Annie Saint-Pierre
Journal de Québec
Pour la première fois en 10 ans, la ville de Québec est victime d’un exode de sa population puisqu’elle a perdu plus de résidants qu’elle n’en a attiré, et c’est la banlieue qui en profite.
C’est ce qui se dégage d’une analyse des données de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) portant sur les soldes migratoires des régions du Québec entre le 1er juillet 2009 et le 30 juin 2010. L’étude a été publiée hier. Si, à l’échelle plus large, la grande région de la Capitale-Nationale se tire mieux d’affaire que la région de Montréal, c’est loin d’être le cas pour la ville de Québec, qui a assisté au départ de 18 233 personnes pendant cette période.
L’exode des Montréalais vers la banlieue s’accentue Rue Frontenac (Marilou Séguin)
*Merci à un lecteur (André Bernatchez)
25 janvier 2011 à 21 h 35
Étrange un peu, pour une diminution de 299 habitants, de parler « d’exode », non?
Probablement que d’un mois à l’autre, la variation est de cet ordre de grandeur.
Signaler ce commentaire
25 janvier 2011 à 22 h 09
La partie surprenante c’est que la ville de Québec compte pour grosso modo 75% de la région métropolitaine.
Donc c’est le 25% restant qui a gagné l’essentiel entre 2009 et 2010.
Alors que dans le cas de Montréal on parle plus de 40 à 50% (dépendemment ce qu’on considère comme banlieue de Montréal ou non).
Signaler ce commentaire
25 janvier 2011 à 23 h 17
Ce que je trouve intéressant, c’est que le phénomène de perte de population au profit de Montréal a disparu. Si je ne me trompe pas, il y a de ça 1 an ou 2, en faisant la différence entre les déménagements de Québec vers Montréal et vice versa, Québec était perdant. C’est maintenant l’inverse!
C’est une bonne chose! La ville parvient à conserver sa population et à être plus attrayante que la métropole.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 00 h 47
Le mot exode est un peu fort dans les circonstances mais reste que les données de l’Institut de la Statistiques reflètent une réalité bien perceptibles. Les jeunes familles s’en vont vers Sainte-Catherine de la Jacques-Cartier, Sainte-Brigitte de Laval, Boischatel et même Saint-Lambert-de-Lauzon. Terrains moins chers et taxes moins élevées.(Les jeunes ne peuvent pas se payer de maisons quand le prix moyen du bungalow à Québec frôle les 250000$)
Mais font-il quand même un bon calcul? La deuxième voiture? Le temps perdu dans le trafic? Le choix est personnel mais les conséquences et les coûts sont collectifs. Toutes ces municipalités de banlieue réclament de nouvelles écoles ou un agrandissement de celles existantes. Il faudra de nouvelles garderies… élargissements de route… services de santé de proximité… La Communauté métropolitaine n’est-elle pas là pour contrôler l’étalement urbain?
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 07 h 06
Ahhh je comprend c’est quoi la banlieu maintenant!! a force de lire ce site j’en était venu a croire que la banlieu de Quebec commençait a Ste-Foy et que la limite de la Vrai ville était limoilou ;-)
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 09 h 48
En fait, la notion de banlieue semble un terme tout aussi expansif que le phénomène. Duberger, Neufchatel, Les Saules étaient des banlieues de Québec… Les quartiers Laurentien et Champigny, ceux de Sainte-Foy, etc.. On assiste, ici, comme dans l’agglomération de Montréal à un développement de banlieues exentriques (les fameuses couronnes). Avec la fusion qui a inclus les banlieues de Québec, il est peut-être de mise de parler de villes-centres (Québec et Lévis) et de « municipalités de banlieue ». Beaucoup de jeunes vont aussi loin que Donnacona, Cap-Santé, Pont-Rouge ou Scott, St-Lambert. Bref, un lieu qui ne sert qu’à des fins résidentielles ; la principale source de revenus de ces ménages étant sur un autre territoire.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 10 h 03
Ici Boischatel a triplé en 10 ans. Voici son site
http://www.municipalitedeboischatel.ca/default.asp?no=219
Les gens de Boischatel utilisent l’aréna Gilles-Tremblay que l’équipe Labeaume veut démolir. Ils utilisent aussi la bibliothèque Étienne-Parent et viennent faire leur épicerie et achats au power center de Beauport et aux Promenades Beauport. Il n’y a pas de réseau de transport pour les desservir alors ils utilisent leur auto tout comme tous les gens de cette deuxième couronne. Après on est surpris des bouchons de circulations sur nos artères ou sur nos ponts.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 12 h 52
@Fernand :
2001 : 4303
2006 : 5287
2011 : On n’a pas encore les chiffres, mais ce ne sera pas 12900 ;)
Il serait plus juste de dire que boischatel augmente de 200 habitants par années environ.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 07 h 56
Je suis tout à fait d’accord avec vous.
