Source : Johanne Roy, Journal de Québec, le 4 novembre 2010
Certains indices laissent croire que le ministre Yves Bolduc pourrait annoncer prochainement qu’il renonce au partenariat public-privé pour le projet de modernisation de l’Hôtel-Dieu de Québec.
Cette option est dans l’air depuis un bon moment. Au cours d’un récent forum organisé à Montréal, par l’Institut pour le partenariat public-privé, le PDG d’Infrastructure Québec, Normand Bergeron, a fait une présentation stratégique de projets en PPP.
Or, selon les renseignements obtenus par Le Journal de Québec, il n’aurait pas fait mention de l’Hôtel-Dieu de Québec, un projet pourtant évalué à plus de 700 millions de dollars.
Au cabinet de M. Bolduc, on affirme que le ministre fera connaître sa décision au cours des prochaines semaines. « L’annonce sera faite en temps et lieu. Des échanges sont toujours en cours entre le ministère de la Santé et Infrastructure Québec. L’organisme soumettra sous peu ses recommandations à son conseil d’administration, puis les déposera au ministre », précise l’attachée de presse du ministre Bolduc, Karine Rivard.
Rénovation de l’Hôtel-Dieu : on discute toujours du mode de financement.
Projet d’agrandissement de l’Hôtel-Dieu : début de la phase 1 à la fin de l’été.
Donc selon le dernier paragraphe de l’article, l’immeuble « Budget » sera démoli au printemps, vous êtes donc averti, il ne vous reste qu’un hiver pour l’immortaliser en photos…
4 novembre 2010 à 12 h 46
Maudit politicien à m…
on avance,
on recule,
on tourne à droite,
on tourne à gauche,
on fait du sur place,
on danse la chacha sans musique,
pour finir par laisser tomber et refiller la responsabilité à quelqu’ un d’ autres ! ! !
Vraiment comment pouvons-nous les croires, encore et encore ?
Ne sommes nous pas due, pour une nouvelle révolution tranquille; mais cette fois POUR des principes nouveau et différent de gouvernance ? ?
Je suis tanné de mourir……. !
Et vous…?
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4 novembre 2010 à 13 h 23
Par contre, si on avance trop vite, on peut faire des erreurs ou des dépassements de coûts…
et, ça c’est encore plus mortel pour un politicien…
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4 novembre 2010 à 21 h 44
Donc si,
je comprend bien et s’ il y a des dépassement de coûts, ce ne sera pas le pauvtichien qui payera la note.
Mais qui…je pense un peu trop le deviner;
la facture est pour vous !
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5 novembre 2010 à 09 h 15
Il faut juste savoir ce qu’on veut…
Quelqu’un qui agit vite mais qui fait des erreurs qui peuvent entraîner:
Des pertes d’argent
Des constructions douteuses ou mal placées
La démolition d’immeubles que 30 ans plus tard on regrette d’Avoir démoli
Ou encore, si on veut éviter toutes ses erreurs, on choisit quelqu’un qui réfléchit trop longtemps au risque:
De voir des projets ne jamais se réaliser (Ex. LE chum)
Des études par dessus études (ex TGV)
Bref, pas de solution magique. Mais, ici on aime bien élire des gens pour qu’ils fassent avancer des dossiers, et après un prend un malin plaisir à manifester pour empêcher tout projet…
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5 novembre 2010 à 09 h 34
Cette nouvelle n’est pas mauvaise en soi. Ce qui était mauvais en fait, c’est la décision de recourir au PPP qui était risquée depuis le début et était davantage le fruit d’une idéologie que d’un choix sensé. Les libéraux ont été trop ambitieux avec les PPP, qui convient pour faire des bouts d’asphalte, mais pas pour un projet aussi complexe qu’un méga-hôpital. Complexe à un point tel qu’aucun consortium d’entreprises privés n’aurait été capable d’assurer que le projet couterait X$ en prennant Y temps. C’est ce qui se passe avec le CHUM. Or, un PPP est justement un mécanisme par lequel on s’assure que les coûts et les délais seront respectés en faisant prendre l’engagement par une ou des entreprises privées qu’elle fera le projet dans les paramètres convenus. Ces projets, vaux mieux qu’ils soient châpeautés par le gouvernement. Il sera ainsi plus facile d’ajuster le tire en cours de route. Et puis il peut bien y avoir des PPP pour quelques segments du projet.
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6 novembre 2010 à 23 h 35
Moi je trouve ce projet très risqué. L’hôpital est vieux et sera dur à rénover.
Il ne faut pas refaire l’erreur de l’hôpital Honoré-Mercier à Saint-Hyacinthe.
Rénovons le minimum nécéssaire à l’hôtel-Dieu, et les nouvelles installations devraient être installées ailleurs dans un nouvel hôpital.
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