Source : Radio-Canada, 21 octobre 2010
Une oeuvre s’ajoute sur la promenade Samuel-de-Champlain. L’oeuvre intitulée Appalaches est une sculpture en aluminium réalisée en 1977 par l’artiste Lewis Pagé, décédé en 2007.
L’imposante sculpture de 13 mètres de hauteur est installée entre les quais des Flots et des Hommes, au pied de la côte à Gignac. Cette oeuvre, qui a été offerte par la famille de l’artiste, est la 8e à être placée le long de la promenade Samuel-de-Champlain, fait valoir Denis Angers, directeur des communications à la Commission de la capitale nationale.
Récemment : Huit chevaux d’acier trônent dans le parc Notre-Dame-de-la-Garde, au pied du cap Diamant
22 octobre 2010 à 00 h 56
http://www.capitale.gouv.qc.ca/realisations/monuments-plaques-oeuvres/appalaches.html
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22 octobre 2010 à 06 h 11
Ma première impression: il me semble que cette oeuvre aurait eu plus fière allure si le socle sur lequel elle repose – et qui fait partie intégrante de l’oeuvre – avait été enfoui, comme le sont les canalisations d »égout et que la partie aérienne avait été au ras du sol. Car ce support tubulaire n’empêchera pas les jeunes de grimper sur la partie aérienne, si c’était là l’objectif. Et si on avait fait un monticule pour couvrir ce « tuyau de béton » ?
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22 octobre 2010 à 13 h 37
Je remarque qu’une barrage psychologique ou médiatique a été défoncée;
Vous souvenez-vous de la controverse de l’œuvre de Pierre Bourgeault
(Longitude 51, latitude 42) ?
L’inauguration de cet oeuvre encore plus abstraite ne fera aucune controverse …. … Pourquoi?
Parce que la Grogne ,avec sa guillotine, s’est déplacée ailleurs!
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22 octobre 2010 à 17 h 47
En ce qui concerne la création de M. Bourgeault,je crois que ce qui n’avait pas aidé, à l’époque, c’était que les médias nous la présentait seule en gros plan sans aucun référentiel quant à son intégration sur les lieux et on n’avait pas d’idée non plus de sa dimension car il n’y avait jamais personne à proximité sur les images. Ainsi cela nous apparaissait littéralement comme un mur immense alors que dans les fait ce n’est pas le cas et l’objet n’est pas si mal en fin du compte. Pour ce qui est de l’oeuvre de M. Pagé, je ne l’ai pas encore vue dans son environnement.
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22 octobre 2010 à 17 h 23
Désolé mon commentaire négatif de la droite, mais cela n’est pas de l’art; l’écrivain, le poète, l’architecte, le peintre, le sculpteur sont tous des artistes, mais ne venez pas me faire avaler que cette chose est de l’art. La peinture sur le mur d’Ex Machina, c’est de l’art; la fontaine de Tourny, c’est de l’art; la murale dans le petit-Champlain, c’est de l’art, l’édifice du parlement, c’est de l’art, ce sont tous des ajouts positifs à notre environnement urbain… mais cette affaire-là!! faite lors d’un trip de champignon!! désolé amis de la gauche qui aiment bien tout subventionner jusqu’aux crayons de couleurs pour les élèves, mais je le répète, c’est laid et sans valeur artistique!
scindez mon commentaire de critiques, gâtez-vous :)
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23 octobre 2010 à 07 h 21
Communiqué sur le portail Québec:
Intitulée Appalaches, l’œuvre de 13 mètres d’envergure évoque les montagnes du même nom qui entourent le lieu où créait l’artiste. « C’est au cours des dernières années de sa vie, tapi dans un atelier d’art offrant une vue imprenable sur la forêt habitée des Appalaches, que Lewis Pagé a produit ses œuvres les plus originales, les plus attachantes et les plus empreintes de la folie créatrice inspirée de la vie rurale quotidienne et de la riche nature environnante », a expliqué Anne-Marie Simard-Pagé, fille de l’artiste.
Lewis Pagé a consacré 45 années de sa vie à la sculpture. De 1963 – les 12 chapiteaux historiés de la basilique Sainte-Anne-de-Beaupré – à 2010 – le dévoilement de l’œuvre Appalaches sur la promenade Samuel-De Champlain – en passant par l’année 1970 – à Osaka pour sa Famille assise choisie par le Québec lors de l’Exposition universelle -, un grand nombre d’œuvres signées Pagé marquent l’espace urbain, dans la capitale nationale et ailleurs dans le monde. Certaines pièces sont familières des Québécois, dont la Dispute philosophique située sur le terrain du Grand Théâtre de Québec, le buste Louis-Hémon à Péribonka et la Marie-Immaculée sur la falaise à Sillery.
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23 octobre 2010 à 08 h 57
Vos six derniers mots disqualifient votre opinion d’emblée. Manifestement vous n’avez pas encore compris que la beauté n’a rien à voir avec l’Art, et que la valeur artistique d’une œuvre dépasse largement son esthétique. Vous ne semblez pas prêt pour l’art contemporain.
