Source : Jean-Pascal Lavoir, Le Soleil, 11 décembre 2010
Il y a une vingtaine d’années, des citoyens de la côte de l’Église – maintenant côte de Sillery – se mobilisaient pour faire réduire la circulation sur leur artère. L’une des solutions qu’ils proposaient était l’ouverture de la côte Gilmour à l’année. S’ils ont eu gain de cause sur certains points, la côte Gilmour reste toujours fermée pendant l’hiver. Aujourd’hui, c’est le maire Régis Labeaume qui tente le coup. Réussira-t-il là où tant d’autres ont échoué?
Pour faire suite à la nouvelle de cette semaine concernant le souhait du maire de Québec d’ouvrir la côte Gilmour en hiver, on apprend qu’un groupe de citoyens de Sillery aimerait bien que cette idée se concrétise.
11 décembre 2010 à 18 h 41
Un bel exemple de « pas dans ma cour » qui ne règlera pas le problème de fond, soit le manque de TEC.
À quand un autobus 25 qui passe aux 15 minutes sur le chemin St-Louis ?
Mais bon, comme la mentalité à Québec consiste à remplir la ville avec toujours plus de bagnoles, pourquoi ne pas transformer la côte Gilmour en autoroute à 4 voies ?
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11 décembre 2010 à 18 h 55
Au moins, c’est avoué ;-)… du PDMC assumé !
« aux chialeux de la côte de l’Église! »
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11 décembre 2010 à 19 h 04
J’avoue que le jour ou on va avoir une autobus par habitant on l’avoir réglé le problème… Ca s’en vient je vois en moyenne deux à trois passagers par autobus.
Les autobus sont vides et nos conditions de vie ne sont pas adapté à ce mode de transport.. Tu fais toi même du pas dans ma cours en démonisant un moyen de transport que tu n’utilise pas face à celui que tu préconise.
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11 décembre 2010 à 23 h 34
« nos conditions de vie ne sont pas adaptés à ce mode de transport » ? Pourriez-vous, si vous le voulez bien évidemment, expliquer un peu ? Merci.
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12 décembre 2010 à 00 h 33
« Ca s’en vient je vois en moyenne deux à trois passagers par autobus. »
Puis-je vous demander si vous utilisez l’autobus? Quel parcours a aussi peu de passager sur toute la ligne? Ne vous en faite pas, le RTC n’est pas assez riche pour maintenir un service qui n’est pas utilisé. C’est insultant d’entendre ce genre de remarque quand on a parfois l’impression d’être des sardines tellement les autobus sont saturés.
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12 décembre 2010 à 00 h 57
Pour avoir utiliser parfois, le métrobus à l’heure de pointe du matin, oui c’est bondé de monde à ces heures, mais en tant que résident de Québec, je vois également des dizaines d’autobus contenant 2-3 personnes gros max en dehors des heures de pointe. Y’a sûrement une solution intelligente à trouver? Genre réduire la grosseur des autobus quand le service devient sous-utilisé durant les périodes creuses de la journée? Malheureusement, c’est vrai que les autobus sont bondés, mais c’est uniquement aux heures de pointe, le reste du temps ils ne font que gaspiller du fuel.
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12 décembre 2010 à 07 h 07
« En 2009, le RTC a réalisé près de 45 millions de déplacements réguliers et adaptés. Pour le président du RTC, Monsieur Raymond Dion, le RTC poursuit avec force sa vision du développement du transport en commun à Québec, en ajoutant encore en 2010 plus 30 000 heures de services additionnels, pour un coût de 2,5 M$ afin de répondre davantage à la demande de nos utilisateurs » (Source: RTC)
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12 décembre 2010 à 12 h 20
@ Patrick
Qu’est-ce que vous proposez pour améliorer le transport en commun à Québec d’abord?
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12 décembre 2010 à 12 h 50
À Québec, en moyenne, un autobus transporte 45 passagers à l`heure. Avec des temps de parcours minimaux, cela fait au moins 10 personnes par autobus en même temps et en moyenne.
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12 décembre 2010 à 00 h 59
À quand des minibus servant au transport scolaire, durant le jour et servant au transport commun, le reste du temps comme le soir, moment où je vois le plus d’autobus presque vide.
