Le Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues (GIRBa) de l’Université Laval lance aujourd’hui une enquête Internet aux résidents de la Communauté métropolitaine de Québec (CMQ).
La grande région de Québec est en effervescence. Plusieurs grands projets d’équipements publics, de transport et de règlementations sont mis de l’avant par les municipalités : l’amphithéâtre, le tramway ou les écoquartiers à Québec ou encore le secteur de la tête des ponts à Lévis, pour n’en nommer que quelques-uns.
Peu de données sont toutefois disponibles pour comprendre les besoins, la diversité des familles, la complexité du quotidien et les aspirations des 715 000 habitants de la CMQ . Cette enquête vise à mieux cerner les différents profils de citoyens résidant sur ce vaste territoire dans le but d’informer son aménagement durable.
Cette enquête, à laquelle s’associent la CMQ et le Réseau de Transport de la Capitale, constitue la première étape d’une démarche de recherche visant à mobiliser les résidents de la CMQ autour des questions urbaines et régionales par le biais d’Internet et des médias sociaux. Elle s’inscrit dans le cadre du projet de recherche Québec 2020 : Vers un projet collectif d’aménagement durable qui se poursuivra jusqu’en 2014.
Participez à l’enquête et courez la chance de gagner un des trois iPad2, cinq iPod touch et dix iPod nano!
Pour participer à cette enquête ou pour en savoir plus : Demain Québec
* Québec Urbain a été choisi avec deux autres médias de Québec (Le Soleil, Radio-Canada) pour lancer cette enquête.
* Suivi: Au lendemain du lancement, déjà 400 réponses. Merci de continuer ! :)
12 mai 2011 à 08 h 31
Ça ne fonctionne pas leur inscription.
Décevant comme lancement.
J’espère qu’on va avoir l’occasion de dire qu’on veut encore plus d’autoroutes et plus de banlieues éloignées dans cet enquête.
Au final, tout le monde sait que les gens de la région ne sont pas prêt aux changements (mêmes s’ils ont voter NPD) et que de perdre les bases mêmes de ce que l’Amérique des années 60 a pu nous offrir en matière de développement ne fait pas partie de leur priorité.
Ahhhh, the american way of life…..c’est bandant!
Je trouve ça encore plus drôle quand les gens pleurent sur le prix de l’essence. Mon souhait, 2,50$ le litre!!!!
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12 mai 2011 à 08 h 34
Finalement c’est que leur mot de passe et nom d’utilisateur n’accepte pas les chiffres!!!!! Et bien, après ça je dois faire confiance à l’enquête?
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12 mai 2011 à 09 h 13
Bonjour!
Merci de nous avoir signalé ce problème. Nous l’avons corrigé. Le mot de passe doit contenir au moins 8 caractères. Les chiffres et les lettres sont acceptés.
Cordialement,
Le Groupe interdisciplinaire de recherche sur les banlieues
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12 mai 2011 à 10 h 32
Merci pour votre dilligence. Maintenant je vois que nous faisons affaire avec des professionnels. Ça fait plaisir.
Merci encore.
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12 mai 2011 à 09 h 18
Je suis d’accord avec vous. Inutile de lancer une enquête. Je peux déjà vous révéler ce qu’ils vont répondre les gens de la région de Québec… Ils voudront de nouvelles routes et de nouvelles autoroutes pour améliorer la fluidité des automobilistes. Ils voudront plus d’espaces et plus de parcs (lire ici un bungalow avec une forêt comme voisin arrière).
Oubliez la densification, l’amélioration de l’offre des transports en commun ou une meilleure gestion de l’espace urbaine. Ces éléments n’apparaîtront pas dans l’enquête.
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12 mai 2011 à 22 h 41
Peut-être, peut-être pas… c’est justement ce qu’on verra.
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12 mai 2011 à 09 h 21
Pour une fois que l’on va avoir une opinion biaisée autre que la radio poubelle…..
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12 mai 2011 à 09 h 52
Mais Arthur, ces éléments apparaîtront dans l’enquête si vous y participez vous-même!
