Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Plus de 65 000 emplois à pourvoir à Québec d’ici 2014

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 février 2011 15 commentaires

QUÉBEC, le 28 janv. 2011 /CNW Telbec/ – Au nom de la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, Julie Boulet, le ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale et ministre des Transports, Sam Hamad, a dévoilé aujourd’hui les perspectives professionnelles 2010-2014 d’Emploi-Québec pour la région de la Capitale-Nationale, qui brossent le tableau des possibilités d’emploi pour les prochaines années.

Selon les prévisions d’Emploi-Québec, 65 400 emplois seront à pourvoir dans la région d’ici 2014. Il faudra pourvoir plus de 25 % de ces emplois pour répondre à la croissance des entreprises (création nette de 16 900 emplois) et près de 75 % pour remplacer les départs à la retraite (48 500 emplois).

La suite

Voir aussi : Message d'intérêt public, Québec La cité.


15 commentaires

  1. Dan

    9 février 2011 à 19 h 22

    Shit ca vas ammener beaucoup de gens de l’extérieur à venir travailler et habiter ici dans la région de Québec. Mais quand même c’est pas mal de job 65 400 à combler.
    En 3 ans c’est un miracle s’ils sont tous comblé

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  2. Franks Utilisateur de Québec Urbain

    9 février 2011 à 19 h 27

    Je prévois justement moi même quitter ma région (Laurentides), pour déménager dans la région de Québec où j’espère occuper un poste à temps plein.

    Mais tout n’est pas si facile ! … il faut travailler fort, et souvent justifier le fait que l’on quitte sa région et parfois passer en 2ieme parce qu’on est pas du coin. ( Expérience personelle )

    … J’espère que si le manque d’employés est si criant, qu’on fera un petit effort en ce sens !

    Franks

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  3. mimir

    10 février 2011 à 09 h 21

    C’est la cas de la plupart des régions.

    La semaine dernière, nous avons eu droit au même article et au même speech pour la région de la Mauricie pour laquel il y aura 23 000 emploi à combler s’ici 2014.

    http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/economie/201101/28/01-4364743-plus-de-23-000-emplois-disponibles-dici-2014.php

    Si toutes les régions sont en manque d’employés, je ne sais pas comment va se sortir la province!

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  4. Yvan Dutil

    10 février 2011 à 13 h 00

    Cela fait 15 ans que l’on répète qu’il va y avoir un manque de personnel en 2010-2015. Personne n’a écouté. Alors, à moins de crise économique majeure, on va frapper le mur grâce à une gestion à la petite semaine.

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    • mimir

      10 février 2011 à 13 h 14

      Mias qu’est-ce qui aurait pu être fait?

      Les gens ont des besoins criant mais il y a moins de population pour les desservir.

      Même si on avait dit qu’on avait besoin de 50 000 infirmières par exemple, on ne peut quand même pas forcer 50000 personnes à faire un emploi qu’ils ne veulent pas non?

      Quelles auraient dû être les solutions? Qu’est-ce qui devrait être fait pour fournir assez d’employés? Immigration? C’est réellement la seule avenue?

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      • Manu

        10 février 2011 à 22 h 21

        Dans certains cas, comme celui des infirmières justement, une solution aurait été de permettre à un plus grand nombre de personnes de le devenir. Ce serait à vérifier, mais j’ai bien l’impression que les contingentements (dûs principalement au manque d’enseignants, de locaux, de matériel, etc.) ont forcé plusieurs personnes à faire autre chose dans la vie.

        Mais dans d’autres cas, comme en informatique « at large », il manque de gens, mais il y a quand même déjà plus de gens qui y travaillent que de gens qui y sont réellement aptes (étant là-dedans, je ne crois pas me tromper… )Autrement dit, on en « produit » déjà plus que ce qu’on est capable de faire et ce n’est pas encore suffisant. La solution serait alors plutôt de trouver un moyen d’en avoir moins besoin.

        C’est probablement pas mal plus compliqué que ça en réalité, mais en bout de ligne, le problème se résume probablement aux distortions démographiques des 50 dernières années. À moins de revenir dans le temps, on peut mettre des plasters sur le bobo (retraite à 70 ans, favoriser l’immigration), mais pas régler le problème… à moins qu’on attende 50 ans, lorsque la pyramide d’âge redeviendra plus normale.

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  5. paradiso Utilisateur de Québec Urbain

    13 février 2011 à 10 h 36

    Avec 30 % du budget en éducation de la province qui va aux établissements ANGLOPHONES, est-ce que vous croyez que la ville de Québec sera capable d’attirer des recrues en provenance de la grande région de Montréal, pour travailler dans un milieu de travail 100% francophone?

    En ce moment on subventionne la formation de gens qui vont soit rester à vie dans leur «ghetto» de l’île de Montréal, soit quitter pour le ROC.

    Je ne suis pas contre l’apprentissage de l’anglais et les stages d’immersion, bien au contraire. Mais je crois qu’étendre la Loi 101 aux cégeps est une mesure qui doit être adoptée d’urgence.

    Il est temps d’avoir un débat de société : voulons-nous continuer d’exister comme société francophone, et si oui, est-il logique de subventionner le système anglophone à 30 % alors que la communauté anglophone historique ne fait que 15 % de la population ?

    Ou alors, sommes-nous prêts à ouvrir les portes massivement aux diplômés d’Afrique du Nord ? La grande majorité n’ont rien d’extrémiste et parlent un français encore meilleur que le nôtre. Encore faut-il reconnaître leurs diplômes, au lieu de les contraindre à conduire des taxis !!!

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    • JP

      14 février 2011 à 21 h 09

      30% du budget en éducation aux établissements anglophones? Ça me semble exagéré. Les écoles primaires et secondaires anglophones sont rares grâce à la loi 101. Reste les Cegeps et universités… 30% du budget en éducation aux anglophones? J’aurais besoin de statistiques fiables pour me convaincre.

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