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12 décembre 2010 à 10 h 39
Même en dehors des heures de pointes, les autobus du RTC sont largement pleins. Je me souviens de plusieurs fois où j’ai pris le métrobus à 21h30 et il était plein à 80%. Pourtant, vous conviendrez avec moi que c’était largement en dehors des heures de pointes.
Pas besoin d’entasser les usagers. S’il y a seulement 10 usagers dans l’autobus, le ration personne/essence bat déjà l’automobile. Et des autobus avec moins de 10 usagers, j’en ai déjà vue, mais c’est souvent en bout de ligne ou durant des heures très creuse (dimanche soir minuit par exemple).
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13 décembre 2010 à 01 h 08
Alors, je dois halluciner à chaque fois que je passe sur le chemin Ste-Foy, avec ma méchante auto et que je vois passer des autobus avec 4-5 passagers pas plus. J’ai un horaire de travail de soir alors j’ai l’occasion de les voir ces heures creuses. À la limite, si elles étaient vides uniquement dans le coin du Terminus Marly, pas trop loin de chez moi je comprendrais vu que c’est en bout de parcours mais non c’est aussi le cas, sur le boulevard Laurier et chemin Ste-Foy.
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12 décembre 2010 à 16 h 10
Au risque de se répéter, la solution des bus à plusieurs tailles demande d’avoir deux stocks de pièces, deux garages pour des autobus qui ne fonctionneront que la moitie du temps. Il est où le gain en efficacité.
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12 décembre 2010 à 13 h 01
@Gérald: Quand tu as l’épicerie d’une famille de 5 à transporter dans un autobus bondé (parait que des autobus vide ca existe pas) après le travail à 18h et que tu dois aller chercher les deux enfants, un à l’école et l’autre à la garderie l’autobus c’est pas logique. Quand tu as des enfants qui font du sports ex:hockey. Trop de gens vivent en banlieue et l’autobus c’est pas fait pour des longues distances.
« En 2009, le RTC a réalisé près de 45 millions de déplacements réguliers et adaptés. »
Le chiffres semble énorme et fait belle figure à lancer comme ca mais si on le décortique un peut ca peur mettre les choses en perspective.
1- On devrait enlever le transport adapté du chiffres car ce sont des gens qui n’ont pas d’autre alternative et de toute façon ce n’est pas en autobus qu’ils voyagent.
2- J’aurais besoin de savoir la distances moyenne d’un déplacement sachant que certains usager utilisent l’autobus pour faire des distances pour lesquels je prend mes souliers car ridiculement courte (2 ou 3 arrêt). Car il faut savoir que l’autobus elle va faire le parcours au complet quand même si 100% de ses déplacement ce font sur 50% de son parcourt.
3- Avec le nombre de parcourt dans une année ca fait tous au plus 30 déplacement par parcourt complet. C’est à dire que pour un autobus il y en en moyenne au plus 30 personnes qui embarque sur un trajet complet. Ceci inclus les transports adapté qui n’utilisent pas ses autobus et les gens qui l’utilise pour faire moins de 100 mètres. Si on avait la distance parcourue totale par les autobus/ la distance total des 45 millions de transports je suis pas certain que ca serait aussi impressionnant. En les comparant à la moyenne de distance que je parcourt avec ma voiture.
@Francis L: Je l’utilise que très rarement car non adapté à mes besoins et choix de vie. Par contre je peux dire pour avoir utilisé du transport en commun ailleurs dans le monde, New-York, Buffalo, Londre,Paris, Amsterdam que nos autobus sont plus que sous utilisé. Et je passe du temps sur les routes et j’en voie que trop des autobus vide.
Je peux vous confirmer que hier entre 9h et la fin des autobus, sur l’avenue royal à la hauteur de la 40, j’ai vue passer des autobus accordéon complètement vide. Je voie souvent entre pointe Ste-Foy et l’université des bus vide et pratiquement vide. Je sais vous allez encore me dire que c’est parceque je choisi pas les bon exemple mais vous aussi vous prenez pas des exemples réalistes vous camouflez la vérité avec les exemples qui démontrent VOS points de vue.