Peut-être allez-vous découvrir qu’il y a plus de gens qui pensent comme vous. La dualité ville-banlieue est un des thèmes qui suscitent les débats les plus animés sur Québec Urbain. On a maintenant la chance de faire valoir nos besoins et priorités peu importe qu’on habite en ville, en banlieue et même dans le périurbain. N’oubliez pas que ce qui est véhiculé dans les médias est parfois le fait d’un petit nombre de personnes/d’opposants/etc. Laissons tomber la mauvaise foi, c’est l’opportunité rêvée pour dépasser les idées préconçues. À suivre…
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12 mai 2011 à 10 h 35
Tout à fait d’accord avec vous. Laissez la chance au courreur. Évidemment, rien n’empêche de faire nos prédictions.
J’ai rempli le sondage et ça semble assez exhaustif comme type de questionnaire.
Et puis moi-même j’habite en banlieue et je n’ai rien de vraiment positif à y dire.
Bravo à leur équipe.
Note. Merci à l’équipe de QuebecUrbain pour la nouvelle fonction d’édition suite à un message. WOW
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12 mai 2011 à 10 h 18
La présentation du problème par la directrice de cette enquête, madame Després, me semble assez juste. L’étalement urbain est, pour être modeste, incroyablement démesuré dans la région.
C’est le résultat de son raisonnement que je comprends mal. Plutôt que d’offrir un réseau de transport en commun confortable et efficace, elle propose en bout de ligne le statut quo : des trolleybus. Oui car entre un métrobus et un trolleybus, je ne vois aucune différence, à part la motorisation électrique de l’un par rapport à l’autre. Je ne vois pas en quoi un trolleybus inciterait davantage les banlieusards à utiliser les transports en commun par rapport aux métrobus. Surtout, ce n’est pas flexible un trolleybus, mais pas du tout. Pas plus qu’un tramway. Si le fil pète, il pète pour un trolleybus aussi!
Aussi, en quoi un trolleybus serait plus rapide qu’un tramway? Un trolleybus pris dans le traffic n’avance pas plus vite que la voiture en avant de lui. Un tramway en site propre avance plus vite, point. Je me demande de quelles villes elle parle pour prétendre que les tramways sont peu rapides?
Depuis le départ, nous savons que les tramways n’iront jamais en banlieue. L’enquête de madame Després ne servira qu’à confirmer le désir des ruraux (comment les appeler autrement?) d’avoir le plus d’espaces possible tout en s’assurant de gagner le centre-ville de Québec le plus vite possible.
Peu importe le moyen, les gens de la couronne ne veulent rien savoir des transports en commun. RIEN. Dans ce contexte, pourquoi priver la population de la ville-centre d’un tramway, qui favoriserait probablement une densification plus soutenue? Pour les couronnes, il ne resterait plus qu’à agir de deux façons :
1. Prier pour que les politiciens prennent vraiment les moyens de cesser très vite l’étalement urbain. Pas de demi-mesures. Des mesures draconiennes;
2. Lancer des lignes d’autobus fréquentes, reliant les banlieues au centre-ville, en empruntant des voies réservées, et ce, 7 jours sur 7!
Les statisticiens indiquent que la population de la région cessera d’augmenter d’ici 2031. Bref, c’est quasiment demain, surtout que la population de la région n’augmente pas très rapidement (sous la moyenne provinciale même). Il est peut-être déjà trop tard pour renverser la vapeur de l’étalement urbain mais je ne vois pas en quoi les solutions proposées par madame Després changeront quoi que ce soit.
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12 mai 2011 à 10 h 27
L’article du journal Le Soleil
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12 mai 2011 à 12 h 06
Je ne comprend pas vraiment la position de Madame Després non plus. Si je comprend bien, il n’y a rien à faire à Québec, alors laissons les choses comme elles sont et limitons nous aux trolleybus? De base, le trolleybus est une technologie en fin de vie, alors je trouve le proposition un peu spéciale.
Par contre, je l’appui entièrement quand elle questionne le tracé sur Charest. La tracé proposé ne rend service à presque personne. Il faut construire un tramway pour que les gens l’utilisent, pas pour le faire rouler à vide. Il faut penser aux besoins en transport en commun, et ces besoins sont principalement concentrés entre la colline parlementaire et Laurier.
