Renée Larochelle
Au Fil des Évènements
Un ouvrage sur l’étalement urbain destiné à tous ceux que le débat social sur l’avenir des villes intéresse. Il fut une époque où s’établir en banlieue de Québec signifiait vivre à Cap-Rouge, à L’Ancienne-Lorette ou à Saint-Jean-Chrysostome. Au fil des ans, la banlieue n’a cessé de gagner du terrain, et s’appelle aujourd’hui Saint-Augustin-de-Desmaures, Lac-Beauport et Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. Les trajets, eux, se font presque toujours en voiture, qu’on possède souvent en double, quand ce n’est pas en triple pour combler les besoins en déplacement des familles comptant des adolescents ou de jeunes adultes qui étudient en ville
10 septembre 2011 à 14 h 05
J’ai écouté l’entrevue ce matin qu’à fait Catherine Lachaussée avec
l’auteure. Fort explicatif.
J’ai aimé le passage ou elle a déclaré que la norme dans une
maison de banlieue était que tout ce qui ce trouvait en haut
de 18 ans possédait une automobile. Et là nous parlons de la
banlieue éloignée, pas celle de la première couronne.
Et bien dites donc, nous pouvons encore envisager la construction
ou le prolongement de plusieurs autoroutes.
N’oubliez pas qu’un automobiliste heureux est un électeur heureux.
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11 septembre 2011 à 10 h 08
Quand les européens arrivent ici, ce qui les séduit ce sont les grands espaces et notre chance de pouvoir s’étaler et avoir un chez soi agréable à vivre. Eux sont serrés les uns sur les autres car ces pays européens sont très peuplé et n’ont pas des territoires aussi vastes que nous. La france sur un territoire plus que trois fois plus petit que le Québec a 60 millions d’habitants. nous 7,5 millions. Ca fait un ratio de près de 30 fois plus dense. Alors ils doivent s’adapter à cette réalité. Nous pas, on a le loisir de choisir notre cadre de vie…
Oui. l’instinct de coureur des bois et d’ancien campagnard qui a rejoint la ville veut un coin plus boisé et plus isolé. Peu importe la distance, il faut que ce chez-soi lui permette d’avoir un milieu ambiant calme et serein où ilk retrouve un peu de ce qu’il a laissé pour venir en ville.
Ceux qui veulent que les banlieusards retournent dans l’enfer du centre-ville où se bousculent les événements festifs rassembleurs de plus en plus nombreux et dérangeant, je trompent énormément.
C’est tellement vrai que l’on voit apparaître des toits avec des jardins dessus. J’ai pas besoin d’investir à renforcir mon toit pour avoir un vaste jardin. Ma cour est très grande. On est rendu à élever des poules au centre-ville. Quelle est cette nostalgie ??? Je vois bien ça dans St-Jean Baptiste le coq chantant à 5 heures du matin et les poules caquetant dans leur cage sur les galeries.
Cherchez un aréna couvert au centre-ville et vous n’en donnerez des nouvelles. Les centres de magasinage où on trouve de tout à portée de main sont Place Laurier et le Galeries de la Capitale. Pourquoi celui de Place Québec a fermé et que mail ou pas , on dépense des fortunes pour attirer des gens sur la rue St-Joseph ??? Pourtant dans les années cinquante s’était très fréquenté. L’automobile a tout changé et le parc automobile grandi encore avec 6,5 millions de véhicules enregistrés (En 1979, il iy en avait deux fois moins). Ils sont de moins en moins énergivores et polluants. La dépendancve au pétrole s’amenuise avec les hybrides qui consomment très peu d’essence arrivent sur le marché pour les 50 prochaines années. C’est la prochaine révolution automobile. Le moteur-roue commence certaines percées commerciales ce qui fait dire à la firme internationale « Frost & Sullivan » ceci: «La technologie des moteurs dans les roues, une technologie fascinante à surveiller pour la prochaine décade». Dans le transport en commun au Canada la compagnie E-Traction expérimente un autobus hybride aynt des moteurs-roue mais il demeure que les autobus biberonnés prendront le pas sur le marché et déjà Proterra et Sinautec ont des prototypes intéressant. Voici un vidéo sur l’autobus biberonné chinois : http://www.youtube.com/watch?v=LYL6NyU1g3k
Nous avons la chance d’avoir de grands espaces et nous en profitons, Est-ce un mal ???
