Isabelle Mathieu
Le Soleil
(Montreux, Suisse) «Nous, on veut faire du développement durable, pas juste de la peinture verte.»
Après deux visites à l’hôtel de ville de Québec, Angelo Labate, président de la firme de développement Vaestas, a pu décrire, hier à Lausanne, au maire Régis Labeaume sa vision pour développer l’écoquartier D’Estimauville.
23 octobre 2010 à 15 h 55
Très content de voir que des investisseurs sérieux veulent investir dans le projet! Ça augure très très bien.
À l’heure où l’on parle de l’échec de rentabilité du village olympique de Vancouver, je vois un potentiel de mariage entre écoquartier et village onlympique. On pourrait se servir d’un des futurs écoquartier en tant que village olympique. Il faut exclure d’Estimauville parce que la ville le veut pour 2016, mais la construction de Pointe-aux-Lièvres pourraît être synchronisée avec le rêve olympique.
En plus, c’est bien situé par rapport au stade!
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23 octobre 2010 à 18 h 25
Oublions les Olympiques, pas les moyens. A moins qu’ils
soient « backer » financièrement par le privé et ce a 100%.
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24 octobre 2010 à 12 h 56
Les Olympiques de 2022, il faut oublier ça. La date est trop rapprochée des JO de Vancouver.
Au mieux, il faut faire de cette candidature une « pratique » pour les JO de 2026.
Ou alors faire la souveraineté du Québec pour que la candidature de 2022 soit celle d’un autre pays que le Canada. (Mais à voir les zozos du MLQ qui «pognent» dans la région de Québec, et l’avancée rapide de l’anglicisation sur l’Ile Montréal, ce n’est pas demain la veille.)
En ce qui concerne le village olympique, pourquoi ne pas réquisitionner 3 paquebots qui resteraient à quai quelques mois? De toute manière, il n’y aura plus de glaces dans le fleuve rendus là… Ça serait une solution très économique.
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23 octobre 2010 à 21 h 05
Je ne suis pas contre le rêve olympique, mais y’a trop d’incertitudes autour de notre candidature. Même pour une bonne candidature c’est jamais dans la poche. Ce serait très hasardeux de planifier le développement urbain en fonction de ça à ce stade ci. Même chose pour ceux qui justifient un tramway en invoquant les olympiques. Je préfère rester plus terre à terre et d’y aller selon les besoins et les opportunités les plus immédiats. Le jour où le CIO nous aura choisi, eh bien là ce sera le temps de planifier en conséquence. Sinon, on risque de se retrouver avec un trou dans la trame urbaine pour longtemps.
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23 octobre 2010 à 23 h 15
pourtant, il y avait des reportages à la télé dernièrement qui montraient que les villes candidates déchues s’en tiraient très bien car, justement, elles avaient pu avoir plein d’infrastructures qu’elles n’auraient pas eu autrement…
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23 octobre 2010 à 17 h 04
même s’ils apparaissent sérieux, je me réjouirais à la dernière brique de poser… « remember » la Neuro-Cité… ;-)
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24 octobre 2010 à 09 h 36
Jean Cazes, sur son blog monlimoilou.com, met le lien vers cette entreprise intéressée: je le reproduis ici:
http://www.k-werkstatt.ch/index.php/fre
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24 octobre 2010 à 14 h 26
Et sur ce lien, ils cherchent un gérant de projets qui serait installé à Montréal pour le projet de Québec. Eh ben ! Faut dire qu’avec le TGV, il pourra être rapidement à Québec.
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24 octobre 2010 à 14 h 12
J’ai bien hâte de voir ce qu’ils proposeront!
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24 octobre 2010 à 15 h 05
Pour conclure sur les Olympiques, la meilleur façon d’en voir
la rentabilité ou non, c’est d’observer le comportement du
privé. Investissement=rentabilité=profit, non-investissement=
non-rentabilité.
Le meilleure exemple c’est place Ste-Foy. Investissement de
$50 millions parce que c’est drôlement rentable. Nouveau
Colisée, pas d’investissement parce que pas rentable.
De même pour les Olympiques
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24 octobre 2010 à 21 h 34
Les olympiques ne sont pas rentables pour le privé. Mais lorsque le but est de doter une ville d’infrastructures NÉCESSAIRES, les olympiques sont rentables pour la communauté.
C’est la seule chose à comprendre; relis la phrase plusieurs fois si tu n’es pas capable du premier coup.
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25 octobre 2010 à 08 h 15
Le problème, c’est que la plupart des infrastructures qui sont créés lors des Olympiques ne sont pas nécessaires, car s’ils étaient si nécessaires que ça, on les aurait ou on penserait s’en doter sans même parler d’Olympique
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