Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


« Nid-de-poule » ou « nid-de-coq » ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 13 mars 2011 29 commentaires

Vous aurez sans doute reconnu le coin Crémazie et Cartier. Vous êtes avisés si vous y passez en voiture !

La même intersection sur Google Maps.

Comme par un heureux hasard Cyberpresse « pondait » cet article aujourd’hui :


La chasse aux nids-de-poule est ouverte.


crédit : Pierre-André Normandin et Annie Morin

…et un merci spécial à M. Gobeil qui, grâce à son oeil averti, m’a signalé l’article.

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Québec La cité.


29 commentaires

  1. Pouët

    13 mars 2011 à 21 h 04

    C’est plus de trous c’est des failles géologiques! Espérons que la ville bouge plus vite que les plaques tectoniques pour réparer ça.
    En anglais ils ont un terme qui image bien le phénomène: PotHoles

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  2. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    13 mars 2011 à 21 h 20

    Info nids-de-poule. Vont-ils répéter l’expérience en 2011 ? :)

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  3. rod

    13 mars 2011 à 21 h 57

    bonjour jai toujour travaillé sur la construction
    quan je vois les emploier de la voiris faire semblan de travaillé les chebveux me desse surla tête cinq camionettes deux gros camions un employer qui fait semblant de travaillé pour un équipe de dix quesqui fon dans une journée set une heure douvrage pour le privé il répare un tou et en passe deux
    donné le contra a lentreprise privé les nid poules von disparetre

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    • denisb

      14 mars 2011 à 21 h 42

      J’ai régulièrement vue la même chose de la part d’entrepreneur privé.

      Personnellement je suis un peu tanné d’entendre toujours ce genre de commentaire juste parce que c’est l’fun de chialer contre le public.

      J’ai l’occasion de voir les deux côtés de la médaille dans mon domaine (je ne suis pas dans la construction toutefois ) et je peux vous assurer que les écarts sont pas mal moins toléré (car plus surveillé) dans le public que dans le privé.

      En passant, les routes et les ponts construits mais qui sont mal fait, c’est le privé qui les ont fait….

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  4. Pier Luc

    13 mars 2011 à 22 h 32

    Des fois je me demande si nid-de-poule est le bon terme. C’est parfois tellement cassé qu’on pourrait dire que la route est pleine de galets de d’asphalte car c’est tout ce qui reste du pavage.

    Une question que je me pose. Quand ils font des routes neuves ils:
    – Creuse une sorte de tranchée
    – Étendent une toile géotextile
    – Mettent différentes couches de matériaux minéral.
    – Mettent trois couches d’asphalte

    Quand ils réparent:
    – Gratte le dessus.
    – Jette des pelletés dans les trous et roule dessus avec un rouleau compacteur.
    – Mettent une mince couche d’asphalte.

    Dans tout ça, on dirait pas qu’ils se demandent comment sont faites les fondations de la route. Ce serait important. Des fois que ça aie été fait par Duplessis et ses ti-amis et que l’asphalte aie été étendue sur de la glaise…

    Je me demande si ça vaux la peine de réparer les routes toutes brisées. On devrait peut-être toutes les refaire complètement (celles qui ont l’air d’être faite en gravelle tellement elles sont cassées).

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    • Pouët

      14 mars 2011 à 18 h 39

      Le problème des « patch » c’est que soit que la charrue décolle la galette l’hiver et ça refait un trou ou bedon que l’eau s’infiltre sous celle-ci, gèle, prend de l’expansion et fait lever la « patch » qui se fera arracher par la charrue (de toute façon). Déplaisant, mais toujours moins cher que de repaver la rue au complet…

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      • rod

        14 mars 2011 à 20 h 42

        le problème quan il répare les nids de poule il en répare un il en laisse deux pour ce gardé de l,ouvrage et le contremaitre ne voi rien
        il ne ç¸on la pour faire du temp

        en 2009 sur la 132 il lon fait faire par le privé il on fait quatre foies plus dovrage avec la moitier moin d,équipement
        on a plus les moyen de payer des gens a rien faire
        un vrais gaspillage de temp et d,équipement

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  5. Jeff M

    13 mars 2011 à 23 h 06

    Honnêtement, j’ai l’impression que le problème est particulièrement aigue cette année. J’ai pas de mesure scientifique. Juste une impression.

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  6. Léonce Naud

    14 mars 2011 à 06 h 23

    Quelqu’un devrait examiner de près certains mélanges d’asphalte. Et si certaines applications d’asphalte étaient précisément conçues pour ne durer qu’un temps minimum, après quoi il faut tout recommencer ?

