* Photos de la Plage Gagnon qui m’ont été remises par un ami et lecteur de Québec Urbain (Michel Morrow). Merci ! :)
(…) Ce premier tronçon du sentier des Grèves s’étendra sur environ un kilomètre, entre le domaine des Retraités du CN, à l’est, et le parc de la plage Jacques-Cartier, à l’ouest. Les travaux se termineront en juin 2012. Les coûts de construction de ce secteur « Nature » s’élèvent à 1,8M$. Le gouvernement du Québec assumera l’entièreté du budget de réalisation de ce projet. (…) Avec l’ouverture de ce premier tronçon, les usagers bénéficieront d’un accès privilégié à la plage Gagnon, l’une des rares plages de sable naturelles de la capitale. Tout au long du parcours, ponctué de sept escaliers et de deux belvédères, il sera possible d’admirer différentes perspectives sur le fleuve Saint-Laurent, les ponts de Québec et Pierre-Laporte et la rive-sud. Des panneaux d’interprétation seront également installés le long du parcours.
22 juin 2011 à 18 h 52
Rien que pour le fait qu’il s’ajoutera de NOUVEAUX ESCALIERS à Québec, je suis vraiment content !!
Si Montréal (et certains coins de Limoilou, entre autres !) est renommée pour ses escaliers extérieurs résidentiels, Québec est renommée pour ses nombreux escaliers qui font le joint entre haute et basse ville. Ce n’est peut-être pas unique au monde mais c’est l’une des caractéristiques de notre belle ville.
Par ailleurs, je trouve tout aussi génial de joindre la Promenade de Samuel à la Plage Jacques-Cartier: s’il reste quelque chose de positif dans l’ancienne administration de feue Madame Boucher (alors mairesse de Sainte-Foy), c’est bien d’avoir redonné le fleuve aux citoyens dans ce merveilleux coin de la Capitale.
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22 juin 2011 à 20 h 50
Le Défi des escaliers
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22 juin 2011 à 18 h 58
C’est peut-être réellement une question de géographie, mais je trouve qu’on est passé à côté d’une belle occasion d’améliorer le réseau cyclable de Québec.
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22 juin 2011 à 19 h 14
Effectivement, avec le lien qu’il aurait pu y avoir jusqu’à Cap-Rouge, ça aurait été magnifique pour les vélos.
Mais, bon, vivre dans une ville sur un cap n’a pas que des avantages ;-)
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22 juin 2011 à 19 h 13
Je ne veux pas relancer le débat de l’époque de Mame Boucher lorsqu’elle avait ouvert la PJC et qu’elle s’opposait au passage des cyclistes… Mais bon, s’il n’y a que ce segment du corridor littoral qui n’est pas ouvert à ces derniers, il ne faudrait pas en faire un drame. Après tout, se peut-il que certains sites ne soient accessibles qu’à pied, sans risquer d’offenser qui que ce soit ??
Me semble que de nos jours, les amateurs de vélo ont d’innombrables endroits pour profiter de leur loisir… Faudrait pas capoter non plus.
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22 juin 2011 à 19 h 21
Non, pas capoter, c’est juste que l’horreur des cyclistes amateurs, c’est les côtes, et un lien cycliste dans ce coin là aurait fait une très longue piste de Cap-Rouge aux Chutes Montmorency pratiquement sans côtes. Là, ça oblige à remonter jusqu’au chemin St-Louis.
Et, des pistes cyclables réservées uniquement aux cyclistes, il n’y en a pas beaucoup dans la région. La seule qui me vient à l’esprit est la continuité du Corridor des cheminots passé Val-Bélair. La poussière de pierre et l’éloignement de la ville fait qu’il n’y a pas de patins et peu de poussettes et marcheurs.
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22 juin 2011 à 19 h 29
Je suis bien d’accord avec vous, Julien, je n’avais pas vu cela sous cet angle (surtout qu’il s’agit de côtes…!). Mais pour l’enrichissement de ma culture (et je ne suis pas sarcastique, je vous l’assure), y a t-il beaucoup de cyclistes selon vous qui partent des Chutes pour se rendre à Cap-Rouge ??