Les gens ne prennent pas le temps de faire ces calcules. Peut-être parce que pour eux ce n’est pas important, la 2 ou 3ieme voiture (pour les enfants), le traffic, les kilomètres à parcourir avant d’avoir des services intéressant (outre l’épicerie),.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 12 h 46
Dans mon cas, le « calcul », c’est mon conseiller hypothécaire qui l’a fait pour moi…
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 15 h 45
Godoche, on a assisté à une recrudescence des constructions à Boischatel depuis quelques années. Regarde juste au dessus de la chute le tas de maisons de luxe ui s’y sont bâties et regarde les trois autres développements domiciliaires. Oui, Boischatel a dépassé les 11,000 de population. Aller à leur carnaval et parlez-en. Vousaurez des surprises…
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 08 h 53
Vous devriez voir le développement domiciliaire à Scott-Jonction, sur la rive sud, à 20 minutes des ponts …
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 09 h 36
Et remarquez l’argument premier pour ce développement à Scott : « à 20 minutes de Québec »! Oui, sans doute, le dimanche matin de bonne heure. (Et encore : à 20 minutes de Sainte-Foy) J’ai récemment vu une publicité pour un développement domiciliaire à Sainte-Croix-de-Lotbinière : « à 40 minutes de Québec! » Ça veut dire, dans des conditions idéales, 7 heures de transport par semaine pour qui travaille 5 jours. (10 à 12 heures dans la réalité) multiplié par quoi : 45 ou 47 semaines de travail / multiplié par les coûts d’utilisation et de l’usure prématurée d’une auto / en ajoutant le stress de la circulation (mauvais temps, trafic, congestion etc).. Les municipalités et promoteurs laissent miroiter la qualité de vie, mais en est-ce vraiment?
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 10 h 10
Justement… dans le même ordre d’idées Saint-Apollinaire et Saint-Agapit se touchent presque ! Quand je passais sur la route Lagueux dans les années 70 c’était la rase campagne.
Quelle proportion de ce développement est due à la «lointaine banlieuisation» ? Quelle proportion est due à la croissance naturelle de ces villages ?
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 10 h 19
C’est sure que les jeunes familles vont allé s’installer dans cette régions, car il y a pleins de terrain pour des maison avec terrains pour faire jouer leur enfants. C’est ce que recherche les jeunes familles et je ne crois pas que c’est sur le point de changer.
En tout cas ya beaucoup de terrain à vendre dans ce coin, mais ya tu beaucoup de sercices dans cette région??
C’est sure qu’il ne dois pas y avoir de petit centre commercial. Mais bon avec toute la venue de population ça vas peut-être changer.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 10 h 34
et le développement domiciliaire de Ville St-Raymond de Portneuf
http://www.ville.st-raymond.qc.ca/down/47757.pdf
et à Neuville
http://www.courrierdeportneuf.com/index.asp?s=detail_actualite&ID=129498
et Donnacona
http://www.villededonnacona.com/donnacona.asp?no=47904
et Ste-Catherine de Jacques-Cartier
http://www.villescjc.com/scjc.asp?no=78
et Stoneham
http://www.villestoneham.com/fr/projets-domiciliaires.aspx
et le Lac Beauport
http://www.lac-beauport.ca/mont_echo.aspx
et Ste-Brigitte-de-Laval
http://www.sbdl.net/devdom.php
En 1956 la population de St-Augustin-de-Desmaures était de 2,000 habitants. Lors du dernier recensement réalisé en 2008, la population atteignait 17,561 citoyens.
enfin Wikipédia définit l’étalement urbain
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89talement_urbain
pendant ce temps le vieux Québec se désersifiait…
Signaler ce commentaire
2 mars 2011 à 22 h 57
Il n’y a PAS de bungalow à moins de 250 000. À Québec. Impossible que ce soit un prix moyen.
Le moins cher sur Remax (et ça se voit) est à 239 000. http://www.remax-quebec.com/fr/inscription/Q/8464872.rmx?fromsearch=true
Pour avoir une maison correcte dans les quartiers centraux de Québec on doit payer un minimum de 450 000$ -550 000$.
C’est beaucoup de bidous….
Si vous avez des sources qui disent autrement de grâce exprimez-vous! On est incapable de trouver une maison 2 étages près du centre-ville pour 350 000$…. On cherche depuis 2 ans.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 07 h 55
C’est normal de voir ce phénomène. Avec le prix des maisons à Québec qui a monté en flèche ces dernières années, les gens préfèrent s’installer plus loin où les prix sont moindre
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 08 h 34
Surtout que c’est souvent moins dispendieux de se construire en neuf plutôt que d’acheter un bungalow à 300 000$!
