Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Charlesbourg : des citoyens s’opposent à la construction d’un immeuble à logements

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 mai 2011 22 commentaires

Radio-Canada (Québec)

(…) Ils profitent de la longue fin de semaine pour faire circuler une pétition pour signifier leur opposition au projet. La Ville veut accueillir un immeuble d’au plus six étages pouvant abriter 195 logements sur le terrain de l’église Sainte-Maria-Goretti.

La suite

Ordre du jour, conseil d’arrondissement, lot 1 127 431 et le rôle d’évaluation pour ce lot

L’histoire de cette église

Voir aussi : Arrondissement Charlesbourg, Logement locatif ou social.


22 commentaires

  1. Georges-Antoine

    23 mai 2011 à 09 h 56

    Les citoyens qui prennent parole dans cet article sont assez démagogues ;P

    200 logements ne vont pas engendrer les problèmes énumérés dans l’article.

    Un autre cas de NIMBYisme, à mon avis… Les gens achètent des maisons dans des quartiers à moitié construits et ils s’étonnent de voir de la construction après s’être établis!

    Il va falloir changer le zonage à plusieurs endroit pour densifier la ville. Je comprends que ce n’est pas souhaitable à tous les endroits, dans tous les cas et pour tous les projets, mais on ne peut pas céder au caprices futiles de groupes réduits qui n’ont pas d’argument valable.

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    • Jean-François Caron

      23 mai 2011 à 11 h 30

      Pour y avoir grandi, il ne s’agit pas d’un quartier à moitié construit. Il est complet et bien tranquille. C’est un quartier de bungalows, où on retrouve l’église, l’école et un petit centre d’hébergement pour personne âgées. Il date du début des années 1960. Il arrive que l’église a été fermée et doit être démolie, si ce n’est pas déjà fait. Les promoteurs voient ce nouveau terrain comme une mine d’or.

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      • Georges-Antoine

        23 mai 2011 à 17 h 03

        Je considère personnellement qu’un lotissement de « bungalows » est « à moitié construit ». Un quartier complètement construit a de la mixité de logement avec diverses densités ainsi que des commerces de proximité rendus possibles par une densité suffisante. Je suis certain que personne dans le quartier ne se plaindra des nouveaux commerces de proximité que ces 200+ nouveaux habitants vont peut-être attirer.

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  2. Georges Pettigrew

    23 mai 2011 à 11 h 32

    Encore de la déficience mentale sans bornes.
    NIMBY total.
    No further comment.

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  3. Matrix

    23 mai 2011 à 12 h 24

    6 étages, c’est vrai que c’est inhumaine, c’est le mur de Berlin en reprise !!
    Pourquoi faire ça dans un secteur résidentiel quand on pourrait aller démolir un boisée encore plus loin en périphérie ??

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  4. Jean François Côté

    23 mai 2011 à 12 h 42

     » Quelque chose à taille humaine,pas inhumaine »…

     »Un mur de Berlin » !

    Pas de commentaire tout a été dit…

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    • Pier Luc

      24 mai 2011 à 12 h 13

      Le mur de berlin n’avait pas de fenêtres et on ne pouvait pas y vivre. On ne pouvait pas non plus le contourner. Dans le fond, tout ce que ça a de mur de berlin est le fait que ça aura des murs. Mais les bungalow en ont aussi… N’importe quoi!

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      • julien

        25 mai 2011 à 09 h 50

        En voici un vrai mur… et où on peut y vivre… à Fermont sur la Côte Nord

        http://dtoursidsir.blogspot.com/2010/09/fermont-le-mur.html

        « Le mur renferme le Centre de la Petite Enfance le Mur-Mûr, l’école secondaire Horizon-Blanc, une bibliothèque publique, l’Hôtel Fermont, des installations sportives (piscine intérieure, salle de quille, patinoire, etc), un centre de santé et de services sociaux, un épicerie, des musés (musé des mines, de la phtoto), des installations pour le journal local, la télé communautaire, un salon de coiffure, de massage, restaurants, nettoyeurs, salle de lavage, sans oublier un bar pour le désennui. Tout est là. J’ai vu que le bar était équipé de lumières bleutées, mais je n’ai pas osé aller voir si tout était conforme et justifiable à l’intérieur. J’imagine que oui. »