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    • Pier Luc

      14 mars 2011 à 09 h 16

      Garantie 6 mois?? ha ha!

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    • Yvan Dutil

      14 mars 2011 à 21 h 23

      Normalement, la composition de l’asphalte est normée. Il y a toujours moyens pour l’entrepreneur de botcher.

      Il n’y a pas de magie. Le nerf de la guerre c’est le drainage. Il ne faut pas que l’eau s’accumule sous l’asphalte.

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  7. Benoit

    14 mars 2011 à 07 h 51

    Hier nous avons vu un camion de la Voirie fermer une section du boulevard Cloutier, entre l’avenue de Laval et la 1re Avenue. La chaussée ressemblait à un champ de mines.

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  8. Un lecteur assidu

    14 mars 2011 à 10 h 28

    « NID – D’AUTRUCHE », vous connaissez ?

    J’ai eu à emprunter D’AIGUILLON, hier.

    Si vous avez à y passer, vous allez « connaitre » !

    « Be careful, VERY careful » !

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  9. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    14 mars 2011 à 16 h 11

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  10. barb

    14 mars 2011 à 16 h 40

    Je confirme Philippe-Dorval coin D’Aiguillon c’est un nid de dinosaure. En Europe ils ferment des rues pour moins que ça.

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  11. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    15 mars 2011 à 13 h 08

    Au printemps, les nids de poules refont toujours leur apparition, ainsi que les commentaires des automobiles mécontentes envers la ville. Certains d’entre eux voudraient même refiler la facture des dégâts à la ville, considérant qu’il ne sont pas responsable.

    Donc petit guide pratique pour les automobilistes : la majorité des modèles automobiles actuels (sauf quelques Toyota) sont pourvus d’une fonction « frein ». Lorsque vous croisez un nid de poules sur votre route, il est vigilant d’utiliser cette fonction trop souvent oubliée. Ne vous en faites pas, la limite de vitesse c’est un maximum, pas un minimum! En effet, la ville ne vous oblige pas à rouler à 60 sur les routes printanières difficiles. Moral de cette histoire : ralentissez pourrait vous sauver gros.

    Fin de la parenthèse.

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    • PhilT

      15 mars 2011 à 14 h 29

      En tant que conducteur d’une vieille minoune avec la suspension finie, j’approuve ce commentaire.

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    • christian

      15 mars 2011 à 15 h 43

      Je comparerais ça à répondre aux piétons qui chiâlent de se faire arroser au printemps par les voitures qu’ils ont juste à monter sur le banc de neige, et d’arrêter de se plaindre… Des trous dans la route, ce n’est pas NORMAL, qu’on roule dedans à 100 ou 3 km/h…

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      • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

        15 mars 2011 à 16 h 14

        En effet, ce n’est pas normal, et la ville doit les réparer. Par contre, les bris sur les véhicules ne les incombe pas, et sont la grande majorité du temps la responsabilité de l’automobiliste. Si vous roulez dans un nid de poule à 3 km/h, vous ne subirez aucun dommage, alors qu’à 100 km/h …

        Tout ça pour dire qu’il faut prendre son mal en patience, et ralentir quand la situation l’exige.

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    • Manu

      17 mars 2011 à 09 h 05

      En effet, ça fait partie de « adapter la conduite aux conditions routières ». Ça vaut autant pour les chaussées enneigées ou mouillées que décapées…

      Évidemment, il y a certains cas extrêmes qui doivent être corrigés au plus vite car il ne serait pas sécuritaire de freiner brusquement dans un trafic dense devant un énorme nid-de-poule qu’on vient de voir apparaître sous le véhicule qui nous précède (même avec une distance raisonnable). Cela vaut donc pour les plus importants nids-de-poule sur les rues les plus achalandées. Il y a aussi les ceux sur les autoroutes qui doivent être réparés rapidement car ils peuvent être très dangereux surtout s’ils sont cachés par de l’eau.

      Mais dans tous les autres cas, on prend son temps et on demeure vigilant…

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  12. michel

    15 mars 2011 à 19 h 30

    Rod doit être un entrepreneur en construction avide de contrats juteux..

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    • rod

      15 mars 2011 à 21 h 51

      je ne sui pas contracteur jai travaillé 45 années sur la construction et quan je voi les employer du ministère des transport les cheveux me dresse sur la tête
      sette apres midi sur la 132 quatre employer avec deux camionette avec cinq sacs de bitume toute une équipe au travaille il on pri leur pose caffé apres dex sac

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