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 17 h 09
Sauf que ton bungalow va être drôlement mieux placé (plus près du centre-ville) que ta construction neuve. Comme on dit ce qui importe le plus dans l’immobilier: l’emplacement, l’emplacement et l’emplacement.
Signaler ce commentaire
2 mars 2011 à 22 h 58
Mimir, pas de terrain… Impossible de construire…
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 08 h 23
Chiffres très intéressants.
Mais je me pose alors une question à ce sujet. Pourquoi, si la banlieue attire plus que le centre-ville, mon compte de taxe se retrouve-t-il plus élevé que celui de la banlieue? Pourquoi j’ai l’impression qu’un grand pourcentage de mes taxes ne sert qu’à payer la construction de routes pour de nouveaux développements?
Vous me direz peut-être que j’ai plus de services au centre-ville (j’habite Saint-Roch) mais je crois que cela est normal (et nécessaire), vu la densité de commerces, bureaux et loyers. À titre d’exemple, 1 km de route au centre-ville sert à déservir 1000 foyers alors qu’en banlieue, on n’y retrouve qu’une centaine de foyers.
Est-ce que je devrais m’insurger de ce constat? Est-ce que j’ai raison de penser que je devrais être moins taxer qu’en banlieue?
En passant, article intéressant sur la pollution des grands centres:
http://www.cyberpresse.ca/environnement/201101/25/01-4363664-les-grandes-metropoles-ne-sont-pas-forcement-les-plus-polluantes.php
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 15 h 42
Oui, j’ai lu que 71% des émissions humaines sont dans les grands centres alors ca confirme l’effet des ilots de chaleurs urbain dont le GIEC les a calculés comme maginaux. voic ce qu’on écrit dans le rapport de 2007 : « les effets des ICU sont réels, mais locaux, et ont une influence négligeable sur les valeurs [de hausse] (moins de 0,006°C par décennie sur les terres et zéro sur les océans ». Alors y pa sde quoi s’alarmer outre mesure…
Encore dans ce dossier comme dans le climategate, leGIEC cache les données car sur cette question des îlots de chaleur urbain en Chine, S. McIntyre se livre à d’intéressantes analyses du Climate Audit, en essayant (sans succès) d’obtenir les données de l’étude séminale de Jones 1990 ayant servi à l’AR3 (et encore à l’AR4) du GIEC pour asseoir l’absence d’effet urbain dans les biais de mesure. Le même Jones du Climategate…
Ca ne veut pas dire qu’il faut laisser trainer nos détritus ou les jeter par la fenêtre de l’auto. Il faut respecter son environnement pour que celui qui y passe après nous le retrouve aussi attrayant que nous. Mais pour influencer le climat, on repassera…
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 15 h 57
Fernand, je ne vous comprend pas. En privé, vous êtes beaucoup plus réfléchi qu’en public, ce qui est l’inverse du comportement de la plupart des gens.
Par exemple, vous répéter toujours le même connerie au sujet des changements climatiques. L’histoire de l’ilot de chaleur c’est de la pure bulshit. D’une part, quelque soit la méthode de mesure ou la méthode d’analyse, le changement de température reste essentiellement le même. Je vous rappèle que les satellites mesurent l’ensemble de la Terre et que c’est dans le nord que les changements sont les plus rapide. D’autre part, il a été clairement montré que l’on obtient le même résultat si l’on utilise uniquement les thermomètre placés à la campagne que l’ensemble de thermomètre.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 09 h 39
Ce n’est pas nouveau tout ça. Les gens sous-estiment toujours les coûts liés à la voiture -et la nécessité d’une deuxième, voire une troisième -, à la perte de temps.
Qu’ils y aillent dans la périphérie, mais bordel, qu’on me foute la paix ensuite s’ils trouvent qu’il y a de la congestion sur les autoroutes, les ponts, que le transport en commun en périphérie est déficient. À Québec comme à Montréal, les structures politiques sont déficientes – à Québec lire la Communauté métropolitaine -, et la tendance à l’étalement urbain ne pourra que se poursuivre. Vous faites des choix, assumez.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 09 h 53
Parlez aux gens de la rive-sud, ils vous diront presque tous qu’il n’y a jamais de problème avec les ponts. Qu’ils rentrent tous au travail et à la maison comme un couteau chaud dans du beurre fondu. Coudon, ces files interminables sur Laurier et Henri IV, c’est-y des Gaspésiens qui retournent chez eux après leur journée de travail à Québec?
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 09 h 45
Les fusions devaient stopper le trou de beigne et la fuite vers la maudite banlieue. Québec attire des célibataires et des couples âgés. les Familles préfèrent s’installer en banlieue et c’est ce que la statistique démontre. Je l,ai dit dans le dossier due la mobilité durable, on s’est limité à régler les problèmes du centre-ville sans se soucier d’aller chercher le nombre grandissant de banlieusards.
