Sur un détail : je me suis parfois demandé comment on en était arrivé à la curieuse configuration de rues près du boulevard Hochelaga entre de l’Église et Wolfe. Je constante maintenant que c’est parce qu’on a rasé un pâté de maison et qu’on a rabouté les rues de part et d’autres. Il y avait aussi en 1970 un peu plus (à peine plus) de vestiges du chemin Gomin qu’aujourd’hui.
On dirait aussi que c’est à ce moment précis que fut arrêté la construction de rues d’unifamiliales au nord des centres d’achats. De nos jours, la rue de Grenoble se termine maladroitement en cul-de-sac, et sur la photo on voit bien que les abres ont été rasés pour poursuivre celle-ci. Ils ont depuis repoussés… Je serais curieux de savoir quelles étaient les raisons ou les intentions derrière cet arrêt de développement à ce moment. À moins qu’elles fussent de type « moratoire à long terme », je doute qu’on les ait suivi car depuis, rien a été construit là à part quelques blocs sur la rue de Picardie.
Ce qui frappe dans cette photo, c’est l’espace hallucinant laissé à l’automobile, preuve de l’individualisme radical propre à l’Amérique du Nord.
La situation a évolué depuis 40 ans. On retrouve davantage de constructions, les stationnements ont été multipliés mais couverts partiellement. Toutefois, le boulevard Laurier conserve toujours ses trottoirs d’un mètre de large.
Le boulevard Laurier ressemble plus à une autoroute qu’à un boulevard, époque oblige. Aujourd’hui, ça na pas changé, on est loins des Champs Élysés ou autre grand boulevard.
Quelques édifices dans une mer de stationnements, Ste-Foy n’a pas beaucoup changé depuis 40 ans niveau urbaniste. Au moins aujourd’hui on avoue cet échec, et tôt ou tard il sera corrigé.
Vous trouvez? Pas moi. Le secteur ces certainements améliorer dans le sens qu’il y a moins de stationnements à ciel ouvert qu’avant. Mais le boulevard aussi inhospitalier qu’il y a 40 ans.
11 mai 2011 à 10 h 46
Sur un détail : je me suis parfois demandé comment on en était arrivé à la curieuse configuration de rues près du boulevard Hochelaga entre de l’Église et Wolfe. Je constante maintenant que c’est parce qu’on a rasé un pâté de maison et qu’on a rabouté les rues de part et d’autres. Il y avait aussi en 1970 un peu plus (à peine plus) de vestiges du chemin Gomin qu’aujourd’hui.
On dirait aussi que c’est à ce moment précis que fut arrêté la construction de rues d’unifamiliales au nord des centres d’achats. De nos jours, la rue de Grenoble se termine maladroitement en cul-de-sac, et sur la photo on voit bien que les abres ont été rasés pour poursuivre celle-ci. Ils ont depuis repoussés… Je serais curieux de savoir quelles étaient les raisons ou les intentions derrière cet arrêt de développement à ce moment. À moins qu’elles fussent de type « moratoire à long terme », je doute qu’on les ait suivi car depuis, rien a été construit là à part quelques blocs sur la rue de Picardie.
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11 mai 2011 à 11 h 27
Ce qu’on remarque c’est que, depuis le début, ce secteur n’a fait l’objet d’aucune planification sérieuse. Du gros n’importe quoi. Et ça continue…
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11 mai 2011 à 11 h 44
Ce qui frappe dans cette photo, c’est l’espace hallucinant laissé à l’automobile, preuve de l’individualisme radical propre à l’Amérique du Nord.
La situation a évolué depuis 40 ans. On retrouve davantage de constructions, les stationnements ont été multipliés mais couverts partiellement. Toutefois, le boulevard Laurier conserve toujours ses trottoirs d’un mètre de large.
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11 mai 2011 à 15 h 59
Le boulevard Laurier ressemble plus à une autoroute qu’à un boulevard, époque oblige. Aujourd’hui, ça na pas changé, on est loins des Champs Élysés ou autre grand boulevard.
Quelques édifices dans une mer de stationnements, Ste-Foy n’a pas beaucoup changé depuis 40 ans niveau urbaniste. Au moins aujourd’hui on avoue cet échec, et tôt ou tard il sera corrigé.
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11 mai 2011 à 17 h 43
Corrigé?
Je trouve qu’avec ce qui se construit, je vois pas vraiment de corrections…
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11 mai 2011 à 22 h 21
Vous trouvez? Pas moi. Le secteur ces certainements améliorer dans le sens qu’il y a moins de stationnements à ciel ouvert qu’avant. Mais le boulevard aussi inhospitalier qu’il y a 40 ans.
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