Pierre-André Normandin
Le Soleil
(Québec) L’application du nouveau règlement protégeant les principales sources d’eau de Québec cause de sérieux maux de tête aux municipalités au nord de la capitale. Elles attendent toujours de savoir si elles pourront respecter les ententes prises avec les promoteurs avant son adoption, une incertitude qui risque de freiner leur développement.
14 février 2011 à 13 h 25
Début de victoire? :D
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14 février 2011 à 20 h 44
On construire ailleurs que dans le bassin versant de la St-Charles, mais tout autant « en périphérie ». Autrement dit, pour l’étalement urbain et autres considérations du genre, c’est quatre trente-sous pour une piastre.
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18 février 2011 à 02 h 14
Pas forcément. C’est tout de même une bonne idée de réfléchir en fonction de la capacité d’un territoire du supporter son propre développement résidentiel, surtout pour une région qui a un impact potentiel sur sa zone urbaine proche. Selon cette logique, il vaut peut-être mieux voir se développer Portneuf que Valcartier, même si dans les deux cas il y a développement périphérique. De plus, Portneuf, c’est aussi une région où il y a déjà des centres urbains, se qui n’est pas le cas de Valcartier, complètement dépendant de Québec.
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