Isabelle Porter
Le Devoir
Québec — La Ville de Québec va investir 500 000 $ dans les rénovations du sous-sol de l’église-Saint-Roch, ce qui permettra de déplacer les organismes communautaires dans une autre section du sous-sol, tout en libérant les espaces donnant sur la rue commerciale Saint-Joseph pour de nouvelles activités.
7 décembre 2010 à 08 h 21
Un église, c’est pas déjà un commerce?
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7 décembre 2010 à 08 h 58
à l’église, on monnaye les âmes !
Et est-ce que Jésus viendra chasser violemment les commerçants du temple ? ;c)))
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7 décembre 2010 à 09 h 04
François, c’est la chose à laquelle j’ai pensé en lisant ça. Je ne pense pas que le cardinal Ouellette vas apprécier l’idée. Mais bon, une église c’est supposé être un milieu de vie et dans la vie il y a du commerce.
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7 décembre 2010 à 09 h 12
Les marchands sont entrés dans le temple. Sacrilège !!
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7 décembre 2010 à 10 h 14
Au-délà des plaisanteries qu’on peut faire sur le thème des vendeurs du temple, pour les marchands et leur clientèle si fragile et susceptible: y aura toujours ces pauvres et leurs abominables cigarettes qui gâcheront leur vie, à moins qu’on les relocalise ailleurs, mais où ? Grande-Allée, Cartier, Maguire, Galeries de la Capitale ou Place Ste-Foy ? Ah ! les problèmes que nous causent ces pauvres !
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7 décembre 2010 à 11 h 57
Nuance ici.
Les pauvres (et leurs cigarettes), c’est une chose. Cependant, chose que je n’aime pas du tout dans mon quartier c’est de voir des saoûlons, des gens carrément ivres, complètement drogués en pleine rue et surtout devant Benjo.
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7 décembre 2010 à 12 h 09
Ça c’est quasi-universel, suffit d’aller sur Grande-Allée pour voir la faune complètement givrée et paquetée dehors en train de griller une cigarette … :-)
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7 décembre 2010 à 12 h 34
Devant Benjo! Quel manque de savoir vivre. Devant Hugo Boss (Ce
qui en reste) ce serait plus acceptable. Une chance qu’il n’y a pas
de prostitution dans ce quartier, ce serait une déchéance morale
inacceptable.
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7 décembre 2010 à 10 h 42
Il est très facile de plaisanter sur ce sujet mais, je crois qu’il serait plus judi cieux, de la part de fabrique, de regarder toutes les avenues possible des O.S.B.L.
Car, non seulement la fabrique pourrait en retiré un bénéfice, mais celle-ci donnait des services à la population.
Ce qui ne serait pas incompatible avec sa fonction première.
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7 décembre 2010 à 10 h 56
Personnellement, je n’ai absolument aucune objection à ce que la fabrique y aménage des locaux commerciaux au sens traditionnel du terme. Évidemment, la portion commerciale de cette propriété deviendra taxable pour la ville, mais ces taxes ne seront qu’un faible pourcentage du loyer exigé.
De toute façon, ils ont de la misère à couvrir les frais de chauffage et d’entretien. À défaut de trouver un financement quelconque, l’église va fermer. Ou bien elle se retrouvera entre les mains d’acheteurs privés qui lui donneront une autre vocation (résidentielle, commerciale, etc.) ou bien sera achetée par l’état comme bien patrimonial ou quelque chose du genre qu’il faudra encore là entretenir aux frais de tous. Les administrateurs publics se feraient taper sur les doigts de n’en faire qu’une « pièce de musée » à regarder, et y trouveraint probablement une vocation commerciale (du moins en partie) pour éviter que cela coûte trop cher à l’état.
Bref, tôt ou tard, cela arrivera.
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7 décembre 2010 à 20 h 55
Un autre beau 500 000 $ de gaspiller par la Ville… franchement une tel somme pour convertir une partie d’un sous-sol d’église en locaux commerciaux!?
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7 décembre 2010 à 22 h 11
J’apprécie encore une fois les arguments pseudo-scientifiques de l’administration Labeaume… comme quoi une rue commerciale des deux côtés va attirer plus de monde… je savais pas… je vais sans doute l’apprendre au doctorat!
À vouloir disloquer à tout prix les deux facettes de St-Roch, j’ai bien peur qu’on réussisse à le tuer encore plus rapidement que le Vieux-Québec et le Vieux-Port… deux quartiers où l’ambiance est géniale pour prendre des photos, tout est propre, tout le monde est beau… mais pour y vivre… personnellement je ne vivrais pas dans un quartier où il n’y a rien qui retrousse et où tout le monde doit se ressembler pour être accepté (ou à tout le moins toléré)
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10 décembre 2010 à 09 h 58
À Québec on ne fait pas d’urbanisme, on fait de la scénographie.
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10 février 2011 à 13 h 59
c’est incroyable comment aujourd’hui les valeurs sont monayables. J’ai honte d’être dans ce quartier. S’agit d’avoir une équipe majoritaire au conseil et une conseillère qui semblent être du bon coté des commercants.Vous pouvez bien essayer monsieur le curé de vous excuser derrère le prétexte du manque d’argent, mais avez vous tenté au moins de négocier les $ 500 000 pour votre manque a gagner dans un projet qui soutenait du coté saint joseph le carrefour communautaire. Ben non, ont le sait tous que l’argent de la ville était informellement taguer pour calmer les commercants victime de la fumée secondaire de c’es méchant pauvres. Je voudrais voir si jamais un de ces pseudo bars de la rue saint joseph en vienne un jour a être populaire et que leur clientèle fumeuse soit sur le trottoir, les chaserons nous aussi ? pas sur quand tu est membre de la SDC.
Bravo vous pensez avoir réussi par cette habile manoeuvre, qu’il n’aura plus de pauvreté et de fumeurs sur la rue st-joseph, attendons le printemps, vous savez pour retirer de l’argent aux passants en mendiant faut se parquer sur une rue ou des gens qui ont du $$$ peuvent vous en donner. C’est surement pas sur st-francois que ces gens se promener. ben oui il va falloir encore que la police soit hyperactive afin de contrer le phénomène, nous pourrons alors dire que c’est parce que les organismes sont encore responsables et les chasser. À un moment donnée quand il n’aura plus de pauvre les gens vont ils comprendre que c’est peu être les commercants qui ont eu un mauvais plan d’affaire.
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