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22 juin 2011 à 19 h 45
C’est une excellente question d’heron23
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22 juin 2011 à 20 h 22
J’aurais tendance à penser qu’il y en aura de plus en plus. Le tourisme cycliste se développe et va chercher une clientèle qui est moins « maniaque ». Des gens qui cherchent des circuits pittoresques qui ne sont pas sur des accotements de grandes routes et qui peuvent se faire en une journée.
Le circuit Cap-rouge Chutes Montmorency doit représenter environ 25 kilomètres (50 si on veut revenir ;-) ) et Cap-Rouge, Vieux Québec moins de 15 kilomètres.
Le seul défaut de ce circuit actuellement, c’est qu’il ne se fait pas en boucle, il faut revenir sur nos pas. (Le pont de Québec à vélo n’est pas très inspirant pour les cyclistes, donc prendre le traversier est moins intéressant).
Le circuit du Petit-Train du nord dans les Laurentides est particulièrement populaire. Situé sur une ancienne voie-ferrée, il est pratiquement toujours hors de la route et avec des côtes légères.
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23 juin 2011 à 12 h 07
D’un autre côté je vois mal un piéton parcourir d’un bout à l’autre la promenade s-d-c
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22 juin 2011 à 20 h 43
Merci.
Oui, en tout, ça fait quand même beaucoup de kilomètres, peut-être pas à la portée du cycliste moyen (et j’en fais partie !).
En bref, on peut essayer de « penser » la ville en fonction des cyclistes. Ou sinon, en fonction AUSSI des gens qui marchent, qui montent des escaliers, qui sont un peu plus « zen », qu’ils soient vieux ou jeunes.
Des fois, il n’y a pas de mal à se rappeler de l’époque où la « roue » n’avait pas encore été inventée, même si ça fait assez longtemps…
Je ne veux pas dire que c’était la « belle époque ». Mais des fois, mettre son vélo sur le côté et admirer le paysage, ça peut être plus bénéfique que de rouler en tant que tel…
;-)
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22 juin 2011 à 21 h 30
Effectivement, et d’ailleurs, pour cela je vous conseille aussi le Parc Linéaire des rivières St-Charles et Du Berger, c’est magnifique. Et sans cyclistes (enfin presque, certains semblent avoir de la difficulté à lire les pancartes!)
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23 juin 2011 à 12 h 05
Même chose pour les pistes cyclables réservées aux vélos, ça n’empêche qu’on y trouve beaucoup de piétons.
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24 juin 2011 à 12 h 18
Ça c’est 50/50 car y’a toujours des piétons qui savent pas lire les pancartes et qui marchent sur la piste cyclable, à la Promenade Samuel de Champlain. C’est autant dérangeant pour ceux en vélo que ceux en rollerblade comme moi. Ça peut être même dangeureux car un rollerblade, ça ne s’arrête pas sur un trente sous.
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27 juin 2011 à 10 h 23
Parfois ils n’y a pas de trottoir alors on a pas le choix. Je ne me vois pas marcher sur le bord d’un boulevard passant sans trottoirs quand il y a une piste cyclable en retrait.
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23 juin 2011 à 18 h 59
Avez-vous remarqué le petit enfant EN LAISSE sur la deuxième photo? Je me rappelle que ces laisses étaient populaires quand j’étais petite fille (dans les années 50) mais que mes parents y allaient toujours de commentaires indignés quand on en voyait une! Assez drastique comme moyen pour avoir « l’esprit tranquille » lors des promenades!
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24 juin 2011 à 16 h 26
Le petit garçon en laisse ne l’est pas pour une promenade mais bien pour que sa mère, occupée à vaquer à une quelconque besogne dans le chalet, n’ait pas à s’inquiéter du petit dernier qui pouvait risquer une noyade dans le fleuve. Je le sais parce que c’est mon conjoint sur la photo alors qu’il n’avait que 2 ans et demi (1958). C’était peut-être drastique mais efficace…
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