* Merci à un lecteur (Jeason Morin) qui nous fournit ces photos du projet qui semble se construire rapidement. C’est la phase VI du projet Les Méandres.
* Merci à un lecteur (Jeason Morin) qui nous fournit ces photos du projet qui semble se construire rapidement. C’est la phase VI du projet Les Méandres.
Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Logement locatif ou social.
23 février 2011 à 18 h 23
J’aime l’architecture de la deuxième photo en haut à droite.
Signaler ce commentaire
23 février 2011 à 19 h 57
C’est incroyable à la vitesse comment tout le secteur des Méandres s’est développé et se développe encore.
Je me demande bien quand il n’y auras pu de terrain où que les promoteur auront la chance de bâtir avec autant de terrain de libre???
À Beauport, il y a plein de terrain avec des champs pres des promenade de beauport vers le nord, je crois qu’il devrais y attaquer ce secteur après les Méandres. En tout cas dans ce secteur à Beauport j’aimerais bien y voir un secteur comme les Méandres pousser.
Signaler ce commentaire
23 février 2011 à 21 h 09
Il y a tellement d’espace qui devrait être développé avant de toucher aux espaces agricoles! On va manger quoi quand il n’y en aura plus???
Signaler ce commentaire
23 février 2011 à 22 h 11
Aucun rapport…
L’essentiel de la nourriture que l’on mange vient des prairies et des états-unis.
Au Québec, c’est surtout le lait, les oeufs et la volaille. De toute façon, au Québec l’agriculture est marginalement rentable, alors il ne faut pas blâmer les agriculteurs de vouloir vendre leur terre.
Signaler ce commentaire
23 février 2011 à 22 h 45
Donc au lieu de prôner l’achat local vous prôner l’achat à l’étranger? Drôle de réflexion… Même si une partie de nos achats alimentaire viennent d’ailleurs est-ce vraiment une raison de ne pas protéger ce qu’il y a ici, comme si ça ne valait rien? L’agriculture est mal perçu au Québec, va savoir pourquoi!
Pensez-vous que le problème d’étalement urbain n’affecte que Québec. Tous les villes du monde vivent le même phénomène et dans la grande majorité des cas, ces villes sont situés là où les terres sont les plus fertiles, car c’est là que les premiers établissements humains se sont constitué.
Je ne blâme pas l’agriculteur qui vend sa terre je blâme le promoteur qui lui achète alors qu’il aurait pu développer des terrains à l’intérieur du périmètre d’urbanisation. Je blâme les municipalités qui n’ont souvent pas le courage de fixer des règles plus strictes. Je blâme le mode d’habitat qui trop souvent s’y construit et demande 3X plus d’emprise au sol.
Aucun rapport?
Signaler ce commentaire
23 février 2011 à 22 h 53
Si je me fie à vos propos dans un autre billet (merci de lire Québec Urbain en passant), vous ne connaissez pas ou peu Québec. Je me trompe ? Car je vous invite à aller parcourir Lebourgneuf lors de votre prochaine visite. Quant à moi, c’est le nouveau centre de Québec mais tout le monde se dispute le qualificatif (Ste-Foy, ancienne ville de Québec). N’y manque que des édifices en hauteur et quant à cet élément, je ne comprends pas pourquoi. Aucun projet à ce niveau. Serait-ce interdit par les autorités municipales ? C’est un mystère pour moi. C’était et c’est encore le coin pour des édifices en hauteur.
Signaler ce commentaire
23 février 2011 à 23 h 48
Peu de terres dans les secteur sus-mentionnés ont déjà servi à l’agriculture, du moins, dans les 50 dernières années. Plusieurs ne sont qu’à la limite d’être arables (de la glaise et de la roche…). Ça finissait bien souvent en pâturage, puis en terre inutilisée. Bref, dans la plupart des cas (aucune donnée à ce sujet, juste « de visu »), je dirais que les terres sont soit impropres à une agriculture soutenue, soit abandonnées depuis longtemps.
Finalement, entre remplir un champ ou ancien champ de condos à Pont-Rouge (par exemple) ou à Québec, il me semble plus logique (et probablement plus écologique) de constuire les condos à Québec et de faire de l’agriculture à Pont-Rouge.