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12 mai 2011 à 16 h 33
Même si on peut être en désaccord avec elle, il me semble que la position de Madame Desprès n’est pas difficile à comprendre.
Elle croit qu’étant donné le manque d’information sur les raisons profondes expliquant la sous-utilisation des transports en commun à Québec, la conclusion selon laquelle le tramway est la meilleure solution est prématurée.
Avant de dépenser des milliards de dollars dans ce système, il faudrait avant tout s’assurer qu’il répondra réellement aux besoins de la population. Et c’est là que s’inscrit l’enquête qu’elle dirigera sur les habitudes de vie et préférences des résidents de la grande région de Québec. Avec cette information additionnelle, on sera en meilleure position pour prendre des décisions éclairées concernant le transport en commun à Québec.
Personnellement, je partage sa préoccupation par rapport à la vitesse du Tramway. Si ce n’est pas plus rapide que l’autobus, je ne vois pas très bien ce que ça apporterait de plus par rapport aux métrobus actuels. Le confort ? Hmm, je ne suis pas sûr que c’est un argument suffisant. La capacité ? Depuis que les métrobus articulés sont en fonction, je n’ai jamais vu un chauffeur refuser des passagers. Apparamment en tout cas, il n’y a pas de problème de capacité.
Si j’avais à investir dans le transport en commun à Québec, je m’arrangerais pour réduire significativement le prix des billets et des laissez-passer mensuels. À 75$ par mois, ce n’est pas assez avantageux par rapport à l’automobile. De plus, j’installerais internet sans fil à bord des autobus. Avec la prolifération des utilisateurs de téléphones intelligents/tablettes/portables, ça améliorerait la qualité de vie des usagés à un coût raisonnable. Enfin, j’augmenterais le ratio de places assises par rapport au places debout dans les autobus. Ça augmenterait leur confort sans que ça coute très cher.
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12 mai 2011 à 17 h 14
» Si je comprend bien, il n’y a rien à faire à Québec, alors laissons les choses comme elles sont […] ? »
——————
Non au contraire… il faut densifier… je le répète depuis des années que le problème pour le transport en commun passe par une densification du territoire. Regardez les billets récent, du chialage quand on construit 2 étages, du braillage quand on abat un arbre, un drame si une garderie s’implante dans un secteur…
Le tramway deviendra une évidence quand on aura la densité minimum pour justifier son implantation.
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12 mai 2011 à 11 h 17
Dans l’enquête ils demandent si on veux plus de station chauffées. Mais moi je voudrais des abribus plus grands avec des portes mais pas forcément chauffés. Il n’y a pas moyen de dire ça. J’aimerais aussi qu’ils arrêtent d’augmenter les heures de services (allonger les trajets existants) et qu’ils créent de nouveaux trajets à la place. Mais ça non plus je ne peux pas le dire. Je ne peux pas non plus dire que j’aimerais des horaires à tout les arrêts si j’ai sélectionné trois autres affaires avant. Parce qu’on est limité à trois. Quelle CONNERIE ce sondage!
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12 mai 2011 à 12 h 28
Pier Luc,
Pour ton information, tu avais le loisir d’indiquer « AUTRE » avec le commentaire que tu souhaitais y insérer et ça, un peu partout.
C’est toi la connerie!!!
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12 mai 2011 à 16 h 14
Pier Luc,
Désolé,je ne partage pas ton opinion sur le sondage. Je l’ai trouvé complet (couvre très bien le sujet) et tu aurais pu utiliser AUTRE et faire ton commentaire.
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12 mai 2011 à 17 h 52
Bravo Mme Després vous avez une vision juste de la mobilité durable. Les deux tiers des 700,000 habitants de la région de Québec ne demeurent pas dans les trois arrondissements où s’est promené le Comité de Mobilité durable. Pourtant Beauport, Charlesbourg et la Haute St-Charles et la MRC de la Jacques-Cartier, la Côte-de-Beaupré et la rive sud font partie du problème de fluidité du trafic et eux n’ont pas de tramway. Le tramway s’arrête aux limites de Beauport et de Charlesbourg deux arrondissements plus populeux chacun de celui de La Cité-Limoilou et où il se bâti plus de nouveaux logements actuellement qu’à Limoilou-La Cité.