Quant au prix de l’essence , la réserve albetaine et celle off shore atlantique (5 exploitations et Old Harry en sus) nous met dans la position des arabes du Moyen-Orient. Les sables bitumineux ont 175 milliards de barils de pétrole à exploiter (la Lybie en a 47,5 milliards de barils). Demain ne sera pas la veille car nous avons la chance que l’Europe et même les États-Unis n’ont pas. Beaucoup de réserves exploitables et peu de population comparativement. Ne maudissons pas notre chance d’être au Canada. On est envié par plusieurs pays…
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11 septembre 2011 à 16 h 42
C’est certain que les européens soient séduient par notre banlieu car ca semble toujours mieux chez le voisin. Ils ne voient que l’espace et son impressionné au premier coup d’oeil. Ils ne voient pas les inconvéniants que cela apporte. S’il ne venait pas seulement en touriste mais venaient essayer notre modèle de vie a long terme, tout ne serait pas aussi rose. D’abord, ils seraient découragé par l’inéficacité de nos transport collectif et leur faible étendue. Ensuite, ils seront donc dans l’obligation de se convertir à l’automobile. Ce mode de vie individualiste n’est certainement pas à envié.
Il est aussi évident que les nouvelles courones de banlieux permette a notre âme de courreur des bois de jouir de la vie calmement dans un millieux boisé. Surtout quand on regarde les techniques pour dévloppé les nouveaux quartier: Coupe À BLANC, étalement de bitume et errection de maison. Il faut malheureusement attendre des dizaines d’annés pour avoir des arbres qui ont de l’allure. Les BRUIT de l’autoroute voisine et le STRESS du traffic contribue également à ce mode de vie paisible. Le courreur de bois moderne peut enfin exprimer tout son instinct rustique et son endurrance quand il débarque de sa chère auto pour marcher a travers une mer de stationnement pour se rendre au Wal-mart.
Je suis heureux d’aprendre qu’il reste des milliards de barils de pétrole disponible. Nous pourrons ainsi tous les bruler dans les prochaines années et continuer a prendre soin de l’envirronement. Mais le problème de l’auto n’est pas seulement au niveau du pétrole. Encore, les infrastructures routière sont elle aussi très dispendieuse.
On construit des autoroutes pour augmenter la fluidité, les gens sont alors près a s’installer en banlieu. On construit donc des rues résidentielle très large pour la «sécurité». Les kilomètres d’aqueduc s’impose pour fournir en eau toutes ces maisons isoler. L’entretient de ces infrastructure et le déneigement des rues et des deux, trois ou quatre espace de stationnement a chaque résidence ne se fait pas tout seule. Les inombrables case de stationnement en face des power centre crées des îlots de chaleur. En ville la découverte d’un espace de stationnement relève du defi. Une case de stationnement intérieur coûte en moyenne 20 000$. C’est pour ça que les banlieusard ne magazine pas en ville. En additionnant les heures d’improductivité passer sur la route on peu rapidement calculer que l’auto est très rentable et durable au niveau écologique.
Je suis tout de même conscient que la densification n’est pas une solution miracle. Il faut le faire intelligament et inclure suffisament d’espace vert.
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11 septembre 2011 à 22 h 22
«Quand les européens arrivent ici, ce qui les séduit ce sont les grands espaces et notre chance de pouvoir s’étaler et avoir un chez soi agréable à vivre.»: C’est pour cette raison que la plus grande concentration de Français vivant au Québec résident sur le Plateau-Mont-Royal ? Expliquez-moi dont ça. Heureusement pour nous, la majorité de l’immigration européenne a une plus grande culture urbanistique que Fernand de Beauport.
« La france sur un territoire plus que trois fois plus petit que le Québec a 60 millions d’habitants. nous 7,5 millions. Ca fait un ratio de près de 30 fois plus dense»: Quel raisonnement fallacieux! Comme si tout la province était habité/habitable… Faites vos calcul avec la superficie du Québec « habité » et vous seriez surpris du résultat.
