Ceux qui habitent dans les quartiers centraux ont remarqué des petites pouliches accrochées aux fils électriques à plusieurs endroits. Plusieurs nous ont demandé ce que ça représentait, mais nous ne le savions pas. La journaliste Sophie Gail a fait une enquête à l’aide de Facebook pour retrouver celle qui les a placés là. C’est davantage une démarche artistique urbaine qu’un marqueur pour les gangs de rue!
Avez-vous remarqué les pouliches? Oui, oui, ce petit jouet aux couleurs vives. Elles sont suspendues aux fils électriques. Levez les yeux, c’est un spectacle entre terre et ciel, disséminé un peu partout dans les quartiers centraux de Québec : Saint-Jean-Baptiste, Saint-Roch, Saint-Sauveur, Vieux-Québec. Autre déclinaison de cette invasion : observez les murs gris, les trottoirs, les piliers de béton; des pouliches peintes au pochoir y figurent.
via Sophie Gall.
23 août 2011 à 11 h 45
<>
Hahahahaha, j’adore ce genre d’art urbain.
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23 août 2011 à 11 h 52
Ça devait être dans les guillemets: « Sur Facebook, là où les gens posent leurs questions, il a été dit que c’est une femme, habillée de noir, qui court comme une gazelle. »
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23 août 2011 à 14 h 46
Il se passe vraiment rien à Québec pour que des trucs du genre se retrouvent dans les journaux… Non mais… C’est de l’information ça????
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23 août 2011 à 16 h 25
Ils ont eu tellement de questions de citoyens qu’ils n’ont pas eu le choix d’en parler, surtout que certains croyaient qu’il s’agissait de pratiques de gangs de rue.
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23 août 2011 à 17 h 31
Ah oui, des questions de citoyens. Ils nous ont encore servis cette
vieille explication pour naïf pour justifier ce reportage. Les médias
parte la nouvelle créant un phénomène de masse artificielle et
après pour justifier cette même nouvelle, nous disent « Ben, ont
ne fait que répondre la pression populaire ». Vous saisissez l’intérêt de la manoeuvre ? Occuper le terrain médiatique sous le prétexte
de la demande générale.
Mise à part cette petite précision, cette nouvelle est tout a fait
insignifiante. C’est de l’info sans l’info. C’est un micro engouement
insignifiant s’adressant à des gens insignifiants. Des gens dont
la vie est tellement vide, qu’ils ont besoin de ce genre de
stimulis pour leur donner l’impression d’exister.
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23 août 2011 à 19 h 31
D’autres personnes ont une vie « tellement vide » qu’ils perdent leur temps à dénigrer des nouvelles sur internet avec une attitude arrogante et une conviction personnelle de détenir la vérité universelle.
Ce n’est pas à vous de décider si c’est une nouvelle ou non, si c’est intéressant ou non. J’habite le centre et j’avais aperçu ces pouliches qui m’avaient effectivement fait sourire (mission accomplie) et je suis bien content de trouver de l’information sur cette histoire.
Je trouve même qu’il devrait y avoir plus de ces nouvelles et moins de nouvelles pessimistes. Des reportages sur des accidents, des meurtres, des bagarres, des vols… Ça c’est de la nouvelle vide de sens qui ne renvoie qu’une image pessimiste de la société. Je préfère personnellement les bonnes nouvelles, celles qui font sourire parce qu’elles m’aident à rester optimiste malgré le fait qu’il existe trop de personnes comme vous :)
Bonsoir.
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24 août 2011 à 07 h 50
Très bien dit!
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23 août 2011 à 20 h 41
Effectivement il ne se passe pas grand chose a Quebec. A part le hockey qui fait lever les foules, c’est une société immobile.
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23 août 2011 à 21 h 02
Le monde ne change pas aussi vite qu’on le voudrait, mais il change quand même… tout doucement.
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23 août 2011 à 22 h 23
C’est une immobilité qui ce donne l’illusion du mouvement. Et plusieurs ce font prendre par cette illusion
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24 août 2011 à 08 h 53
Québec immobile? C’est étrange, je ne suis qu’à Québec que depuis 1996, mais je trouve que ça a tellement changé depuis ce temps. Autant de coté dynamisme de la ville et des projets qui se sont réalisés que de la mentalité des gens.
Même situation, deux visions différentes.
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24 août 2011 à 10 h 50
2 visions qui dépendent du point de vue ou l’on se place.
Si l’on vient de Saint-Ephrem de Beauce, le dynamisme de Québec doit donner le vertige.
Si l’on vient de San Francisco …
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24 août 2011 à 22 h 33
Toute société est perpétuellement en mouvement. Si elle est immobile, c’est quelle est morte. Québec n’étant pas une ville fantôme, elle est en avance aussi. Par contre, certain attribut ceci à un certain maire, mais ça, c’est un autre débat!
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25 août 2011 à 09 h 38
@Jean Duez, je ne pense pas que ce soit de la ville d’où l’on vient qui influence, mais plutôt la façon de regarder.
Si on regarde ce qui ne bouge pas depuis 5-10 ans (ex, Tramway, le Diamant, écoquartiers) on trouve que la ville vit dans l’immobilisme
Par contre, si on regarde ce qui a fonctionné (ex. le changement important du look de St-Roch, Parc Linéaire de la rivièere St-Charles), on trouve que c’est dynamique.
c’est facile de trouver les autres villes dynamiques, car ce qui vient le plus facilement à nos oreilles c’est les projets novateurs. Mais, pour 1 projet novateur à San Francisco, il y a peut-être eu 4 projets qui n’ont jamais aboutis par manque de vision, opposition citoyenne, coûts astronomiques, etc.
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25 août 2011 à 12 h 10
C’est sûr qu’il y a des endroits où s’en passe des choses, beaucoup plus qu’ici: famines, guerres civiles, épidémies de choléra… On peut pas tout avoir quand même :)
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24 août 2011 à 08 h 39
+1 davedeux!
Très bien dit. :-)
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24 août 2011 à 09 h 23
« Mes amis, l’amour est cent fois meilleur que la haine. L’espoir est meilleur que la peur. L’optimisme est meilleur que le désespoir. Alors, aimons, gardons espoir et restons optimistes. Et nous changerons le monde. »
Chaleureusement,
Jack Layton
Jack n’a rien inventé ici, mais il nous rappelle sagement vers l’essentiel. Ces pouliches sont une manifestation de joie de vivre, et tant mieux si c’est contagieux.
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24 août 2011 à 12 h 57
Quoi qu’il en soit, au-delà des opinions divergentes, je
soupçonne un « flash¨ publicitaire d’une compagnie de
télécomme ou de com. Faut avoir les moyens pour faire telle
une pollution.
L’avenir nous le diras
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24 août 2011 à 14 h 04
Cela se peut fort bien!
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24 août 2011 à 21 h 55
Moi, les pouliches, elles me font sourire.
En fait, j’ai pris un malin plaisir à parcourir les rues de la ville à leur recherche… Non, ce n’était pas productif, non ça ne changera pas le monde, mais c’était ludique et ça m’a plu…
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