Source : Radio-Canada, le 26 novembre 2010
La Ville de Québec reçoit 120 millions de dollars d’Ottawa et de Québec. Cet argent servira au transport en commun et à la réfection d’infrastructures d’eau potable, d’eau usée et de la voirie.
La somme consentie dans le cadre de l’entente fédérale-provinciale sur le transfert d’une partie des revenus de la Taxe d’accise sur l’essence, représente 30 millions de dollars annuellement pour les quatre prochaines années.
L’annonce a été faite vendredi par la ministre Josée Verner en compagnie du maire de Québec Régis Labeaume.
Bien hâte de voir quels seront la nature des travaux entrepris grâce à cet argent.
26 novembre 2010 à 14 h 31
le communiqué de presse du gouvernement fédéral
http://nouvelles.gc.ca/web/article-fra.do?m=/index&nid=576479
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26 novembre 2010 à 17 h 01
Corrigez-moi, si je fais erreur, mais :
– PRIMO : L’entente alléguée n’est-elle point que la simple reconduction d’un premier accord fédéral-provincial initié par Paul Martin jr. alors que celui-ci était le PM Canadien ?
– SECONDO : Quand un gouvernement, quel qu’il soit, vous annonce du « cash », n’oubliez jamais que soit que c’est une partie du vôtre ou, pour le moins, soit que c’est celui de l’un de vos ……voisins !
Ceci dit, je suis quand même en accord avec la fin de ce programme.
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26 novembre 2010 à 23 h 25
En effet, rien de nouveau, mais plutôt des sommes dues.
Ça demeure quand même une dépense « à haut retour » (il doit y avoir un vrai terme pour ça): une bonne partie de l’argent va directement ou indirectement à l’achat de matière premières non-importées, des usines de transformation, et une main d’oeuvre passablement locale. Tout ce monde paie des impôts qui retournent à la source, plutôt que de reçevoir du chômage par exemple (c’est plus évdient à peu près partout au Canada sauf à Québec), et une bonne partie du revenu disponible est dépensé « assez localement » (hypothèque ou loyer, épiceeie, etc.) .
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27 novembre 2010 à 13 h 14
Il demeure que c’est le retour d’une taxe percue auprès des méchants automobilistes que certains veulent voir disparaitre du décor. Il demeure aussi que cet argent servira à subventionner les transports publics et ainsi aidé les gens moins fortunés à pouvoir l’utiliser.
Voilà une juste répartition de la richesse qu’il ne faut pas défaire pour des idéaux nébuleux d’une religion verte.
J’ai hâte que les vélomanes fassenrt aussi leur part, eux qui veulent tasser les autos pour prendre la place…
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27 novembre 2010 à 15 h 12
Dans ce commentaire de notre ami Fernand, c’est le condensé de sa pensée : le transport en commun, c’est pour les pauvres. Ce n’est pas un choix. C’est une fatalité. Quant à la fameuse disparition de l’automobile, si ça anime des gens, c’est une minorité. Par contre, qu’on réduise son emprise, soit, mais jamais elle ne disparaîtra. Et heureusement ! Elle est utile ! C’est son omniprésence qu’il faut combattre.
Mais comme toujours, bienvenue au festival des bonnes raisons pour ne pas utiliser le transport en commun !
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29 novembre 2010 à 12 h 11
Comme on l’a déjà dit (et montré) Fernand gagnerait en efficacité à avoir des textes tout près puisque c’est toujours les mêmes affirmations le plus souvent fausses qu’il radote en permanence. C’est tellement cliché qu’on s’est demandé un bout temps si ce n’était pas une farce.
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30 novembre 2010 à 18 h 01
@ François Magellan:
J’aimerais bien connaître ton opinion à toi:
vrai ou faux: la proportion de riches qui utilisent les transport en commun est inférieure à la proportion de pauvres qui utilisent les TEC?
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30 novembre 2010 à 19 h 20
c’est vrai. Il n’y a pas de mystère là-dedans. Je ne crois pas vous apprendre quelque chose ce soir !
Par contre, là où était mon propos, c’est que jamais le transport en commun n’est exprimé en terme de choix. La position de notre ami Fernand est archiconnue : le transport en commun c’est pour les pauvres, c’est pour les autres, ça ne peut être ni un choix de société ni un choix personnel, même si on habite en banlieue et qu’on concilie les deux. L’utilisation de l’automobile est obligatoire et la société doit investir toujours de plus en plus à accroître l’offre. Dans notre urbanisme, l’automobile doit toujours être en amont ; quartiers, rues et routes doivent d’abord être conçus pour l’automobile et si il reste de la place, ce sera pour les transports en commun, le vélo et les piétons qui se partageront l’espace résiduel. Si on est un adepte du transport en commun, c’est que nous faisons partie de la religion verte, dixit notre ami Fernand.
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