Je m’arrête ici, il y a déjà assez de démagogie uniquement dans le premier paragraphe de Fernand…
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12 septembre 2011 à 14 h 15
@ Louis M. les européens sont tellement tassés qu’ils n’ont pas la notion des distances. J’ai accueilli des équipes européennes au tournoi midget de Beauport et imnaginez que les organisateurs avaient planifié leur voyage ainsi : Atterrir à Montréal, aller voir les Chutes Niagara et venir au tournoi. Il sont eu un choc culturel, ils ont fait beaucoup de route.
On ne peut comparer ce qui se fait en Europe avec ce qui se fait en Amérique du nord. Avez vous déjà vu un globe terrestre pour parler comme vous le faites. Montréal n’est pas Paris avec ses 20 millions d’habitants.
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12 septembre 2011 à 16 h 56
J’ai vécu deux ans en Europe et j’y retourne fréquemment depuis. Je crois avoir une idée de comment ça se passe en Europe et comment les Européens perçoivent notre pays. Que vous ayant croisé des touristes pas très bon en géographie n’a rien à voir avec l’urbanisme ou leur vision de l’urbanisme.
«Montréal n’est pas Paris avec ses 20 millions d’habitants.» Certes, mais la région métropolitaine de Montréal a une superficie comparable à celle de Paris, bien que de beaucoup moins populeuse. Les politiciens en Europe ont les couilles de poser des gestes bénéfiques bien que parfois impopulaires sur le coup. Ils osent parler de densification et agir en conséquences pour créer du logement plutôt que de construire constamment en terres agricoles.
Les Européens, en général, n’envient pas nos banlieues (ils en ont aussi mais ont compris que ce n’est pas la seule/meilleure façon d’habiter) et sont souvent choqués de voir autant d’autoroutes urbaines ici.
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12 septembre 2011 à 11 h 36
Les européens qui immigrent ici ne sont pas représentatifs de la majorité qui « reste chez elle », tout comme ceux qui partent d’ici pour aller vivre à Paris, Londres, Hong Kong, ne sont pas représentatifs de la majorité des gens d’ici.
Peu importe ce qu’on pense de la banlieue, je n’utiliserais pas le point de vue d’un « minorité différente » pour conclure quoi que ce soit sur les aspirations de la majorité ou la nature humaine en général.
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13 septembre 2011 à 11 h 10
Surtout que ceux qui quittent sont justement les mécontents de leur mode de vie. Ceux qui sont heureux avec leur mode de vie, ils cherchent pas à aller ailleurs.
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11 septembre 2011 à 10 h 11
je vérifierai si l’ouvrage est disponible en format numérique et assurément je vais me le procurer, avec la certitude d’y retrouver que la densification est un prétexte quasi fallacieux pour empêcher l’étalement urbain : c’est un phénomène politique, encouragé par la faiblesse des structures politiques.
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11 septembre 2011 à 12 h 46
J’aimerais que les dinosaurs du genre de Fernand soient en voie d’extinction, mais malheureusement ce n’est pas le cas. Trouver intelligent de combler nos réserves d’espace par des bungalows et des cottages d’un mauvais goût démesuré, entrecoupés de boulevards et d’autoroutes sans limites, voilà un beau gâchis d’espace et de vision.
Tout coûte plus cher à force de s’étaler. Fermer des écoles et en construire de nouvelles plus loin, quelle économie! Avoir trois ou quatre chars dans l’entrée et aimer ça payer l’essence 1,35 $ le litre! Encourager les sables bitumineux de l’Alberta et l’horreur environnementale les accompagnant.
Mais ça, un individu comme Fernand, ou ses disciples, ne peuvent comprendre tant qu’on ne leur mettra pas le nez dans une eau morte et toxique ou qu’on ne leur fera pas la preuve mathématique (qu’ils remettront en question ou ne croiront juste pas) que cet étalement sans limite défi toute logique.
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11 septembre 2011 à 15 h 41
entre Fernand et le Néo-Malthusianisme que vous semblez prôner, il y a un juste milieu.
