Complètement perdue. Il n’y a pas assez de repères ! En fait, il n’y a pas grand chose…facinant ! Est-ce que, à cette époque, les gens avaient encore des «chalets» dans le secteur de Limoilou ?
Des chalets, en effet. En fait, je tiens cette information d’une exposition de photos itinérante qui s’était arrêtée à la bibliothèque St-Albert-le-Grand (bon nom ? – 1ière avenue) fin des années 90. Ceci-dit, c’est la seule fois que j’ai entendu parler de ça. Mais, qui suis-je pour avancer une telle affirmation ? Peut-être quelqu’un en sait plus ? Pour ce qui est des repères, je regardais un peu plus loin que les évidences que vous m’avez listées. Ben, non, désolée, je n’avais pas reconnu l’école primaire St-François et l’hôpital et l’église…
L’aréna du parc Victoria, l’orphelinat St-Charles et l’hôpital de la marine au sud de la Pointe-aux-Lièvres.L’église de la paroisse St-Charles, l’école primaire St-François d’assise en face de l’église et de biais à l’hopital du même nom, le méandres de la rivière Lairet, les terrains du domaine Ringfield etc
IL y a rarement beaucoup d’arbres lors de la construction d’un quartier… ils sont apparent quelques dizaines d’années plus tard.
C’est pour cela que je me dis que les nouveaux quartiers d’aujourd’hui, complètement dénudés, seront un jour verdoyant comme l’est Duberger… Mais bon, je reconnais aussi la présence de la mode « pas de feuilles à ramasser » qui fait que les nouveaux ménages plantent rarement un arbre sur leur devanture!
C’est la rue Dorchester et le tramway passait par là (2 voies) pour aller rejoindre la rue Lamontagne et tourner ensuite sur la première avenue et revenir par le pont Drouin. Le pont Lavigueur s’appelait le pont Bickell à cette époque.
Éffectivement c’est l’église de l’Ancienne-Lorette, la photo est vraiment frappante,on voit comment la région s’est developpé en meme pas 100 ans. Regarder en haut à droite le mont Bélair, il semble tellement loin du centre ville de limouilou, pourtant aujourd’hui Val-Bélair est une balieue très populaire de Québec. Limouilou est très dense , imaginez si toute la région aurait été autant dense.
Au début du siècle dernier, Limoilou était vendu par les promoteurs comme étant le « Central Park » de Québec… s’il y avait si peu de verdure en 1934, je n’imagine même pas en 1910!
En effet, on voit à quel point le développement s’est effectué rapidement!
Oui, d’accord pour la verdure mais en rétrospective, un ville a poussé à cet endroit depuis et à ce que je sache, on en est bien content aujourd’hui…
… ce qui ne veut pas dire que j’approuve TOUS les développements qui ont poussé depuis une vingtaine d’années !! Mais l’essor d’une ville, comme l’essor d’un village, passe malheureusement par la coupe d’un certain nombre d’arbres.
Quand on regarde cette photo, ça paraît évidemment pourquoi est-ce que la ville s’est autant étendue : il y a de l’espace à profusion. C’est le modèle de développement qu’a connu presque toutes les villes nord-américaines après la Deuxième Guerre mondiale. La maison individuelle s’est démocratisée en autre quand le gouvernement américain en a offert aux soldats qui revenait du front.
75 ans après cette photo, on se rend compte qu’on a atteint les limites de ce type de développement. Premièrement parce que les terrains sont de plus en plus rares et de plus en plus éloignés, mais aussi parce qu’on comprend que ceci a des répercussions directes sur notre mode de transport qui coûte cher économiquement et environnementalement.
Je vais retrouver le document, je crois que c’était dans le soleil. On mentionnait que c’était pour « rapprocher » le parc et le stade de la population qu’on avait changer le méandre de la rivière.
Pour l’autoroute, ça ne change rien la forme du méandre, il faut faire un pont de toute façon. C’est juste ça mon point, arrêtons de blâmer les autoroutes…
L’autoroute Laurentienne a bel et bien été construite sur la rivière. Je me souviens de cette rivière qui passait à l’est du stade municipal.