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  5. Louis Lamontagne

    23 mai 2011 à 12 h 53

    6 étages si le projet n’est pas à raz le trottoir ça peut être vivable. Le terrain semble grand donc si le promoteur se force un peu dans son aménagement et dans le style de son machin il est probablement possible de faire quelque chose d’agréable et qui n’aura pas l’air d’un mur. Mais pour ça il fait faire un effort créatif et ça…

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  6. Manu

    23 mai 2011 à 15 h 10

    Dans l’article, celle qui parle de « 8 logements » semble se tromper d’endroit. Il y a bien une demande de modification de zonage à cet effet, mais pour un autre terrain complètement ailleurs.

    Vite de même, j’imagine que 3 ou 4 étages serait plus approprié pour le secteur ce qui serait déjà beaucoup plus dense que tout ce qu’il y a autour. Avec 6 étages, il va falloir y aller avec des étages plus petits (plus en retrait de la rue) à partir du 4e je dirais, question que ça ne jure pas dans le paysage. Ça ressemblerait un peu au cas de la rue de Vérone, le long de Robert-Bourassa au nord de Chauveau, à la différence toutefois qu’il y a des bungalows sur deux côtés, et non sur un seul comme sur Vérone.

    Toutefois, je me demande si le promoteur veut vraiment y aller avec 6 étages. En fait, il en veut sûrement le plus possible, mais même s’il ne cherchait qu’à avoir 4 étages par exemple, il est peut-être aussi bien d’en demander 6 d’abord puis de se montrer « gentil » et abaisser ça à 4 finalement.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      23 mai 2011 à 15 h 19

      J’ai eu beau chercher sur le site de la Ville de Québec. Impossible de trouver le règlement en question, qui ne serait disponible, avant la réunion du conseil d’arrondissement, qu’au bureau de l’arrondissement. Si je me trompe, tant mieux.
      Pour l’article qui parle de « 8 logements », c’est effectivement une erreur. Donc, où est le texte de la modification proposée pour 195 logements ? Merci.

      L’avis public

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      • Manu

        23 mai 2011 à 23 h 59

        Le texte des règlements, tous comme les annexes ne font jamais (à quelques rares exceptions près) partie des avis ni des procès verbaux des rencontres. Il faut aller les consulter « sur place » à des heures impossibles pour quiconque travaille à des heures conventionnelles

        Dans les cas de réglements de zonage, on voit souvent dans les PV une phrase du genre « dispense de lecture du règlement puisque tous les gens présents en ont obtenu copie ». J’imagine donc que ce sera le cas lors des réunions annoncées pour le cas qui concerne ce billet, i.e. on peut en avoir une copie en allant à la rencontre préve.

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  7. nietnietniet

    23 mai 2011 à 16 h 18

    Moi ce qui m’énerve plus que tout dans cette histoire c’est la maudite expression « NIMBY ». Pus capable de l’entendre ou de la lire.

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  8. Georges Pettigrew

    23 mai 2011 à 17 h 46

    C’est d’ailleurs du journalisme de chien écrasé de la part de Radio Canada, de même mentionner ce délire pathétique sur son réseau.

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  9. Mathieu

    28 mai 2011 à 13 h 56

    Encore du « Pas dans ma cour » qui tue un autre projet. On est vraiment bon pour ça au Québec!

    On veut tous les avantages, toutes les retombées positives, mais pas les inconvenients ou les dépenses associées. De plus, il est impossible de faire entendre raison aux amateurs du « Pas dans ma cour ». C’est toujours le gros méchant promoteur ou le scrupuleux maître d’oeuvre qui doit mettre de l’eau dans son vin (voire même annuler son projet), mais jamais les mêmes individus qui chialent à propos de tous les projets.

    Tant qu’à moi, il n’existe aucun projet parfait, il y aura toujours un inconvenient, mais il faut arrêter de chialer et aller de l’avant des fois.

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  10. Mélanie

    23 juin 2011 à 13 h 24

    Quel dommage!!! Un si beau projet!

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