Franchement impressionnant cette nouvelle structure qui monte dans le ciel de la Cité universitaire; un peu comme on l’avait ressenti quand les premières arches du stade de soccer sur l’Ormière étaient apparues.
Nouveau stade pour le PEPS : un gros chantier sur la Cité Universitaire.
27 février 2011 à 11 h 41
Il est possible de voir en direct l’état des travaux sur le site de l’entrepreneur Pomerleau ici http://www.pomerleau.ca/construction-entrepreneur/index.aspx
PA
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27 février 2011 à 19 h 47
je présume que la nouvelle régie ne sera pas accessible pour la prochaine saison du R&O; dans deux ans cette nouvelle facilité sera certainement très performante.
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27 février 2011 à 20 h 18
J’ai remarqué que les ancrages au milieu des poutres en bois de la structure étaient visible. Normalement, l’acier doit être noyé dans le bois afin de le protéger contre feu. Est-ce que quelqu’un sait s’il va y avoir des coffrages ajoutés par dessus par la suite.
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27 février 2011 à 22 h 01
Protéger l’acier contre le feux? Mais l’acier résiste mieux au feux que le bois. Est-ce qu’on est rendu à croire qu’une bâtisse en bois ne peut plus bruler? Expliquez moi, je ne comprend pas.
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27 février 2011 à 22 h 43
les poutres de bois grace à leur vernis et leur structure compressé ne brûle qu’en surface sans se déformer tandis que l’acier sous l’action de la chaleur va finir par se tordre et casser
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28 février 2011 à 08 h 35
Je sais que l’acier peut se déformer, se déchirer et même fondre. Mais je me disais que le bois serait transformé en charbon avant que ça arrive. J’aimerais bien que les pompiers fassent un test de combustion dans leur chambres spéciales pour qu’on puisse voir ce que ça donne pour vrai.
Une question comme ça, là ce ne sont pas des poutrelles en ripes comme celles des maisons. Ce sont des bouts des planchettes collées ensemble. Vôtre principe s’applique pour ça aussi.
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28 février 2011 à 11 h 03
L’acier se ramolli bien en bas de son point de fusion. On doit donc absolument le protéger avec un isolat thermique. Dans le cas du bois, on ajoute un pouce de bois tout le tour. Comme cela prend une heure pour passer à travers un pouce de bois, la structure possède une résistance au feu d’une heure, ce qui est dans le norme.
Ce qui me chicote ici est que les ancrage d’acier n’ont pas l’air protégés dans le milieu des poutres.
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27 février 2011 à 23 h 08
Règle générale, une structure en bois est sur-dimensionnée pour prendre en compte les effets du feu. Pendant un feu, la section sur-dimensionnée se carbonise pour protéger le coeur de l’arche en bois (qui est conçue pour résister au charges). Les structures en bois massives ont donc sensiblement les mêmes capacités de résistance au feu qu’une structure en acier équivalente. (i.e. faire brûler un gros morceau de bois peut être très long).
Les connecteurs en acier sont cependant plus petits et perdent de la résistance assez rapidement en cas d’incendie. La rupture d’un connecteur soutenant 2 arches serait catastrophique. (ruine du bâtiment + perte de vies humaines) Il est pratique courante de les protéger en les cachant sous le bois.
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28 février 2011 à 07 h 47
C’est exactement ce que j’avais en tête. Typiquement, on ajoute 25 mm de bois supplémentaire pour protéger l’intégrité mécanique des poutres pendant 1 heure. Cependant, dans le cas du PEPS, les connecteurs métalliques sont très apparents. J’imagine qu’il y aura des coffrage de protection.
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28 février 2011 à 08 h 37
Peut-être parce qu’ils les ont susmentionnés comme les poutres…
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28 février 2011 à 11 h 04
Non, cela ne donne pas grand chose. L’acier conduit très bien la chaleur, alors l’ensemble du métal se ramolli. Il faut une protection thermique.
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