Le remplissage de la rivière s’est fait vers la fin des années 50 peut
être au tout début des années 60 mais j’en ai un souvenir très clair. Il y avait 2 ponts qui traversaient cette rivière et qui ont été démolis soit le pont Gignac (est-ouest) à proximité de la centrale de police où se trouvait un terrain de tennis et le pont Parent (nord-sud) qui unissait la rue Parent au Parc Victoria. Le pont Parent est demeuré en place même s’il n’y avait plus d’eau pendant evniron 15 ans avant d’être démoli au début des années 80. J’ai le souvenir très clair d’y avoir circulé en voiture au début des années 80. Lorsque l’on circulait en direction du Parc Victoria il y avait une voie sinueuse qui nous amenait vers Limoilou en passant devant la centrale de police. Toute la configuration routière de ce secteur a été refait lorsque le pont Parent a été démoli.
Le pont Parent avait d’ailleurs été construit à la même époque que cette photo. 1934 si ma mémoire est bonne. La date de sa construction était gravée dans le ciment au dessous du pont. Le stade lui a été construit en 1938 en même temps que celui de Trois-Rivières. Si la photo nous permettait de voir un peu plus à gauche le pont Gignac aurait peut-être été visible.
À la page 6, on mentionne que le méandre a été changé en 1955 et que Laurentien a été construit en 1967. Donc, il n’a probablement pas de lien entre les 2.
Pour ce qui à trait à l’Autoroute Laurentien, n’aurait-il pas suivi l’ancien tracé de la Saint-Charles car ces terrains n’étaient pas propices à la construction de bâtiments (études de sols) et dans l’intention d’éviter l’expropriation? Je ne dis ça que comme ça, à cette date j’en n’étais même pas à ma conception… ;)
Effectivement l’Autoroute Laurentienne a été construite sur le tracé de la rivière St. Charles ou du moins sur une partie de celle-ci. Je me souviens d’avoir assisté à des matchs des Indiens de Québec au stade municipal et la rivière y était. J’ai grandi dans ce secteur donc j’en garde des souvenirs précis. Ce qui est moins précis ce sont les dates à moins qu’un événement important se soit déroulé lors d’une année en particulier. Lorsqu’on mentionne dans le document que l’Autoroute Laurentienne a été construite en 1967 ça correspond à mes souvenirs. Par contre lorsqu’on mentionne que le pont Parent a été démoli quelques années après le remplissage de la rivière St. Charles je me demande ce que l’on entend par « quelque sannées ».
J’ai acquis ma première voiture en 1979 et je me souviens d’avoir circulé sur le pont Parent à plusieurs reprises donc il était encore là fin des années 70, début des années 80.
Lorsque l’on empruntait le pont Parent en direction du parc Victoria on tournait à droite et cette petite route sinueuse et étroite nous menait là où se trouve aujourd’hui l’intersection Autoroute Laurentienne et rue de la Marée-Chaussée. La partie de la rue en face de la centrale de police y est toujours. Elle portait le nom de rue Gignac et le pont Gignac s’y trouvait. La rivière passait sous le pont Parent et son tracé suivait l’itinéraire que l’on emprunte aujourd’hui lorsque après avoir descendu la rue Simon-Napoléon Parent on s’engage sur la rue qui nous mène en direction de la centrale de police. C’était de l’eau que l’on retrouvait à cet endroit et la rue se trouve en partie sur le site de l’ancienne rivière et en partie sur le site des rails qui ont été enlevées dans les annés 70.
Finalement lorsqu’on traversait le pont Parent et que l’on tournait à gauche c’était un cul de sac et la rue Lee s’arrêtait à la rivière St. Charles. Il y avait une serre au bout de la rue Lee et une maison de 2 ou 3 étages. Lorsque la rivière fut remplie et avant que l’autoroute Laurentienne ne fut construite la rue Lee se rendait jusqu’à la rue de la Pointe-aux-Lièvres qui portait le nom de Dorchester à l’époque. D’ailleurs à son ouverture l’école Cardinal-Roy avait comme adresse 5 ou 7 rue Lee. Lorsque l’autoroute a été inauguré la rue Lee a été détourné pour adopter le tracé qu’elle a encore aujourd’hui sauf que son nom a été changé à l’ouest du Laurentien. Le parc Victoria était un immense parc du point de vue des enfants avec une aréna, plusieurs terrains de balle, le stade municipal et deux piscines une pour les filles et une pour les garçons.
20 avril 2011 à 12 h 43
Tout à fait génial comme photo. Il n’y avait rien à Vanier, que de la campagne !