Les cités vertes ne régleront rien on s’éloignera de plus en plus du centre-ville et dans 10 ans il faudra une deuxième vague de fusions pour agrandir la ville centre et la peupler.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 10 h 14
Au contraire, en ce moment si j’achetais pour ma famille ce serait dans une des cités vertes en préparation à Québec. Le bungalow en carton à St-Glinglin-du-creux-creux, les samedis passés chez Canadian Tire pour acheter la patente à gosse pour le tuyau d’arrosage… Pas pour moi !
Les promoteurs-dinosaures de Québec vont se laisser bouffer par les promoteurs de l’extérieur s’ils n’ajustent pas leur offre bientôt.
Signaler ce commentaire
2 mars 2011 à 23 h 00
Il est impossible de réserver quoi que ce soit sur les cité verte. Même pour celle de St-Sacrement qui est déjà en construction. Leur site internet ne parle aucunement d’achat. Pour l’instant tout cela m’apparait n’être que du vent. Pourtant nous on serait TRÈS intéressés si cela était disponible.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 10 h 12
»On voit que la présence des cégeps et universités à Québec contribue à un apport substantiel de migrants en provenance de Chaudière-Appalaches ainsi que des régions éloignées situées plus à l’est », révèle M. Lachance. Au total, la région de la capitale a accueilli 16 892 nouveaux habitants, alors que 14 720 ont quitté, pour un solde positif de 2 172.»
Je comprend pas pourquoi tant de gens par année quitte la région, il doit y avoir beaucoup d’étudiant dans ces chiffres, sinon ça ferais dure de voir des familles de travailleurs quitter la région!!!
C’est sur que les banlieues environnante sont un peu moins cher que la ville de Québec, mais quand même il n’y à pas beaucoup de différence.
Ce sont les jeunes familles qui quitte principalement, donc c’est parce qu’ils recherchent des maisons avec un terrain et ici à Québec ça se fait de plus en plus rare une maison neuve avec un grand terrain et si il en a ben c pas abordable du tout.
Faudrais que la ville corrige ces erreurs la pour attirer les jeunes familles, au moins en rendant abordable les maisons anciennes en vente.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 10 h 32
Moi je préfère la ville de Québec et habiter proche de tout les services et power center. Aller vivre dans une ville avec aucune action ne m’intéresse pas!!
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 10 h 37
Ville de Pont-Rouge :
LE DÉVELOPPEMENT MAINTIENT LE COMPTE DE TAXES
Denise Paquin/Le Courrier de Portneuf
23-12-2010 – Le compte de taxes d’une maison moyenne à Pont-Rouge, dont la valeur approche 158 000$, n’augmentera que de 34$ environ en 2011. La croissance domiciliaire ne connaît pas de repos à Pont-Rouge. Et c’est elle qui assure le maintien la hausse du compte de taxes en deçà de l’indice des prix à la consommation pour la cinquième année, a déclaré le directeur général Jacques Bussières lors de l’adoption du budget le 13 décembre. Le compte de taxe subira une hausse de 1,63% pour la maison moyenne alors que le taux d’inflation est de 1,9% dans la région de Québec.
En plus de profiter de l’augmentation du prix de revente des maisons, Pont-Rouge a enregistré, jusqu’ici, la construction de 80 habitations. Le nouveau rôle d’évaluation foncière triennal qui entre en vigueur en janvier atteint 420 millions $, en hausse de 28%. La Ville tirera 5% de plus de revenus de taxes, près de 400 000$, tout en diminuant de 10¢ le taux de sa taxe foncière, qui passe de 1,135$ à 1,032$.
Le conseil municipal a l’intention de maintenir le rythme avec sa neuvième phase de développement qui ajoutera 1000 unités d’habitation entre le développement Du Jardin et la limite de Neuville. Le projet de dézonage de 500 terrains est en attente de l’autorisation de dézonage de la Commission de protection du territoire agricole du Québec, a fait savoir le maire Claude Bégin.
Le conseil a adopté des prévisions budgétaires de 11,1 millions $, incluant des immobilisations de 3,1 millions $ après amortissement. Les dépenses de fonctionnement sont en hausse de 6%, soit 535 119$, en comparaison de celles effectuées en 2010.
source : http://www.ville.pontrouge.qc.ca/
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 10 h 50
Ce qui m’étonne, c’est à quel point le rêve de la maison individuelle au milieu d’un grand terrain en banlieue reste le SEUL modèle imaginable pour la majorité des jeunes familles. Ça m’étonne d’autant plus que, dans les faits, on ne voit pratiquement plus d’enfants jouer dehors dans ces fameuses banlieues. Les parents veulent des rues sécuritaires pour les enfants, mais même en banlieue ils vont les mener à l’école en auto… Les parents veulent de grandes cours pour que les enfants jouent dehors, mais finissent par les enfermer dans le sous-sol, enchaînés à une WII… Il y a quelque chose de paradoxal de voir cette banlieue construite «sur mesure» pour les familles et les enfants être à ce point désertée dans les faits (en dehors du cocon de la maison) par ces mêmes enfants.
