Isabelle Porter
Le Devoir
Québec — La possibilité de se connecter à Internet de partout commence à devenir un attrait important des villes du XXIe siècle. Regards sur le cas de Québec qui s’impose déjà comme une première de classe en la matière. (…) Depuis 2006, ZAP a installé pas moins de 404 bornes de ce genre à Québec, ce qui en fait, de loin, la ville la plus Wi-Fi au Québec.
1er août 2011 à 09 h 14
un indispensable ! Bravo aux promoteurs !
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1er août 2011 à 10 h 06
Et surtout aux bénévoles de Zap ainsi qu’à son coordonnateur qui font un boulot colossal !
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1er août 2011 à 12 h 14
Tel qu’indiqué dans l’article, il y a malheureusement un trou important dans le réseau Wi-Fi de Québec : le réseau de transport de la capitale.
Non seulement le Wi-Fi n’est pas accessible dans les autobus du RTC mais ça ne semble même pas être un objectif pour la direction de l’organisme public. Je trouve cela très dommage car cet investissement relativement faible pourrait grandement augmenter la qualité de vie d’une bonne partie des usagers.
Extrait tiré de l’article intitulé « L’Université Laval et le RTC en retard » :
« Quant au Réseau de transport en commun de la capitale (RTC), il s’explique tout aussi mal leurs résistances, d’autant que la Société de transport de Lévis (STL) a fait le saut et que « ça marche ».
D’emblée, à l’heure où le RTC veut augmenter son nombre d’usagers, un service de Wi-Fi peut être un facteur déterminant dans la décision de troquer la voiture pour le bus, puisqu’il permet de travailler durant le trajet qui mène au boulot.
Au RTC, on nous dit que les priorités de l’organisation « étaient ailleurs » jusqu’à tout récemment, mais que la formule Wi-Fi sera testée pour une première fois à l’automne sur deux parcours. »
Est-ce qu’il y aurait de l’espoir ?
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1er août 2011 à 12 h 49
Il est certain que le RTC va équiper ses autobus un jour. Le plus tôt sera la mieux en effet ;)
Par contre, c’est quand même un certain investissement pour la compagnie. On ne parle pas de mettre un petit routeur avec une connexion adsl de résidence.
Équiper 500 autobus à quoi, 500$ pour le système de base (suis-je loin) font déjà 250 000 $ plus les frais de réseau, l’entretien et la maintenance, c’est un investissement plus que « mineur ».
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1er août 2011 à 13 h 08
Admettons que votre chiffre de 500$ par autobus soit juste et qu’on décide d’équiper 100 autobus par année (en commençant par les autobus articulés, svp) on parle de 50 000$ par année pendant cinq ans. Sur un budget annuel de 194 M$, je trouve que c’est très peu.
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1er août 2011 à 13 h 08
Bref, pour moins cher que le prix de UN Écolobus, on offre le service WI-FI sur l’ensemble du réseau?? Qu’est-ce qu’on attend??
Comme AM le mentionne, on cherche toute sorte de façon d’attirer de la clientèle dans le transport en commun, en voilà une fichue d’intelligente, et qui ne se fait pas au détriment des voitures…
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1er août 2011 à 16 h 27
Je pense que le prix d’un tel système serait beaucoup plus élevé qu’il peu sembler l’être. Chaque dispositif doit être en mesure de se connecter sur le réseau cellulaire, de supporter beaucoup de connexions Wifi, doit résister aux chocs d’etre transporter, sans compter le prix de l’installation. Je pense que chaque dispositif doit coûter au minimum 1000$ ou plus.
Ensuite, il faut aussi payer un technicien à temps plein pour assurer le bon fonctionnement. Mais finalement, il faut surtout payer le prix de la connexion 3G. Sur un gros volume, il y a moyen d’avoir des bons prix, mais j’ai vu sur certains sites qu’on parle de 200$ à 300$ par mois par autobus.
Ensuite le RTC doit se demander si l’investissement en vaut la peine sur toute sa flotte. C’est un service qui est intéressant lorsqu’on parcours de longue distance (express), mais peut-être pas que pour quelques arrêts (metrobus). De plus, comme de plus en plus de monde possède un abonnement de données, est-ce que le besoin est réellement important? Avant d’investir, le RTC doit s’assurer que se sera un investissement rentable.
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1er août 2011 à 17 h 54
Je travaille dans le domaine et un routeur comme celui là peut tourner autour des 2000$. Ajouter à cela peut-être 50$ par mois par autobus.
Cependant, une chose qu’il faut comprendre, c’est que tout ce bel équipement devrait être installé prochainement de toute façon dans le cadre du projet AVL.
En gros, le coût de cette fonctionalité se résumerait à des coûts de TI (e.g. créer un réseau virtuel distinct pour les utilisateurs, limiter la bande passante à certains usages, filtres anti-porn, etc).
Intercar et Orléans Express offrent le sans-fil gratuit depuis des lunes, alors ça se fait.
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1er août 2011 à 23 h 22
AVL c’est quoi? Le géolocalisation des autobus du RTC c’est pour quand?
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2 août 2011 à 11 h 06
Automatic Vehicle Location
http://en.wikipedia.org/wiki/Automatic_vehicle_location
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2 août 2011 à 15 h 39
Ah, c’est le truc qu’ils ont annoncé il y a longtemps… Ils disaient qu’ils faisaient des études de faisabilité. La faisabilité de faire quelque chose que plein d’autres villes font depuis des années…
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4 août 2011 à 23 h 12
Wifi? Non merci. Réseaux mobiles cellulaires. Rien de moins. L’infrastructure est présente et efficace. D’ici quelques années, la majorité des gens auront des forfaits Data donc…
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6 août 2011 à 10 h 15
Un forfait data 3G, c’est au moins 50$ par mois. Non merci.
Le réseau Wi-fi est presque complet à Québec. Il ne reste que le RTC et l’Université Laval. Et c’est gratuit !
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6 août 2011 à 10 h 18
Parfaitement d’accord! De toutes façons, les bus seront branchés au 3G. Alors, vous serait directement relié au 3G et vous n’aurez rien à payer. C’est bien mieux!
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6 août 2011 à 17 h 21
Bof. Tant qu’à ça je préfère 3G. Du wifi wide-open, c’est même pas sécuritaire. Allo la sécurité des données.
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