Québec, le 1er décembre 2010 – L’année 2010 en est une de records pour le Festival d’été de Québec: achalandage, laissez-passer, revenus d’exploitation, chiffre d’affaires, investissements dans la programmation, tout a augmenté !
* Le communiqué donne des statistiques à découvrir
2 décembre 2010 à 07 h 27
MAIS, le grand parolier Luc Plamondon réclame la démission de la responsable de la programmation du FEQ… Pertinent!
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2 décembre 2010 à 08 h 10
Moi je suis un peu tanné que des gens d’ailleurs viennent nous dire quoi faire et ne pas faire.
Le Festival d’été n’est pas un festival de la francophonie, mais un festival de musique.
Félicitations à l’équipe du Festival et continuez votre bon travail!
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2 décembre 2010 à 16 h 45
Pourtant les étrangers semblent de plus en plus concernés puisque c’est maintenant pour eux que le FEQ prévoit sa programmation. L’article semble assez clair là-dessus, il vise une clientèle « étrangère » pour fins de développement touristique.
Je lance également l’idée que la part de programmation francophone soit proportionnelle au financement provincial… si on veut maximiser l’investissement public, ca me paraît normal.
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2 décembre 2010 à 10 h 33
La barre est maintenant haute pour le années à venir. Le dernier festival a été extraordinaire. Espérons qu’ils réussiront à maintenir ce standard.
Bon travail !!
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2 décembre 2010 à 11 h 11
Wow! Je ne pensais pas que le Festival d’été avait pris une telle ampleur!
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2 décembre 2010 à 18 h 38
Le festival a la notion de « visiteurs » un peu facile quand même… on parle de ceux qui habitent à plus de 40km. Ca inclut St-Raymond, Ste-Marie… pas certain que ces gens-là se paient une nuit d’hotel au centre-ville.
Ca ne remet pas du tout en question le succès du festival, mais ca affecte surement le calcul des retombées économiques.
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7 décembre 2010 à 16 h 32
Paco, pacon !
Effectivement ! Il faut se méfier des analyses trop facile quand on va checher la clientèle, à moins de 40 km.
Il est plutôt facile de dire que cela a été un succès monstre quand on triture un peu les chiffres.
Si tout, ce que l’ on dit; l’ étais par une firme externe, j’ aurais plus confiance…!
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8 décembre 2010 à 13 h 33
M. Harvey, quelques précisions concernant les chiffres dévoilés lors de notre conférence de presse.
En tant que membre du RÉMI (Regroupement des évènements majeurs internationaux), le Festival d’été de Québec (comme le Carnaval, la Coupe Rogers ou les Francofolies de Montréal) est obligé de faire des études d’achalandage chaque année et, aux 3 ans, des études sur les retombées économiques.
Cette année, c’est le groupe SECOR qui a procédé aux études. La même méthodologie doit s’appliquer pour tous les membres du RÉMI et est accréditée par le Ministère du Tourisme et le Ministère des Finances.
Vous pouvez donc sans craintes avoir confiance en nos chiffres!
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