Bref, il me semble qu’il y avait, toutes proportions gardées, plus d’enfants dans les rue «sales et transversales» de Limoilou en 1940 que dans les parcs de Saint-Étienne-de-Lauzon en 2010…
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 16 h 00
Totalement d’accord. En fait, je regarde le temps que passe mes enfants dehors et je me demande la pertinence d’avoir un terrain. Il est surtout utile pour le chien. On serait probablement aussi bien servi par une maison en rangée.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 19 h 35
Très d’accord avec ces deux commentaires!!!
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 11 h 56
Un des problèmes avec Québec c’est qu’il n’y a aucun centre-ville digne de ce nom, avec des commerces intéressants (grands magasins) et des services accessibles à pied qui nous donnent envies de rester là.
S’il faut toujours prendre son char pour sortir du centre-ville pour aller faire nos commissions, je trouve qu’il perd beaucoup d’attrait.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 17 h 07
Je vous invite à jeter un oeil du côté de Montcalm, Saint-Jean-Baptiste, St-Roch, Limoilou…
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 17 h 32
L’oeuf ou la poule ?
… Dans ma p’tite ville on était juste quatre mille
Pis la rue principale à s’appelait St-Cyrille
La coop, le gaz bar, la caisse-pop, le croque-mort
Et le magasin général
Quand j’y retourne ça m’fait assez mal
Y’é tombé une bombe su’a rue principale
Depuis qu’y ont construit le centre d’achat …
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 12 h 54
Je veux juste faire remarquer qu’en 2010 la région de la capitale-nationale a augmenté d’à peine 2172 habitants l’an passé.
Si on dit qu’on est environ 800 000 dans la région de Québec, on parle d’une augmentation d’à peine 0,25%.
Or à écouter les médias, la ville de Québec vit un boom économique incroyable, force est de constater que ça ne se réflète pas dans les chiffres démographiques de la région de Québec.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 15 h 48
La tendance est claire selon cet autre sondage TVA…
Si on vous offrait la possibilité de choisir, où aimeriez-vous vivre?
En ville
23%
En banlieue
77%
Nombre de votes : 552
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 16 h 50
La question TVA définit-elle la banlieue? C’est Cap-Rouge ou Pont-Rouge? L’Ancienne-Lorette ou L’Ange-Gardien? Pour plusieurs, la banlieue ça signifie une maison avec un terrain (pour les enfants, le cabanon et la piscine). On la trouve aussi bien à Vanier qu’à Valcartier mais laquelle est véritablement en banlieue? En ce sens vaut mieux publier la question TVA même si les résultats sont éloquents. Par contre, ce qui est clair, c’est que les gens veulent leur petit coin de terrain et de gazon. Je ne crois pas que les cités vertes de Pointe-Aux-Lièvres et D’Estimauville vont leur en offrir. De même, les immeubles qui pousseront le long de l’éventuel tramway de Charest Ouest, seront de haute densité. Ce n’est pas ce que cherchent les jeunes familles. Elles préfèrent des maisons (logements) avec 3 ou 4 chambres. Elles n’en trouvent pas en ville, du moins pas à un prix abordable.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 16 h 51
oups :oublier et non publier
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 17 h 08
oui mais la population vieillit, plusieurs vont vouloir passer leur retraite dans un condo au centre-ville. Donc au augmentant l’offre de logements au centre-ville on va libérer les maisons qui sont plus en périphérie pour les familles.
Bien sur je parle pour le prochain 10-20ans.
Signaler ce commentaire
10 février 2011 à 14 h 35
Nous on est une jeune famille, et puis on veut élever nos enfants en ville. La cité verte nous conviendrait à merveille.
On attend le tramway avec impatience, et puis, habiter en condo en plein centre-ville ça a ses avantages pour élever sa famille et être proche des services sans avoir à sortir l’auto chaque fois.
Vivre dans un appartement à proximité de la Saint Charles est l’idéal que nous cherchons.
Lebourgneuf, où nous vivons a fait des progrès, mais toujours pas de densité réelle atteinte et pas assez de commerces pour piétons dans le coin, tout est trop concentré en un endroit, les Galeries de la Capitale, qui sont très bien, mais disons qu’on a été content de voir s’ériger l’Édifice Promutuel avec ses commerces au rez de chaussée et sa garderie. Vivement la phase II de ce projet.
Je dois aussi spécifier que contrairement à certains, le rond point de Lebourgneuf , bon nombre de mes voisins ici le trouvent pratique. C’est juste une question d’habitude.
