Marie-Claude Lortie
La Presse
À Manhattan, si vous avez un petit creux en sortant d’une boîte ou d’un concert, pas besoin de marcher longtemps pour trouver un vendeur ambulant de riz et de brochettes ou même de burritos mexicano-coréens ou de chocolat chaud à la cardamome.
14 décembre 2010 à 22 h 53
Amenez donc une roulotte à crème molle au coin Robert-Bourassa/Chauveau durant l’été (un beau grand stationnement en milieu résidentiel, dont on parlait récemment dans d’autres billets), ça va être noir de monde.
Probablement.
Mais de toute façon, on ne peut pas s’installer pour vendre de la bouffe sur le trottoir à Québec… on ne peut même pas y laisser une pancarte avec le menu
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15 décembre 2010 à 02 h 03
Pourquoi pas? Ça serais agréable de se balader en ville l’été et de s’arrêter pour grignoter quelque chose sans avoir à entrer dans un commerce. Biensûr, je ne vois pas l’utilité de ce genre de chariots à bouffe l’hiver. De plus, je crois que ça contriburait à rendre les rues plus vivantes avec ce genre d’installations.
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15 décembre 2010 à 08 h 26
Les cantines mobiles font déjà ça et ce depuis longtemps toutefois ce n’est pas ce qui est le plus appétissant.
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15 décembre 2010 à 09 h 53
Le port et le bassin Louise et la terrasse Dufferin, entre autres, seraient à mon avis des endroit appropriées pour ce type de restauration rapide. Et pourquoi pas Place D’Youville et certains parc important souvent fréquentés.
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15 décembre 2010 à 11 h 18
Connaissant le pouvoir des lobbys au Québec, si jamais il y a des vendeurs dans les rues, il va avoir tellement de restrictions et de taxes pour compenser les pertes des restaurateurs, le hot-dog va se vendre 5,50$…
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15 décembre 2010 à 11 h 44
Je suis d’accord avec toi Christian. Mais ce lobbying, qui, telle une sangsue, étrangle et vampirise l’énergie de Québec, il est en train se se faire casser. Avant, il y avait qu’une seule petite clique de rois-nègres qui se partageaient le gâteau de Québec. Aujourd’hui, avec l’évolution du tissu social et de l’urbanité de Québec, ce cercle se fragmente, et fait place à la pluralité, qui, en prenant du temps mais pas trop longtemps, se définit et se redresse, pour le mieux être de la culture et de la qualité de vie dans la capitale.
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