Je ne vous en blâme pas, c’est le propre de bien des gens. Ça demeure assez hermétique lorsqu’on ne prend pas la peine d’essayer de comprendre et qu’on ne se fie qu’aux premières impressions à partir d’une photo.
Mais dans ce cas, un peu d’humilité vous siérait mieux, et vous interdirait ce genre de commentaire. Il ne fait qu’ajouter à cette impression persistante que les gens de droite sont fiers de leur ignorance et l’encouragent.
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23 octobre 2010 à 10 h 19
De plus en plus de choses, commentaires, attitudes, semblent me convaincre, Frédéric, que votre dernière phrase s’avère d’avantage chaque jour au Québec et particulièrement dans la région de Québec. Et c’est assez désolant.
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23 octobre 2010 à 12 h 27
11 mars : En Allemagne, Paul Joseph Goebbels devient le ministre de la propagande nazie. Il déclenche la campagne d’autodafés des livres et de destruction des œuvres d’art « dégénérés ».
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23 octobre 2010 à 18 h 47
Ha ha! Appel à Hitler.
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23 octobre 2010 à 07 h 23
Les autre sculptures déjà installées:
Outre Appalaches, les chambres d’art de la promenade Samuel-De Champlain accueillent en effet pas moins de sept autres œuvres marquantes d’artistes contemporains. Il s’agit de Convergence, de Jean-Pierre Morin, de Plonger, d’Hélène Rochette, de Latitude 51° 27′ 50 » – Longitude 57° 16′ 12 », de Pierre Bourgault, de Là où la terre fait danser les mats, d’Yves Gendreau, de Structures de vent, de Daoust-Lestage, de Nos regards se tournent vers la lumière, de Roland Poulin, et du prototype d’Éolienne V, de Charles Daudelin.
Plus à l’ouest, la station des Cageux accueille également une œuvre d’art. Une sculpture en bronze de Suzanne Gravel, intitulée Le 3 juillet 1808 sur le Saint-Laurent, y est installée à l’ouest du pavillon des Cageux, au pied de la côte Ross.
Source: http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Octobre2010/21/c4757.html
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23 octobre 2010 à 09 h 02
Sur le site de la C.C.N.Q., on lit que l’oeuvre « Appalaches » aurait été réalisée en 1977 par l’artiste Lewis Pagé. Si cette date est exacte, cette sculpture est donc âgée de 33 ANS. Question : à quel endroit se trouvait-elle depuis plus d’un quart de siècle ?
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23 octobre 2010 à 10 h 00
Je passais ce matin sur la Promenade Samuel-De Champlain et j’ai vu l’oeuvre de M. Pagé. Le socle sur lequel elle est posée, à moins qu’il ne fasse partie de l’oeuvre, enlève toute la légèreté aérienne de la sculpture. Étonnant. Mais bon. Peut-être suis-je dans l’erreur.
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23 octobre 2010 à 10 h 50
Serai-ce une future place d’exposition pour les artistes sculteurs??
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23 octobre 2010 à 18 h 49
C’était prévu comme cela dès le départ.
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23 octobre 2010 à 15 h 54
Ok, si on a le droit de critiquer l’architecture des nouveau projets, alors on a le droit de critiquer les oeuvres d’art aussi.
Voir https://www.quebecurbain.qc.ca/2010/10/21/dix-sept-batiments-locatifs-vont-s%E2%80%99ajouter-dans-les-meandres/
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23 octobre 2010 à 16 h 35
Bien sûr. Mais lorsque vous n’aimez pas un projet d’architecture, votre argument principal ressemble-t-il à « Ce n’est pas de l’architecture? »
On peut ne pas aimer une œuvre d’art public. Mais pourquoi, lorsqu’on n’aime pas, se rabattre sur l’argument « Ce n’est pas de l’art? ». On peut ne pas aimer l’esthétique de l’édifice Marie-Guyart. Mais dira-t-on que ce n’est pas de l’architecture? On peut ne pas aimer Proust. Mais dira-t-on que ce n’est pas de la littérature?
En voulant retirer une œuvre qu’on n’aime pas du champs artistique auquel il appartient, on opte pour la facilité, et on se condamne à ne jamais voir plus loin que le bout de son nez.
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23 octobre 2010 à 19 h 09
Évidemment, je ne cautionne pas les propos du genre « ce n’est pas de l’art ».
Mais, disons seulement que je ne trouve pas que c’est la plus belle oeuvre d’art qu’on a à Québec.
Je vous dirais aussi que Riopelle a fait de très belles peintures dans sa carrière, cependant ver la fin, j’ai l’impression qu’il faisait un peu n’importe quoi et que ça pognait quand même à cause du nom Riopelle.
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23 octobre 2010 à 22 h 20
La sculpture de la France dans le vieux n’était qu’un vaste complot pour nous faire apprécier n’importe quelle autre œuvre d’art moderne.
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