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 17 h 06
Tant et aussi longtemps que je travaillerai en ville j’habiterai en ville (St-Roch). J’ai tout à proximité, je vais au travail à pied ou en vélo, je fais mes achats dans mon cartier ou je traverse le pont et je vais dans limoilou à pied ou en vélo, même aller a Fleur-de lys et une petite marche agréable en passant par la rivière. Saint-Jean-Baptiste est en haut de la côte aussi.
J’ai les principaux réseaux de pistes cyclables à proximité et si j’ai envie de monter me promener dans l’bois à Duchenay j’y vais en vélo. Pas besoin de m’inscrire dans un gym pour être en forme…
Je n’ai pas de voiture et je suis propriétaire de mon espace.
La qualité de vie en ville c’est ça. La tranquillité c’est autre chose :)
Signaler ce commentaire
26 janvier 2011 à 20 h 13
@Fernand :
2006 : 5300 habitants (statistiques canada)
En 2010, selon Fernand (chiffres très douteux).
2010 : 11 000
Augmentation de 5700 habitants en 4 ans, donc 1625 habitants par année. Selon vos chiffres, la population aurait augmenté de plus de 20% par année de 2006 à 2010. C’est à peu près impossible qu’une ville (au Québec) se construise aussi vite. Même si on ramène l’augmentation sur 5 ans (i.e. de janvier 2006 à décembre 2010), on se ramasse avec un calcul presque aussi absurde.
De toute façon, la population de la grande région de Québec a ugmenté d’à peine 2000 habitants en 2010. Si on se fie à votre logique, Boischatel aurait augmenté de 1600 habitants environ en 2010 ce qui en laisserait 400 pour toutes les autres municipalités de la région.
En plus, je ne suis pas spécialiste en municipalités, mais si Boischatel avait plus de 10 000 habitants, elle aurait automatiquement une charte de ville. Or sur le site web, on ne mentionne nul part que Boischatel a le status de ville.
Signaler ce commentaire
27 janvier 2011 à 10 h 42
Selon le répertoire des muncipalités du Ministère des affaires municipales, Boischatel compte 6242 citoyens. Mais le site ne dit pas de quand date cette information démographique. On y stipule que ces données sont continuellement mises à jour, à l’exception de celles relatives à la population, laquelle est établie par décret du gouvernement sur la base de l’estimation faite par l’Institut de la statistique du Québec. (C’est possiblement sur la base de cette étude sur les migrations dont il est isi question)
http://www.mamrot.gouv.qc.ca/repertoire-des-municipalites/fiche/municipalite/21045/
Signaler ce commentaire
27 janvier 2011 à 08 h 11
À première vue, cette étude me paraît un peu trop simpliste. Pour parler d’exode du centre vers la banlieue, faut pas seulement compter le monde en ville et en banlieue et calculer les variations. Il faut regarder le nombre moyen de personne par ménage, puis le taux d’inoccupation des logements. Et aussi regarder le mouvements des ménages (peut-être que l’augmentation de population de la banlieue ne s’est pas nécessairement faite à partir de gens qui quittaient la ville, ça peut aussi être des gens d’autres régions qui choisissent de s’installer loin du centre).
Il y a quelques années, on disait que le Vieux-Québec se vidait. Mais quant on regarde mieux, on s’est aperçu qu’il n’y avait pas des masse de logements vides, mais plutôt des ménages comportant moins de personne.
Vu le prix des maisons/condos en ville élevé (donc en demande), la rareté et l’absence d’inoccupation importante dans les logements, je ne vois pas de phénomène d’exode.
Signaler ce commentaire
27 janvier 2011 à 11 h 55
Justement, c’est un peu n’importe quoi… et très très simpliste!
On ne dit pas qu’est-ce qu’on définit par banlieue… est-ce qu’on parle de tout ce qui est en dehors des limites administratives de la Ville de Québec? Il y a pourtant de coins de « banlieue » à l’intérieur des limites de la ville. L’ancienne-Lorette, c’est de la banlieue ou pas? C’est pas dans Québec, mais quand même à l’intérieur des limites. Et tant qu’à ça, Lévis c’est pas mal moins banlieue que Lac-St-Charles qui fait partie de Québec…
Et comme tu l’as mentionné, le problème est surtout le nombre de personnes par ménage en ville. Plus on s’approche du centre-ville, plus il diminue. Dans les quartiers centraux, c’est plus de la moitié des ménages qui n’ont qu’une seule personne. Le centre se vide parce que les gens veulent vivre seuls en ville. Mais cette « cause » peut ne pas s’appliquer selon ce que « l’analyse » considère comme la banlieue (i.e. cette perte au centre-ville peut être compensée par des gains dans les quartier banlieusards dans les limites de la ville).