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11 septembre 2011 à 16 h 28
En quoi vous voyez du Néo-Malthusianisme dans les propos
d’Arthur?
Et si même s’il y avait du Néo-Malthusianisme, en quoi cela
peut-il être négatif?
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12 septembre 2011 à 14 h 24
Je ne suis pas un dinosaure mais je ne rêve pas en couleur. Regardez se vider le centre-ville depuis quelques décennies est un fait. Les gens ici sont habitués aux grands espaces et ne s’entasseront pas comme les chinois ou les japonnais pour vous faire plaisir.
Actuellement dans mon arrondisement il y a plus de construction que dans celui de La Cité-Limoilou. C’est un fait, la première ceinture se densifie et la deuxièeme ceinture non fusionnée se construit…
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11 septembre 2011 à 17 h 23
D’abord parce qu’Arthur semble connaître LA vérité. En particulier sur les sables bitumineux. Il a été prouvé que l’empreinte en CO2 des sables bitumineux est environ 10% supérieure à celle du pétrole conventionnel. Oui c’est plus polluant, mais quand même moins que le charbon.
Deuxièmement, il dit que ça coûte cher s’étaler, c’Est vrai. Mais vivre en ville coûte très cher aussi. De plus, il semble ignorer que certaines personnes ne travaillent pas au centre-ville.
Avez-vous déjà remarqué que les emplois de col bleu sont rarement au centre-ville?
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11 septembre 2011 à 17 h 48
Ouais, vous avez sans doute raison.
Puisque mon travail m’oblige à fréquenter le milieu de la
fiscalité, j’ai fait le constat paradoxale et non-scientifique, que
ceux qui n’ont plus besoin de travailler (retraite) ce retrouve
de plus en plus en ville (surtout condos) et que ceux qui
ont besoin de travailler en ville, ce retrouve en banlieue.
PS Vous m’avez pas répondu au sujet du Néo-Malthusianisme.
Mais disons que je passe pour cette question.
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11 septembre 2011 à 17 h 59
Par Néo-Malthusianisme, j’entend ceux qui disent que notre style de vie nous emmène tout droit à la catastrophe. À mon avis, ce n’est pas le cas. Certes il faut réduire notre empreinte écologique, mais je ne crois pas que l’humanité court à la catastrophe.
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11 septembre 2011 à 17 h 59
Il y a cher et cher.
Vivre en ville coûte cher à un l’individu.
Vivre en banlieue coûte cher à la société.
D’une certaine façon, on finance et encourage l’étalement urbain. Comment? En élargissant les routes, en construisant de nouveaux ponts, en déplaçant déplaçant les écoles, etc.
Mais il y a un juste milieu : avec une population qui augmente, c’est aussi normal d’augmenter le niveau de service. Le juste milieu est dur à trouver.
Mais un exemple que j’aime bien, c’est le projet de 3e lien vers la rive-sud. À mon sens, c’est le genre d’équipement très coûteux qui aide directement l’étalement urbain.
Mais au final, quand on calcule tous les coûts de la vie en banlieue (auto, temps de déplacement, stress), est-ce que c’est si moins cher que ça?
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11 septembre 2011 à 18 h 30
@Francis
Pour le 3e lien vers la rive-sud tu as sans doute raison. Par contre, je crois que les pôles d’activité ne se seraient pas autant déplacés vers l’ouest si on avait construit un pont ou un tunnel dans l’est de la ville.
Il faudrait peut-être que le gouvernement intervienne, on construit un nouveau pont mais en contrepartie on limite les nouveaux développements sur la rive-sud?
Pour le transport, si on reste en ville et qu’on travaille en ville, effectivement côté transport on peut sauver beaucoup de temps. Malheureusement, je connais beaucoup de gens qui restent en ville et travaillent en banlieue puisque l’employeur a besoin d’espace. Espace qui coûte cher pour une entreprise en ville.
Bref, si je reste dans St-Roch et que je travaille au parc technologique, ça devient vite tentant d’avoir une voiture.
