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La ville de Québec présente de nombreux exemples de toits verts, de toits-terrasses et parfois de toits jardins. Dans le Vieux-Québec, les fortes dénivellations permettent d’avoir des vues sur ces toits et de se familiariser avec ces concepts.(…)
Le « Potager des visionnaires » déçoit. En 2008, le Musée de la civilisation aménageait un grand jardin sur ses toits et terrasses au coût de 1,2 million de dollars avec le nom de Potager des visionnaires
11 août 2011 à 20 h 31
il y a de beau exemples en effet, mais quand je vois tous les jours en descandant les escalier, le potentiel qu’il y a pour en faire plus je me demande pourquoi c’est pas plus répandu !!
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11 août 2011 à 23 h 08
Le déneigement l’hiver est peut-être un frein. L’entretien aussi, ça prend des gens pour ça. Le bas coû
J’avais vu aussi une étude qui disait que de peindre les toits en blanc aurait un impact supérieur, à un coût moindre, que de faire un toit vert. Par contre, l’étude était pour la Californie je crois.
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12 août 2011 à 08 h 35
certes il y a un intéret énergétique intéressant, à l’échelle du quartier, et du batiment (dans le cas d’un toit vert)… mais c’est surtout au confort que je pense.
C’est certain que le cout et l’entretien rentrent en compte, notamment dans le cas de logements occupés par des locataires.
Bilan, en basse ville, cela reste anecdotique alors que c’est un des endroit qui gagnerait le plus à voir la qualité des milieux de vie s’améliorer !
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