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20 avril 2011 à 13 h 03
Complètement perdue. Il n’y a pas assez de repères ! En fait, il n’y a pas grand chose…facinant ! Est-ce que, à cette époque, les gens avaient encore des «chalets» dans le secteur de Limoilou ?
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20 avril 2011 à 13 h 14
Pas assez de repère? Je ne veux pas vous insulter, mais c’est seulement que vous ne connaissez pas bien Québec point.
L’usine, la rivière, la 3 ieme avenue, la rue du pont……y a tout plein de repère…
Des chalets??? À Limoilou?
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21 avril 2011 à 15 h 38
Des chalets, en effet. En fait, je tiens cette information d’une exposition de photos itinérante qui s’était arrêtée à la bibliothèque St-Albert-le-Grand (bon nom ? – 1ière avenue) fin des années 90. Ceci-dit, c’est la seule fois que j’ai entendu parler de ça. Mais, qui suis-je pour avancer une telle affirmation ? Peut-être quelqu’un en sait plus ? Pour ce qui est des repères, je regardais un peu plus loin que les évidences que vous m’avez listées. Ben, non, désolée, je n’avais pas reconnu l’école primaire St-François et l’hôpital et l’église…
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20 avril 2011 à 20 h 06
Voici quelques repères additionnelles:
L’aréna du parc Victoria, l’orphelinat St-Charles et l’hôpital de la marine au sud de la Pointe-aux-Lièvres.L’église de la paroisse St-Charles, l’école primaire St-François d’assise en face de l’église et de biais à l’hopital du même nom, le méandres de la rivière Lairet, les terrains du domaine Ringfield etc
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20 avril 2011 à 13 h 10
Il n’y avait pas beaucoup d’arbre à Limoilou également!!
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26 avril 2011 à 13 h 50
IL y a rarement beaucoup d’arbres lors de la construction d’un quartier… ils sont apparent quelques dizaines d’années plus tard.
C’est pour cela que je me dis que les nouveaux quartiers d’aujourd’hui, complètement dénudés, seront un jour verdoyant comme l’est Duberger… Mais bon, je reconnais aussi la présence de la mode « pas de feuilles à ramasser » qui fait que les nouveaux ménages plantent rarement un arbre sur leur devanture!
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20 avril 2011 à 13 h 21
Je me trompe ou est-ce que c’est l’Église de l’Ancienne-Lorette que nous voyons en arrière plan?
Bref, en voyant cette photo, on peut contre-dire ceux qui nous disent d’imaginer tout les arbres qui ont été coupés pour faire place à la ville….
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20 avril 2011 à 13 h 30
En fait les arbres ont généralement été coupé pour faire place à…des champs pour fin d’agriculture.
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20 avril 2011 à 13 h 33
Je crois bien effectivement qu’à l’extrême gauche, tout en haut, se pointent les clochers de l’église de l’Ancienne-Lorette.
Je crois aussi remarquer les bâtiments de l’Exposition provinciale.
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20 avril 2011 à 13 h 35
Et qu’est-ce qu’on voit sur la pointe aux Lièvres ? Une route ? Un aqueduc ?
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20 avril 2011 à 16 h 52
C’est la rue Dorchester et le tramway passait par là (2 voies) pour aller rejoindre la rue Lamontagne et tourner ensuite sur la première avenue et revenir par le pont Drouin. Le pont Lavigueur s’appelait le pont Bickell à cette époque.
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20 avril 2011 à 18 h 41
Merci !
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20 avril 2011 à 14 h 50
Éffectivement c’est l’église de l’Ancienne-Lorette, la photo est vraiment frappante,on voit comment la région s’est developpé en meme pas 100 ans. Regarder en haut à droite le mont Bélair, il semble tellement loin du centre ville de limouilou, pourtant aujourd’hui Val-Bélair est une balieue très populaire de Québec. Limouilou est très dense , imaginez si toute la région aurait été autant dense.
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20 avril 2011 à 19 h 13
On aperçoit déjà de multiples pylônes, et même dans la zone où il n’y a encore rien de développé.
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20 avril 2011 à 20 h 11
Il se dirigeaient vers le poste d’Hydro-Québec encore situé le long de l’autoroute Laurentienne au nord de la rue Soumande
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20 avril 2011 à 19 h 48
Au début du siècle dernier, Limoilou était vendu par les promoteurs comme étant le « Central Park » de Québec… s’il y avait si peu de verdure en 1934, je n’imagine même pas en 1910!