« Ne vous en faite pas, le RTC n’est pas assez riche pour maintenir un service qui n’est pas utilisé. »
Le RTC à pas à ce soucier de ses richesses puisqu’il est subventionner par l’état et que l’état à toujours de l’argent à prendre dans nos poches. En fait le RTC à même avantage à pas être rentable sans quoi on va réduire leurs subvention inutilisé.
« Pas besoin d’entasser les usagers. S’il y a seulement 10 usagers dans l’autobus, le ration personne/essence bat déjà l’automobile. »
Pas nécessairement. Pour aller du point A au point B en autobus tu dois faire des détours donc plus de kilomètre pour le même trajet, avec des arrêt et départ fréquent qui demande plus de consommation d’essences que de rouler en continue. Je serais curieux de faire le test. Est-ce que tu peux nous amener les chiffres de consommation d’un autobus au 100km et quel % de route inutile un autobus fait entre deux points?
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12 décembre 2010 à 13 h 34
Merci pour la réponse élaborée. Je comprends mieux votre point de vue. Et j’ose croire que les gens du RTC sauront prendre connaissance ce vos propos.
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12 décembre 2010 à 15 h 10
Vous avez raison quand vous dites que mon exemple est biaisé pour appuyer mon opinion, c’était le but. Je voulais simplement vous montrer qu’il est inutile de généraliser sur l’ensemble du service du RTC en disant que tel parcours est vide. Si vous pensez réellement qu’il existe des parcours inutiles, vous pouvez vous adresser au RTC pour leur signifier. Personnellement, je crois que les gens qui travaillent là bas sont assez compétents pour être capables de retirer un parcours s’il est réellement sous-utilisé. D’autant plus qu’avec le nouveau système OPUS, les statistiques sur les différents parcours seront encore meilleures.
Pour ce qui est de la consommation, on parle d’environ 70 L/km. Ensuite, concernant le % de kilomètre inutile, c’est très dur à déduire. Mais tous les parcours ne sont pas à l’image de la 13 et sont beaucoup plus directs.
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12 décembre 2010 à 18 h 25
« Pour ce qui est de la consommation, on parle d’environ 70 L/km » J’imagine que vous voulez dire 70L/100 km…
Parce que sinon, ça voudrait dire 7000 litres par 100 kilomètre, ce qui me semble légèrement exagéré ;-)
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12 décembre 2010 à 16 h 03
Votre exemple pour justifier que l’autobus ne concorde pas avec votre style de vie est tiré par le cheveux. Je ne peux pas croire que vous faites une épicerie jumbo et traînez vos X enfants à tous vos déplacements. L’autobus ne se veux pas être une alternative obligatoire à l’automobile pour tous les déplacements. Donc de là dire qu’un style de vie empêche de prendre l’autobus…
De plus, il faut comprendre que beaucoup de gens préfère ne pas prendre le transport collectif car peu flexible. Le fait de réduire les fréquence en dehors des heures de pointe réduit de beaucoup sa flexibilité et donne un argument de plus à bien des gens pour prendre leur voiture. Il y aurait donc un très fort risque d’être contre-productif.
Si vous avez choisi un «style de vie» qui ne permet pas de prendre l’autobus, et je reprend ici vos mots car cela est fort discutable, et bien cela est votre choix. Cela ne vous autorise pas à critiquer ceux qui en font un autre (et ceux qui n’ont pas le choix), moins consommateur et plus sain, ni même d’essayer de réduire le service qui leur est offert.
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12 décembre 2010 à 13 h 07
@ Francis L
Le parcours 13, dans mon quartier, qui est, je dois le dire plein lors des heures de pointes, surtout le matin, est ridiculement vide à toutes les autres heures de la journée. Pour ceux qui connaissez le parcous, je crois que l’autobus parcours toutes les rues possibles de Sainte-Foy-Sillery. Résultat : J’habite à exactement 4km de l’Université Laval et prendre la 13 du coin de la rue jusqu’au campus prend environ 1h15 (ce n’est pas exagéré…), alors pourquoi ne pas prendre la voiture, pendant un gros 10 minutes, même en heure de pointe… Rien n’est parfait, mais c’est un excellent exemple de parcours mal planifié, non adapté à la réalité des gens de se quartier…
De plus, vous demandiez s’il existait des autobus, et bien le 13 est vide à l’exception des heures de pointes…mais vide à tel point que c’est ridicule, c’est un autobus fantôme. Pourquoi maintenir ce parcours jusqu’à minuit le soir et hors des heures de pointes si celui-ci est vide?