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12 septembre 2011 à 10 h 21
Goldoche, le troisième lien se justifie en par le développement de ce coté. Pour ce qui est du déplacement du pôle d’activité, la compagnie Eiffel qui avait soumissionné pour le projet du pont de Québec l’avait prédit, il y a plus de 100 ans.
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12 septembre 2011 à 21 h 00
Un prolongement de la 40 en tunnel serait sûrement bénéfique pour les secteurs à l’est de la ville. Mais il le serait encore plus pour la Rive-Sud. Je ne vois simplement pas comment on pourrait empêcher l’étalement de se produire. Aussitôt le 3e lien terminé, on commencera à penser à un 4e.
J’estime un tel projet au minimum à 2 milliards, et très probablement 3. Dans les dernières estimations, on parlait, que ce projet serait utile à 25 000 personnes. Ça fait pas mal cher pour peu de gens au final.
Je pense qu’avec autant d’argent, on peut faire beaucoup mieux.
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12 septembre 2011 à 14 h 43
Il y a des efforts faramineux pour capter à la source le CO2 et les mêmes qui se plaignent de cette exploitation reprochent au gouvernement Harper de faire des efforts pour en diminuer l’effet. Grâce à cette réserve qui est la deuxième au monde, nous sommes devenus les arabes du nord en avant de plusieurs pays exportateurs du Moyen-Orient et on se plaint. On préfère dépendre de musulmans aux moeurs médiévaux que de dépendre d’un pays démocratique dont on fait partie. Ce sont lers mêmes gens qui veulent empêcher l’exploitation de Old Harry alors que Terre-Neuve est en train de forer à l’autre bout de la réserve sousmarine. Après on dira qu’on dépend des autres. Même si on a un parc automobile qui depuis les années 50 a plus que triplé, les voitures sont de moins en moins énergivore au point où les prévisions d’épuisement des réserves pétrolières reculent de plusieurs années au point où les pays producteur doivent ralentir le débit. Puis s’ajoute des réserves de gaz naturel dont le volume est estimé à 100 ans et nous aurons le temps de penser autrement que de viser la simplicité volontaire.
Maintenant Steven Guilbault d’Équiterre, s’est associé à Suncor Energy, un des producteurs majeurs des sables bitumineux dans le mouvemnent pour préserb=ver nos forêts et régenter l’industrie forestière canadienne : L’Initiative Boréale. Il s’est même associé à deux groupes environnementaux américains qui viennent nous dire quoi faire avec nos forêts et nos barrages hydroélectriques.
WOW, surtout que Pew Charities Trust est une fondation de la famille Pew propriétaire de la pétrolière américaine Sun Oil Company. Il semble que pour les groupes environnementaux l’argent n’a pas d’odeur, hein…
Il ne faut pas oublier que les pétrolières sont des compagnies publiques à la bourse dont le capital-actions est majoritairement détenu par des fonds de pensions, la Caisse de Dépôt, le fond de Solidarité de la FTQ, le fonds Desjardins, les REER, etc… Faut arrêter de créer des faussetés sur des compagnies qui font des efforts pour respecter l’environnement tout en créant la richesse capable de subventionner ces groupes environnementaux.
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13 septembre 2011 à 11 h 17
« Deuxièmement, il dit que ça coûte cher s’étaler, c’Est vrai. Mais vivre en ville coûte très cher aussi. De plus, il semble ignorer que certaines personnes ne travaillent pas au centre-ville. »
De plus il n’y a pas que le « travail » qui compte. Les loisirs aussi. Et plus vous vous approchez de la retraite plus vous vous rendez compte que la proximité du « travail » n’aura plus d’importance un jour.
Si le fait de rester au centre-ville te rapproche de ta job mais t’oblige è sortir du centre-ville dans le trafic pour la grosse majorité de tes loisirs et autres, c’est pas très d’avance. De plus qui cé qui a envie de voir son bureau en prenant son café le samedi matin…
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13 septembre 2011 à 12 h 06
Faudrait faire la part des choses un peu… C’est évident que si vous travaillez à Val Bélair, et bien y résidez est un choix très naturel. Mais ici on parle du plus gros groupe : celui qui travaille dans l’axe Laurier-Centre ville. C’est à dire, plus de 100 000 déplacements.