En effet, on voit à quel point le développement s’est effectué rapidement!
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20 avril 2011 à 19 h 56
Oui, d’accord pour la verdure mais en rétrospective, un ville a poussé à cet endroit depuis et à ce que je sache, on en est bien content aujourd’hui…
… ce qui ne veut pas dire que j’approuve TOUS les développements qui ont poussé depuis une vingtaine d’années !! Mais l’essor d’une ville, comme l’essor d’un village, passe malheureusement par la coupe d’un certain nombre d’arbres.
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20 avril 2011 à 21 h 58
On dirait que la rivière St-Charles n’a pas le même tracé qu’aujourd’hui.
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20 avril 2011 à 22 h 53
Le cours de la rivière a été détourné à la fin des années 1950.
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21 avril 2011 à 08 h 09
On a construit une autoroute par dessus…..
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21 avril 2011 à 12 h 19
C’est pour le stade municipal qu’on a changé le lit de la rivière, pas pour la Laurentienne.
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21 avril 2011 à 13 h 12
Juste pour clarifier les faits suite au commentaire de Goldoche!! ;-)
http://www.proticdocs.net/martinbelanger/ressources/histoire/ressources/victoria_images.pdf
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21 avril 2011 à 14 h 33
Le stade a été construit en 1938 et la rivière a été détournée vers 1955. Comprend pas très le commentaire de Goldoche.
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21 avril 2011 à 10 h 29
Quand on regarde cette photo, ça paraît évidemment pourquoi est-ce que la ville s’est autant étendue : il y a de l’espace à profusion. C’est le modèle de développement qu’a connu presque toutes les villes nord-américaines après la Deuxième Guerre mondiale. La maison individuelle s’est démocratisée en autre quand le gouvernement américain en a offert aux soldats qui revenait du front.
75 ans après cette photo, on se rend compte qu’on a atteint les limites de ce type de développement. Premièrement parce que les terrains sont de plus en plus rares et de plus en plus éloignés, mais aussi parce qu’on comprend que ceci a des répercussions directes sur notre mode de transport qui coûte cher économiquement et environnementalement.
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21 avril 2011 à 11 h 17
Sans compter les kilomètres de d’aqueduc que nous devons développer pour soutenir en eau ces lointaines résidences.
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21 avril 2011 à 12 h 22
En fait, économiquement parlant la flexibilité des moyens de transport rapporte aussi.
Et la diminution du nombre moyen de personnes par ménage a peu à voir avec l’automobile.
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21 avril 2011 à 16 h 07
@Louis :
Je vais retrouver le document, je crois que c’était dans le soleil. On mentionnait que c’était pour « rapprocher » le parc et le stade de la population qu’on avait changer le méandre de la rivière.
Pour l’autoroute, ça ne change rien la forme du méandre, il faut faire un pont de toute façon. C’est juste ça mon point, arrêtons de blâmer les autoroutes…
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22 avril 2011 à 14 h 56
L’autoroute suit carrément le parcours de la rivière. C’est pas une question de blâmer quoi que ce soit….
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25 avril 2011 à 16 h 24
Suivre la rivière = longer la rivière
Traverser la rivière != suivre la rivière
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22 avril 2011 à 14 h 57
L’autoroute Laurentienne a bel et bien été construite sur la rivière. Je me souviens de cette rivière qui passait à l’est du stade municipal.
Le remplissage de la rivière s’est fait vers la fin des années 50 peut
être au tout début des années 60 mais j’en ai un souvenir très clair. Il y avait 2 ponts qui traversaient cette rivière et qui ont été démolis soit le pont Gignac (est-ouest) à proximité de la centrale de police où se trouvait un terrain de tennis et le pont Parent (nord-sud) qui unissait la rue Parent au Parc Victoria. Le pont Parent est demeuré en place même s’il n’y avait plus d’eau pendant evniron 15 ans avant d’être démoli au début des années 80. J’ai le souvenir très clair d’y avoir circulé en voiture au début des années 80. Lorsque l’on circulait en direction du Parc Victoria il y avait une voie sinueuse qui nous amenait vers Limoilou en passant devant la centrale de police. Toute la configuration routière de ce secteur a été refait lorsque le pont Parent a été démoli.