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12 décembre 2010 à 15 h 20
Quand vous dites 1h15, je n’ai aucune difficulté à vous croire. J’ai moi même pris le parcours 84, il me fallait 1h30 de transport au lieu de 30 minutes en voiture, il y a de quoi décourager bien des usagers! Heureusement, ce n’est pas le cas de tous les parcours. Le métrobus est en autre beaucoup plus performant.
Mais est-ce que posséder une voiture et prendre l’autobus est incompatible? Absolument pas, d’ailleurs je possède moi même une automobile. Je comprends les arguments de Patrick qui nous parle de transporter des enfants et faire des épiceries. Mais aurez-vous des enfants toutes votre vie? Faites-vous pour 400$ d’épicerie à chaque fois que vous revenez du boulot? Il y a moyen d’utiliser son auto quand on en a besoin, et l’autobus à d’autres occasions.
Parfois l’autobus est bien plus pratique que l’auto. Le meilleur exemple, c’est pour se rendre travailler. Si vous vivez dans un secteur qui offre un bon service de transports en commun, prendre l’autobus est souvent moins cher que prendre l’auto, ce n’est pas nécessairement beaucoup plus lent et ça vous permet d’utiliser ce temps pour faire autre chose (lire le journal, voir vos emails, etc).
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12 décembre 2010 à 13 h 09
@Sim:
« Qu’est-ce que vous proposez pour améliorer le transport en commun à Québec d’abord? »
Pourquoi améliorer nécessairement le transport en commun et pas juste le transport tout court?
@Yvan Dutil :
« À Québec, en moyenne, un autobus transporte 45 passagers à l`heure. Avec des temps de parcours minimaux, cela fait au moins 10 personnes par autobus en même temps et en moyenne. »
C’est sur que l’autobus n’est pas mauvais mais c’est pas la solution pour tous le mondes tous le temps et partout. c’est ca le problèmes de vos chiffres. Si on gérait de la bonne façon au serait à 15 en moyenne et peut-être plus tous en allégeant les période et secteur critique, mais pour ca faut faut partager la routes. Il y a environ 1 500 000 départ d’autobus par année avec en moyenne 30 passagers sur un parcourt. Le problème c’est que certain parcourt sont à 50 passagers et plus et d’autre à moins de 5. Si on enlève les parcourt à 5 et augmente ceux à 50 on améliore le service à condition de pas démoniser la voiture. De plus un autobus trop bondé n’est pas économique car elle consomme plus d’essences du à son poids.
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12 décembre 2010 à 16 h 15
La limite à l’efficacité ce sont des contraintes d’ordre sociologiques. Le RTC doit fournit un service minimum partout. Chaque citoyen de Québec doit être à moins de x m d’un arrêt. Cela fait que les parcours ne sont pas optimaux et ne peuvent pas nécessairement être optimisés.
En passant, mis à part un certains discours médiatiques, il n’y a pas de démonisation de l’automobile.
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12 décembre 2010 à 17 h 59
Il y a quelque chose que vous ne saisissez pas concernant le transport collectif et son efficacité. Les gens à l’extérieur des autobus ont souvent l’impression qu’ils sont vides pour une bone raison, c’est qu’ils perçoivent un véhicule de transport en commun à un moment précis de son parcours. Par dans son ensemble.
Faites monter deux autres personnes à l’arrêt suivant, en descendre 3 deux arrêts plus loin, en remonter 10 à l’arrêt d’après parce qu’il y a une correspondance et tout d’un coup, vous passer d’un véhicule que vous avez constaté « vide » à un endroit précis, à un véhicule qui aura servi au déplacement de plusieurs personnes.
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13 décembre 2010 à 08 h 44
Bravo Patrick. :-)
Mais malheureusement y aura toujours des ANTI-VOITURES qui diront que tout le monde à QC devrait prendre l’autobus. Curieusement, ces personne-à-la-verte-conscience habitent souvent dans les lieux centraux… et non à Beauport, Charlesbourg, Stoneham, Lac-St-Charles, Val-Bélair…. Vous voyez le topo.
Ceci dit, vivement l’ouverture de la côte Gilmour l’hiver.
;-)
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