Signaler ce commentaire
24 février 2011 à 08 h 51
@Louis. M
Je faisais seulement la remarque que les terres agricoles au Québec ne produisent pas les aliments de base que l’on mange. Ce n’est pas nouveau, la culture du blé a été abandonnée au profit de l’ouest canadien car ce n’était pas possible de concurrencer les prairies de ce côté.
Par conséquent, prétendre que l’étalement urbain va causer une pénurie de nourriture au Québec est vraiment mais vraiment fallacieux. Deuxièmement, vous semblez oublier que dans plusieurs régions du Québec, il y a plein de terres agricoles à l’abandon faute de rentabilité et de relève.
Pour l’achat local, je suis d’accord à petite échelle, mais ce n’est pas vraiment plus écologique, le transport comptant pour une infime partie de l’empreinte écologique de ce que l’on mange.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201002/16/01-950394-pas-toujours-verts-les-produits-locaux.php
Signaler ce commentaire
24 février 2011 à 10 h 13
Évidemment qu’entre la périphérie en continuité de Québec et faire du développement en saute-mouton, le premier est préférable. Là n’est pas la question. Vous me rassurez un peu en me disant qu’il n’y avait pas d’agriculture là, du moins récemment. Il faut cependant être prudent avec ce raisonnement car beaucoup de terres ont été abandonné très tôt, non pas parce que terre n’était pas suffisamment fertile mais parce qu’elles ont été achetées par des spéculateurs qui anticipait le développement depuis des décennies.
On ne peut pas qualifier Lebourgneuf de centre. Quant bien même qu’il y ait des édifices en hauteur, ça n’en fait pas un centre pour autant. Exemple: les édifices en hauteur à Paris sont soit à la Défence ou dans les banlieues. Est-ce que ça en fait le centre de Paris? Pas du tout. Le centre c’est une toute autre chose, et même Ste-Foy n’en est pas un. Et oui Gérald, je ne connais pas encore tous les recoins de Québec, même si j’y vis, ce qui ne m’empêche pas d’en avoir une opinion, car les phénomène sont bien souvent les mêmes d’une ville à l’autre.
Enfin, l’empreinte écologique n’est qu’un des arguments de l’achat local, il n’est pas le seul! Si l’agriculture a de la difficulté à être rentable au Québec c’est en partie parce que les gens n’achètent souvent pas les produit locaux.
Signaler ce commentaire
24 février 2011 à 08 h 05
La photo 3 illustre merveilleusement combien on profite d’un cadre de vie magnifique quand on opte pour ces développements anonymes… j’aime pas!
Signaler ce commentaire
24 février 2011 à 09 h 40
Laissez-moi reprendre la même photo dans un an et ce sera un quartier entier, dans cinq ans il y aura des arbres et ce sera très bien.
Signaler ce commentaire
24 février 2011 à 17 h 14
Gwido donne leur le temps ils sont en train de développer le quartier… L’endroit ou vous demeurez est probablement passé par là aussi lors de sa construction :-)
Comme le dit jmorin on verra dans 5 ans avec les arbres et tout de quoi ça l’aura l’air.
Signaler ce commentaire
27 février 2011 à 20 h 18
Bien d’accord. Mais disons plutôt 25 ans, le temps que les arbres poussent pour la peine… (c’est ce que je me suis dit en plantant les arbres chez moi)
Signaler ce commentaire
24 février 2011 à 17 h 45
Il s’agit d’un quartier assez central. Par contre, ce que je n’aime pas de ce secteur est la présence importante de pylônes électriques, mais c’est purement personnel.
Signaler ce commentaire
27 février 2011 à 20 h 27
En effet. C’est épouvantable la quantité de lignes électriques dans ce secteur.
Il y a de grosses lignes qui arrive de la Baie James et de la Côte-Nord qui se rejoignent au poste des Laurentides (je crois que c’est son nom, le gros poste juste au sud de St-Émile) et qui repartent principalement vers la rive-sud (et un peu à Québec même, bien sûr). Pour des raisons que je ne peux qu’imaginer ne les connaissant pas (contraintes techniques et ruralité du secteur à cette époque), on a éparpillé ces lignes plutôt que de les concentrer dans un seul corridor par direction (Baie James, Côte-Nord, Rive-Sud).
Si on sui Robert-Bourassa de Johnny-Parent à la Morille, puis la Morille jusqu’à la rue du Mesnil, c’est quatre kilomètre, le long desquels on croise autant de lignes à haute tension.
Mais bon, on va vivre avec…
Signaler ce commentaire