Le pont Parent avait d’ailleurs été construit à la même époque que cette photo. 1934 si ma mémoire est bonne. La date de sa construction était gravée dans le ciment au dessous du pont. Le stade lui a été construit en 1938 en même temps que celui de Trois-Rivières. Si la photo nous permettait de voir un peu plus à gauche le pont Gignac aurait peut-être été visible.
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25 avril 2011 à 08 h 01
Juste une petite remarque: Hydro-Québec n’existait pas en 1934.
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28 avril 2011 à 18 h 31
Hydro-Québec est né de l’achat de plusieurs compagnies d’électricité privées – et existantes – sur le territoire quebecois.
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26 avril 2011 à 07 h 54
Dans ce document
http://www.protic.net/profs/martin/ressources/ppo_mti_tic/mti/parc_victoria.pdf
À la page 6, on mentionne que le méandre a été changé en 1955 et que Laurentien a été construit en 1967. Donc, il n’a probablement pas de lien entre les 2.
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26 avril 2011 à 13 h 54
Qu’Est-ce qu’il y avait dans le méandre de la pointe-aux-lievres? Un bâtiment de ferme? On dirait un gros tuyaux… c’est quoi, quelqu’un sait?
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29 avril 2011 à 20 h 30
Pour ce qui à trait à l’Autoroute Laurentien, n’aurait-il pas suivi l’ancien tracé de la Saint-Charles car ces terrains n’étaient pas propices à la construction de bâtiments (études de sols) et dans l’intention d’éviter l’expropriation? Je ne dis ça que comme ça, à cette date j’en n’étais même pas à ma conception… ;)
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2 mai 2011 à 15 h 18
Effectivement l’Autoroute Laurentienne a été construite sur le tracé de la rivière St. Charles ou du moins sur une partie de celle-ci. Je me souviens d’avoir assisté à des matchs des Indiens de Québec au stade municipal et la rivière y était. J’ai grandi dans ce secteur donc j’en garde des souvenirs précis. Ce qui est moins précis ce sont les dates à moins qu’un événement important se soit déroulé lors d’une année en particulier. Lorsqu’on mentionne dans le document que l’Autoroute Laurentienne a été construite en 1967 ça correspond à mes souvenirs. Par contre lorsqu’on mentionne que le pont Parent a été démoli quelques années après le remplissage de la rivière St. Charles je me demande ce que l’on entend par « quelque sannées ».
J’ai acquis ma première voiture en 1979 et je me souviens d’avoir circulé sur le pont Parent à plusieurs reprises donc il était encore là fin des années 70, début des années 80.
Lorsque l’on empruntait le pont Parent en direction du parc Victoria on tournait à droite et cette petite route sinueuse et étroite nous menait là où se trouve aujourd’hui l’intersection Autoroute Laurentienne et rue de la Marée-Chaussée. La partie de la rue en face de la centrale de police y est toujours. Elle portait le nom de rue Gignac et le pont Gignac s’y trouvait. La rivière passait sous le pont Parent et son tracé suivait l’itinéraire que l’on emprunte aujourd’hui lorsque après avoir descendu la rue Simon-Napoléon Parent on s’engage sur la rue qui nous mène en direction de la centrale de police. C’était de l’eau que l’on retrouvait à cet endroit et la rue se trouve en partie sur le site de l’ancienne rivière et en partie sur le site des rails qui ont été enlevées dans les annés 70.
Finalement lorsqu’on traversait le pont Parent et que l’on tournait à gauche c’était un cul de sac et la rue Lee s’arrêtait à la rivière St. Charles. Il y avait une serre au bout de la rue Lee et une maison de 2 ou 3 étages. Lorsque la rivière fut remplie et avant que l’autoroute Laurentienne ne fut construite la rue Lee se rendait jusqu’à la rue de la Pointe-aux-Lièvres qui portait le nom de Dorchester à l’époque. D’ailleurs à son ouverture l’école Cardinal-Roy avait comme adresse 5 ou 7 rue Lee. Lorsque l’autoroute a été inauguré la rue Lee a été détourné pour adopter le tracé qu’elle a encore aujourd’hui sauf que son nom a été changé à l’ouest du Laurentien. Le parc Victoria était un immense parc du point de vue des enfants avec une aréna, plusieurs terrains de balle, le stade municipal et deux piscines une pour les filles et une pour les garçons.
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29 mai 2011 à 14 h 39
[…] Voyage dans le temps: Limoilou et l’usine de pâte et papier, 1934 | Québec Urbain […]
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