Concernant les loisirs, ça dépend beaucoup de chacun. Mes loisirs à moi sont plus souvent qu’autrement situé au centre-ville. Ensuite, peut importe le milieu de vie que vous allez choisir, vous allez trouver des loisirs aux alentours aussi.
« De plus qui cé qui a envie de voir son bureau en prenant son café le samedi matin… » Personnellement, je suis capable de regarder l’édifice où je travaille sans déprimer… Sinon je ferais mieux de changer de profession!
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11 septembre 2011 à 18 h 58
Ce que je trouve choquant avec les propos de Fernand, c’est que le Monsieur n’a probablement jamais habiter en ville.
Je trouve ça drôle quand il parle de l’enfer de la ville……
C’est vrai que c’est tellement mieux les congestions sur de la Capitale pour se rendre à Beauport. Comparativement aux infernales activtés urbaines, c’est pas mal plus relaxant un bain de char.
Pôv de vous.
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11 septembre 2011 à 19 h 13
On respire. J’ai rencontré des gens qui ont choisi Beauport, et pas à cause de Fernand, fidèle lecteur assidu (…). Le lien direct entre cet arrondissement et le centre-ville fait en sorte que l’option est séduisante, et le développement de ce secteur, sans oublier le boulevard Ste-Anne, fait en sorte que plusieurs s’y intéressent. Quant à congestion et le trafic « en ville », il est évident que le développement dans la nouvelle ville de Québec en apportera encore plus. Nous sommes rendus collectivement au problème de la mobilité des citoyens, ce qui nécessitera inévitablement le tramway, le TGV, les trains. On a pas fini d’en parler ! :)
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12 septembre 2011 à 11 h 56
On ne peut nier vos propos.
Toutefois, ce que M. Trudel décrie comme étant l’enfer de la ville repose surtout sur sa subjectivité et qu’automatiquement tout ses propos vont à l’encontre de vie urbaine (et des gens en vélo).
Si au moins les commentaires étaient basés sur une expérience de vie réel, ça serait déjà plus riche.
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12 septembre 2011 à 15 h 15
Mon cher Gérald vous êtes conscient que les problèmes n’existent pas seulement au centre-ville et que ce qui se construit à Beauport aura un jour un impact sur la mobilité durable. Si on n’a pas un service de TEC adéquat alors on continuera à utiliser nos autos pour se déplacer. Je tombe des nus quand je vois de jeunes personnes argumenter contre les autos. Eux qui ont des ménages fragiles qui se séparent pour un rien et ont des enfants téflons voyageant d’une conjoint à l’autre y compris les garderies obligatoires qui ne sont pas nécessairement dans le trajet des TEC.
On essaie de généraliser à partir de son environnement immédiat. Ce n’est pas la façon d’élever le débat et solutionner les problèmes de mobilité durable.
Entretemps je m’affaire è un projet révolutionnaire qui va changer la mobilité québécoise : le monorail.
En plus de Jean-Paul Marchand, Ph D, je peux compter sur Gilles Marcotte ancien président du RTC et fellow comptable agréé, ex associé de KPMG pour compléter l’équipe de promotion. Nous sommes associés aussi à L’Institut du Transport Avancé du Québec (ITAQ) et nous sommes membres de la grappe des technologies propres Écotech. Vendredi nous allons franchir une nouvelle étape de la recherche fondamentale de ce projet.
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12 septembre 2011 à 19 h 44
Fernand n’est pas difficile à comprend. Il veut payer uniquement pour du transport en commun si c’est un monorail.
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12 septembre 2011 à 14 h 51
Je suis né sur la rue Calixa-Lavallée dans le quartier Montcalm. Le feu nous a délogé et nous avons demeuré sur la rue Lockwell, la rue Ste-Angèle et la rue Hébert. Par la suite j’ai demeuré dans Limoilou près d’Expo-Cité jsuqu’à mon mariage à 21 ans. J’ai arpenté Québec à pied plus n’importe lequel d’entre vous. Plusieurs fois je revenait chez-moi de la faculté d’Administration de l’Université Laval à pied car je n’avais même pas l’argent nécessaire pour prendre l’autobus. J’ai étudié mon classique à l’École St-Joseph au pied de la pente douce et souvent je me tapais une heure de retour à pied. J’ai véçu pauvrement mais je suis riche d’une expérience que vous ne pouvez m’enlever.
