Montréal fera l’essai des « sas vélo »

Les cyclistes de Paris et de New York les adorent, ceux de Montréal vont pouvoir les apprécier dès cet été. Les «sas vélo», qui obligent les automobilistes à dégager quelques mètres aux intersections pour les cyclistes, feront leur apparition à trois endroits de la métropole. Il s’agit de l’innovation la plus marquante de la prochaine saison cycliste, a appris La Presse.

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18 commentaires

Antoine Utilisateur de Québec Urbain

10 mai 2011 à 12 h 51

Impressionnant ce que l’on peut faire avec un pinceau et un peu de peinture ;)

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Arthur

10 mai 2011 à 13 h 26

Avant de voir ça à Québec…

J’entends déjà les fanatiques de chars crier au scandale. Pourtant, des villes mille fois plus populeuses et denses le font. Mais comme d’habitude, les gens de Québec trouveront bien une façon de dire que ça ne peut pas fonctionner ici.

Nous sommes tellement mieux que les autres, à Québec……

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Francis L Utilisateur de Québec Urbain
10 mai 2011 à 15 h 36

Si on peut pas, c’est surement à cause de l’hiver ;) (Sarcasme)

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- Pier Luc
  10 mai 2011 à 16 h 57
  
  Bien oui, ça vas coûter bien plus chère en peinture que dans les ville du sud! ;)
  
  Mais je trouve que c’est une bonne dépense.
  
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- Patrick
  10 mai 2011 à 22 h 01
  
  …ou bien à cause des côtes.
  
  …ou bien parce que ça va enlever des stationnements aux gens qui viennent magasiner sur la rue Cartier.
  
  Poursuivons donc la stratégie actuelle : ajouter une dizaine de km de plus au réseau vélo inutile avec des pancartes de chaussée désignée dans une rue tranquille dans la quatrième couronne de banlieue.
  
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- Francis L Utilisateur de Québec Urbain
  10 mai 2011 à 22 h 54
  
  @Patrick
  Et surtout, lorsque la signalisation et le marquage auront disparu, il ne faudra mettre aucun effort pour corriger le problème ;) Comme quoi on tente parfois seulement d’avoir bonne conscience.
  
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Patrick
10 mai 2011 à 18 h 00

Le jours ou les Vélo d’ici respecterons le code de la route comme ailleurs on pourra demander au automobiliste de leur accorder le même traitement qu’ailleurs! Ca donne quoi de faire une zone réservée pour que les vélo à une lumière rouge si les vélo passe sur les rouges de toute façon.

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- julien
  10 mai 2011 à 19 h 17
  
  je suis cycliste à mes heures, et je respecte toujours les lumières rouges… Il ne faudrait pas généraliser…
  
  C’est une mesure qui effectivement ne coûte pas grand chose et qui ne nuit pas vraiment aux automobilistes… J’ai hâte de voir ce que ça va donner à Montréal…
  
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- Patrick
  10 mai 2011 à 22 h 04
  
  Je faisais du vélo il y a 15 ans à Montréal et j’en fais aujourd’hui. L’attitude des cyclistes n’est plus la même. Quand on crée des aménagements qui respectent les cyclistes, c’est étonnant à quel point les cyclistes commencent à respecter le code de la route.
  
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Louis Lamontagne

10 mai 2011 à 17 h 10

Bonne idée en autant qu’ils ne fassent pas comme pour les virages à droite, c-a-d de telle heure à telle heure, pas le samedi pis pas en septembre et mai et juste quand il fait soleil :)

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Pier Luc
10 mai 2011 à 21 h 17

Et pas non plus entre 9h et 17h

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PY
11 mai 2011 à 08 h 16

virages à droite ? à Montréal ? ;-)

Mais en effet, à Québec, ça serait un problème !

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Louis M.

10 mai 2011 à 18 h 48

Excellent! Il était temps! Malheureusement, pendant que Québec fait un pas de l’avant, d’autres villes en font 2.

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Norbert Utilisateur de Québec Urbain

10 mai 2011 à 21 h 37

Pendant ce temps à Québec: zzzzzzzzzzzzzzzzzzz

Les cyclistes, c’est mieux quand on ne les voit pas. Sur Père-Marquette, ils ne dérangent personne. Un tracé tortueux? zzzzzzzzzzzzzzzzz

Une piste cyclable qui passe sur le parvis d’une école secondaire (St-Charles-Garnier), une bonne idée? zzzzzzzzzzzz

Montréal ose, Québec joue les pleutres.

La logique? Voies cyclables sur Chemin Ste-Foy, René-Lévesque et Grande-Allée. Proximité, efficacité, sécurité; c’est comme ça qu’on bâtit une ville attrayante pour les cyclistes. Pas en les relèguant à des citoyens de second ordre.

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Patrick
10 mai 2011 à 22 h 05

Tout à fait d’accord Norbert!

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Manu

10 mai 2011 à 22 h 09

Je ne sais pas c’est comment à Montréal durant l’heure de pointe, mais à Québec, on voit souvent la situation suivante, pour le moins sacrante, lors de trafic congestionné:

Des véhicules s’avancent dans une intersection (parce que la lumière est verte tsé), même s’il y a une file de véhicules arrêtés de l’autre côté, ce qui les empêche de traverser l’intersection. Résultat: des véhicules dans l’intersection qui barrent la route à ceux dans l’autre direction qui ont leur feu vert. Par exemple, les intersections René-Levesque/Honoré-Mercier, Versant-Nord/Robert-Bourassa/Charest, et de l’Ormière/Auvergne sont particulièrement évocatrices. Cela semble même généralisé aux autos, camions, autobus… et même la police!

Ou est-ce que je veux en venir? Si on arrive pas à faire arrêter les gens juste avant l’intersection, croyez-vous qu’on va réussir à les faire arrêter quelques mètres avant?

Notez qu’il n’y a pas non plus de quoi faire l’éloge de la conduite des cyclistes, mais là n’était pas l’objet de mon propos.

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Francis L Utilisateur de Québec Urbain
10 mai 2011 à 22 h 58

Ce que je trouve le plus désolant, c’est que l’automobiliste qui a compris ce principe et qui n’attend pas en plein milieu de l’intersection se fait souvent klaxonner par l’autre derrière qui ne comprend rien.

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