus cher.
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21 octobre 2010 à 06 h 41
Quand on l’a l’espace ca ne coute pas vraiment plus cher. N’oublions pas qu’un « set » de feux de circulation ca coute une fortune à installer et aussi à maintenir. A une intersection près de chez moi ils n’ont fait qu’ajouter des feux de piétons aux feux de circulation déjà existants d’une intersection… au prix de 18000$. Ca donne une idée de ce que ca peut couter d’installer des nouveaux feux de A à Z.
Si les pays pauvres optent pour des giratoires au lieu des feux de circulation c’est probablement pcq le giratoire revient moins cher.
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20 octobre 2010 à 21 h 49
Des carrefours giratoires, il n’y en avait pas avant que les feux de circulation ne soient installés dans leurs emplacements actuels ?
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21 octobre 2010 à 00 h 10
Je ne connais vraiment pas l’histoire des intersections, mais je sais que la plupart des rues n’existaient pas à Québec lorsque les feux de circulation sont apparus dans les villes (probablement il y a 75 ou 100 ans à Québec). Avant leur installation, il y avait peut-être des panneaux d’arrêts ou des agents qui faisaient la circulation. Mais de toute façon, le faible niveau de véhicules (et leur lenteur, autant pour les automobiles que pour les chevaux) ne justifiait probablement pas d’avoir des feux de toute façon.
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21 octobre 2010 à 07 h 09
Habitant Bruxelles, je peux vous dire que les giratoires, on les contourne quand on est piéton ! On ne passe pas au centre … ca serait de la folie ^^
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21 octobre 2010 à 10 h 02
Mais même en faire le tour, les automobilistes auront le cédé mais ne comprendront pas le passage piéton.
J’haitais à côté d’une carrefour giratoire à Trois-Rivières et je peux vous dire que c’est très compliqué pour un piéton… et c’est uassi plus long qu’en ligne droite.
Et on sait, les piétons (même s’ils ne devraient pas faire cela) prennent le chemin le plus court. Ca va être de toute beauté!
Mieux vaut, selon moi, faire ces carrefour dans des endroits où il y a peu de piétons. Ca vaudrait mieux pour tout le monde!
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21 octobre 2010 à 10 h 27
Ça me fait toujours rire quand on parle de carrefour giratoire comme étant quelque chose de tout nouveau dans la région. Voici donc en primeur, un carrefour giratoire… vieux d’au moins 36 ans!! (mon âge…)
https://maps.google.ca/maps?ie=UTF8&ll=46.771552,-71.309584&spn=0.00122,0.002387&t=h&z=18
https://maps.google.ca/maps?ie=UTF8&ll=46.771269,-71.310089&spn=0,0.002387&t=h&z=18&layer=c&cbll=46.771204,-71.310193&panoid=MrBgA_GqA4L73fjXeOUMqg&cbp=12,54.38,,0,4.39
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21 octobre 2010 à 13 h 23
Je sais… on doit admettre que ces carrefours sont rares, mais pas « récents ». D’ailleurs, quand on a ouvert celui sur le boulevard de la Morille il y a quelques années, on prétendait que c’était le premier à Québec. Pourtant, mis à part le marquage au sol, il y en avait déjà ailleurs (les autres n’ont tout simplement pas de marquage au sol, mais ont le reste de la signalisation avec le « cédez » et les flèches).
Il y en a entre autres un sur Legendre, puis il y en avait un sur la rue de la Boussole (ce n’en est plus un depuis qu’on a changé les « cédez » pour des arrêts). L’échangeur à la tête des ponts comprennait aussi un tel carrefour (pas mal plus gros) en plus des autres bretelles, jusqu’à ce qu’on le « coupe » il y a une vingtaine d’années.
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8 novembre 2010 à 01 h 03
[…] Carrefour giratoire : Quand tourner en rond réduit les accidents Les résidents de Neufchâtel, Lebourgneuf et Loretteville tournent en rond, depuis quelques semaines. (tags: lcb local urbanisme 2010-10-20) […]
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