J’ai eu un vélo et j’en ai un encore. Mais je me rappelle que l’on devait immatriculer notre vélo pour circuler dans les rues de Québec.
Quant au tramway , mon grand-père était chauffeur de tramway et je l’ai déjà utilisé. Je sais pourquoi on a recouvert les rails qui sont toujours sur la rue St-Jean et dans la cote de la Fabrique.
Alors laéR, les jugements de valeur je peux m’en passer…
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12 septembre 2011 à 21 h 04
« les jugements de valeur je peux m’en passer… »
« Eux [les jeunes] qui ont des ménages fragiles qui se séparent pour un rien et ont des enfants téflons voyageant d’une conjoint è l’autre y compris les garderies obligatoires qui ne sont pas nécessairement dans le trajet des TEC. »
Charité bien ordonnée commence par soi-même.
Et je passe beaucoup d’exemples de votre manque de respect (vélo squatter, écolograno, etc…).
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13 septembre 2011 à 09 h 59
Donc si je comprend bien, votre vie infernale en ville c’était il y a 30-40 ans?
Ça devait être assez débile pour que votre sentiment de haîne vous suivre ainsi le reste de votre vie je présume.
Au moins, maintenant je comprend.
Merci d’avoir relaté votre histoire. Je pourrai maintenant respecter votre opinion.
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13 septembre 2011 à 10 h 23
L’enfer existe aujourd’hui en voulant bannir la voiture partout au centre-ville. J’ai été chercher un DVD chez Archambault sur rue St-Jean et ça m’a coûté 48$ de ticket parce le parcomètre est devenu périmé (J’avais mis pour 15 minutes) alors que je faisait la file pour payer et que je voyais le schroup faire son billet. Depuis je vais à Place Ste-Foy ou à Lebourgneuf et j’ai pas de ticket mais un stationnement gratuit pas un parcomètre. Voilà ca que j’appelle l’enfer. Quand la Grande-Allée est fermée par les tenanciers de bar et que l’on veut des tramway et des pistes cyclables sur René-Lévesque, l’auto provenant de l’ouest n’aura que St-Jean pour approcher du vieux-Québec. Vous êtes en train de fermer la colline parlementaire alors qu’il existe un centre des congrès attirant des étrangers dont la plupart viennent en auto.
Comment expliquer qu’on veut attirer des touristes au musée dont on double la superficie sans installer aucun espace de stationnement même pour les autocars qui vont alimenter cet équipement ? L’édifice de la Capitale que l’on construit sur St-Amable n’a aucun nouveau stationnement comme si tous ceux qui auront accès à cet édifice étaient à pied ou en TEC , c’est de la pensée magique. Continuez à vous faire dicter votre vision par un groupe d’usagers d’autobus (Accès Transports Viables) et vous viderez le centre-ville.
C’est exactement ce genre de situation qui a peuplé la banlieue : les enfarges dans le centre-ville. Continuez dans le même sens et dans 20 ans on aura d’autres fusions à faire pour inclure la deuxième couronne. Quand on veut avoir des gens dans le centre-ville on crée des conditions d’accueil pour…
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13 septembre 2011 à 11 h 50
« L’enfer existe aujourd’hui en voulant bannir la voiture partout au centre-ville. » Mon cher Fernand, à moins que tu n’aies de la difficulté à bouger ce qu’il y a entre ta tête et tes pieds, voire que tu ne puisses le faire, abstiens-toi donc de parler d’enfer, parce que ta bagnole ne peut aller où bon tu sembles… Quant au « partout au centre-ville », c’est toujours la même enflure verbale, la même exagération grotesque, qui donnent raison à Sartre à qui j’emprunte les mots : l’enfer, c’est Fernand. Et quand je pense qu’un groupe qui veut faire la promotion du monorail compte sur toi pour promouvoir leur système…
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