De plus, qu’est-ce qui dit que c’est vraiment de « Québec vers banlieue » le mouvement? Peut-être qu’il y en a un de « Québec vers Montréal et sa banlieue » et un autre de « est du Québec vers banlieue de Québec ». Ça nous donnerait les mêmes données, non? D’ailleurs, dans d’autres billets on mentionnait que le gonflement des banlieues périphériques de Québec était surtout à des gens qui arrivaient d’encore plus loin et qui s’approchaient de Québec, et non de gens de la ville qui s’éloignaient.
Finalement, à tous ceux qui parlent de transport, voiture, etc. ne vous est-il jamais venu à l’idée que le nombre d’emploi aussi augmente en banlieue? et que par conséquent, ces gens là sont peut-être plus près de leur travail ainsi? Pourquoi habiter Montcalm quand on travaille dans le parc industriel à St-Augustin ou à Lévis?
Il y a probablement un certain étalement urbain qui s’opère, mais probablement pas autant qu’on le pense. Et sûrement pas un exode… (sauf peut-être un exode des campagnes vers les banlieues)
Signaler ce commentaire
27 janvier 2011 à 16 h 59
Vous soulevez, tous les deux, plusieurs points, dont certains trouvent réponse dans l’article cité en amorce de cette discussion.
D’abord, le terme exode ne semble pas venir de l’étude mais du Journal. Le solde migratoire est trop minime (299) pour parler d’exode. Quant à la base pour définir la banlieue elle me semble évidente dans cette étude : les limites de la ville actuelle de Québec vs les municipalités voisines extérieures à ce périmètre. Donc, même s’il y a des banlieues à l’intérieur de la ville, cette étude les inclut dans la ville.
Oubliez le terme « simpliste » pour parler de cette étude : c’est un solde migratoire des régions du Québec réalisé à partir des adresses fournies annuellement par la Régie de l’Assurance Maladie. Pour recouper toutes les données dont vous parlez (nombre de personnes par ménage, âge, etc.) c’est le recensement pancanadien qui le fait à tous les 5 ans et pour ce qui est de la taille et de la disponibilité des logements, c’est la SCHL.
Pour ce qui est de vos questions sur les déplacements : « Québec vers banlieue » ou régions vers Québec… C’est justement ce dont traite cette analyse statistique sur la base des régions, des MRC et des villes-centres, faut la regarder, elle est en lien, ci-haut
Signaler ce commentaire
27 janvier 2011 à 22 h 15
Effectivement, je suis passé tout droit et j’ai raté les autres liens. Mon erreur!
Un peu de lecture m’attend…
Signaler ce commentaire
27 janvier 2011 à 15 h 18
Je crois que la ville de québec veux presque juste bâtir des condos et logements à ce que je vois et avec tout les projets en cours. Ce n’est pas ce que les jeunes familles recherchent, ils veulent une maison avec terrain et ce n’est pas accessible à québec neuf, Oui mais à un prix tellement pas abordable.
Signaler ce commentaire
27 janvier 2011 à 16 h 22
Je vous propose quelque chose, pour le bénéfice de tout le monde. Pourriez-vous, s’il-vous-plaît, nous indiquer où se trouveraient de tels terrains, même si « la ville » voudrait faire ce que vous indiquez ? Merci.
Signaler ce commentaire
2 mars 2011 à 23 h 04
Près du boulevard Hamel, plusieurs terrains à Ste-Foy (le quartier militaire est à moitié vide, qu’est-ce qu’ils veulent faire là-bas des condos?). Sinon il faut construire plus en hauteur surtout à Ste-Foy. Je vois des condos sur 2 étages dans des édifices de 10 étages et plus avec une terrase/jardin sur le toit et une garderie au premier étage!
Signaler ce commentaire
31 janvier 2011 à 23 h 39
Finalement, tout ce que je comprend c’est que le phénomène n’a rien de nouveau depuis 10 ans. Depuis un bon deux cents ans, Québec attire plus de monde qu’autour, jusqu’à ce que ce ne soit plus vrai, puis les limites de Québec s’agrandissent et le cycle recommence. Dans 50 ans on repoussera encore les limites administratives de la ville, et la même chose recommencera.
En fait, on pourrait même dire que ce sont les limites administatives qui s’ajustent, avec un certain retard, au développement déjà fait.
Signaler ce commentaire
4 février 2011 à 14 h 15
Exact!
Même Saint-Jean-Baptiste a déjà été à l’extérieur de QUébec… à l’extérieur des murs. On part de loin!
Signaler ce commentaire
4 février 2011 à 15 h 01
Attesté dès le XIIIe siècle, le mot banlieue a pour racine celui de ban, terme féodal signifiant le territoire sous la juridiction d’un seigneur, là où ses décisions étaient l’objet de proclamations. S’appliquant à une ville, le terme de banlieue se mit à désigner l’étendue de pays, d’une lieue ou de plusieurs lieues – et la lieue variait d’une région à l’autre – soumise au pouvoir de commandement d’un seigneur, et, de plus en plus souvent d’une municipalité. (wikipedia)
Signaler ce commentaire
9 février 2011 à 00 h 30
Une jeune famille habite en banlieue pour une raison fort simple: la banlieue répond à ses besoins. Point barre.