Quat à l’intermodalité et l,interconnextion des services de TEC existant, le comité s’est contenté de les nommer sans les inclure dans la solution car cette solution n’est qu’un plan stratégique de développement du RTC seulement qui fera place à celui de 2005-2014.
Le RTC doit refaire ses devoirs, Sa solution ne régle rien, au contraire elle va empirer la situation actuelle…
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12 mai 2011 à 19 h 36
Selon M. Delsey, membre de la direction scientifique à l’institut français des sciences et technologies des transports, de l’environnement, de l’aménagement et des réseaux (IFSTTAR) : «depuis dix ans les émissions de polluants ont été réduites de 10 à 30 fois grâce aux progrès sur la combustion, le catalyseur, les additifs d’échappement et les filtres» et la priorité est aujourd’hui donnée «à l’allègement des véhicules».
«Les voitures hybrides offrent le meilleur compromis», tandis que le moteur électrique restera pénalisé par ses performances en termes d’autonomie qui «mathématiquement ne pourront pas être augmentées», assure M. Delsey.
http://monvolant.cyberpresse.ca/nouvelles/201105/12/01-4398694-tout-ca-pour-ca-le-moteur-du-futur-sera-le-meme-quaujourdhui.php?utm_source=bulletinLPA&utm_medium=email&utm_campaign=retention
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12 mai 2011 à 23 h 16
«Ainsi à court terme la priorité est donnée à la diversification des moyens de transports pour circuler d’un point à un autre (voiture, rail, vélo, etc.) pour le particulier comme pour le fret.»
«La proportion de cancers attribués à certaines particules [due au trafic routier] atteint par exemple 60% dans la région métropolitaine de Paris pour les zones situées à proximité du trafic. Par ailleurs, la pollution de l’air en France conduit à 42 000 morts prématurées […]»
Ce qu’il faut comprendre de cet article c’est que la solution n’est pas d’attendre pour des technologies pour l’automobile, mais plutôt de passer au mode de transports alternatifs, et vite!
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13 mai 2011 à 08 h 40
Partout où on parle de transports en commun, Fernand réussit à ramener ça à la promotion de l’automobile. Je ne suis plus capable de supporter des individus comme lui.
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13 mai 2011 à 22 h 12
En fait, ces temps-ci c’est plus souvent le monorail…
Quant à l’automobile, il est inutile d’en faire la promotion, elle est là pour rester. Elle changera certes, deviendra sûrement de plus en plus « propre » jusqu’à n’avoir comme défaut que son volume relatif. Mais cela prendra peut-être encore quelques générations…
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13 mai 2011 à 06 h 48
Commentaire pour GIRBa,
Nous sommes 7 à la maison, mais votre formulaire me permet d’en identifier seulement 6…
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13 mai 2011 à 09 h 34
Bonjour,
Pour des raisons techniques, nous avons décidé de limiter les membres d’un domicile à 6 personnes. Nous vous suggérons de privilégier les membres les plus âgés de votre domicile et vous encourageons à nous signaler, dans les commentaires à la fin de l’enquête, que vous êtes 7 membres au total.
Cordialement,
Le Groupe Interdisciplinaire de Recherche sur les Banlieues
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13 mai 2011 à 07 h 25
Bonjour,
Quelques liens vers les médias sociaux les plus courants (facebook, twitter, buzz, etc) auraient facilité la propagation de cette enquête. Est-ce qu’il est trop tard pour les rajouter à la page d’accueil?
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13 mai 2011 à 09 h 30
Bonjour,
Vous pouvez rejoindre notre page Facebook au lien suivant:
http://www.facebook.com/pages/Demain-Qu%C3%A9bec-je-clique-et-je-mimplique/117664334982936
Cordialement,
Le Groupe Interdisciplinaire de Recherche sur les Banlieues
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16 mai 2011 à 16 h 36
16 mai 2011: 444 répondants qui ont complété les 3 modules et 286 qui sont en cours.
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21 mai 2011 à 17 h 21
[…] Vaste enquête Internet aux résidents de la grande région de Québec | Québec Urbain […]
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