Dans le cas ou la dite jeune famille aurait été malencontreusement endoctrinée à la banlieusardise plutôt qu’à la sacro-sainte Urbanité… Elle aurait fini par s’en rendre compte.
Faudrait finir par accepter l’évidence. Bien des jeunes familles font un choix. Réfléchis. Pas juste biaisé. Influencé bien sûre, c’est le propre de l’humain. Faire des choix en se respectant est aussi le propre de l’humain, aussi banlieusard soit-il.
Alors? Arrêtons de cogner sur la tête du gros gnochon qui habite la banlieue. Il est aussi intelligent, cultivé, sportif et aimant de la nature que les saint-urbains… Peut-être juste un tantinet moins arrogant.
Dans ma banlieue, je peux marcher pour faire mon épicerie, pour me faire arracher une dent, pour m’acheter des vêtements, me faire couper les cheveux… bref, pas mal tout ce qu’un urbain fait. Mais je dois avouer que la beauté de la chose c’est que je décide de mon moyen de locomotion, soit la marche, le vélo, l’auto et le bus (des fois!)… ça dépend de bien des facteurs: la distance, la météo, l’humeur des enfants, le temps… et quoi encore? C’est un peu comme les urbains, non? Non? C’est vrai, vous, vous prenez l’auto juste quand c’est nécessaire. Ben bravo.
D’ailleurs je vais quand en ville? Mmm, bonne question. Je n’y travaille pas, mes amis n’y sont pas, je ne vais plus à l’Université… Bon, j’y vais pour le Festival d’été (en bus, d’ailleurs), je fréquente les musées, théâtres et certaines salles de spectacles quelques fois par année… C’est pas mal tout.
Je trouve que le discours manque de profondeur, de finesse et de discernement.
Mes enfants aussi vont jouer au parc, mais ils peuvent jouer dans la cour, surtout quand je n’ai pas le temps d’aller au parc avec eux. Je n’entends pas les chicanes de mes voisins, ils vivent juste assez loin de l’autre côté de la haie de cèdre… Je n’ai pas à me chercher de stationnement un soir de tempête… et à me stationner 2 rues plus loin les bras encombrés de mes achats (grosse commande à l’épicerie car j’attends de la visite, essayer pas, vous aussi ça vous arrive!) en trainant par la manche ma terrible two trop fatigué pour marcher…
J’ai déjà habité en ville. Je voudrais y retourner à ma retraite. Avec les enfants, c’est en banlieue que j’ai choisie de vivre. Quoi que vous en disiez.
By the way, PARADISO, tu es maître dans l’arrogance et dans le manque de savoir vivre. Reste en ville. J’ai pas envie de t’avoir comme voisin… Comme si l’être humain qui habite la banlieue passe ses journées au Canadian Tire. Et l’urbain lui? Ah oui. Il fait le bien, car il a raison.
Mort de rire.
Signaler ce commentaire
10 février 2011 à 14 h 45
Nous sommes dans une banlieue (adj Neufchatel) et nous sommes une jeune famille. Loin d’être idéale pour nous, cette situation nous convient de moins en moins. Avec les enfants qui grandissent maintenant, nous optons pour le centre-ville. Nous serions p.e restés sur place s’il y aurait eu une densification plus active dans le secteur . On a amélioré le système de bus , c’est bien, mais pour la ville, pour mes enfants, je dois dire que j’attends toujours le vrai progrès du transport en commun à Québec: Le Tramway de Québec.
Tout est trop concentré aux galeries de la capitale.
Heureusement ça commence à s’améliorer du côté de l’édifice Lebourgneuf et l’édifice Promutuel, avec commerces au rez de chaussée accessibles aux piétons. Nous apprécions aussi le rond point de Lebourgneuf, qui semble apprécié de bon nombre de nos voisins qui en ont maintenant l’habitude.
La banlieue ne répond plus à nos besoins en tant que jeune famille. les enfants iront au secondaire bientôt, et nous voulons pas être obligés de sortir la voiture à chaque fois qu’on veut aller se chercher une baguette de pain ou un fromage.
Nous allons opter pour un condo à proximité du centre ville à côté de la rivière Saint Charles, poumon ou artère verte de la ville. Nous serons plus près de l’école des enfants, du travail de ma femme, et ainsi, si on veut aller voir un film ou casser la croute au resto nous pourrons le faire à pied ou même en tram .
Certains aiment cultiver le dynamisme urbain et la proximité pratique du concept humain qu’est: l’agglomération.
Signaler ce commentaire
10 février 2011 à 14 h 47
PS On devrait faire un VÉRITABLE boulevard urbain de Robert-Bourassa.
Signaler ce commentaire