Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Quartier de l’amphithéâtre: les efforts sur le boul. Hamel, pas sur Laurentienne

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 septembre 2011 25 commentaires

Tous les efforts sur Wilfrid-Hamel (le Soleil, Samuel Auger, 25 septembre 2011)

Plutôt que de s’attaquer à l’autoroute Laurentienne, une vaste étude sur le quartier de l’amphithéâtre propose de concentrer les efforts de revitalisation sur le boulevard Wilfrid-Hamel.

Le boulevard Wilfrid-Hamel est peu accueillant dans le secteur du futur amphithéâtre de Québec, constate l’étude consultée par Le Soleil. L’axe routier revêt un «caractère autoroutier sous le viaduc au croisement de l’autoroute Laurentienne, ce qui occasionne une discontinuité importante du bâti et un changement drastique d’atmosphère», peut-on lire dans l’imposant document de travail réalisé par la firme Côté Chabot Morel au profit de la Ville de Québec. Le réseau piéton y est «limité» et l’aménagement, «déficient», note l’étude.

La suite

Boulevard urbain à oublier (le Soleil, Samuel Auger, 25 septembre 2011)

L’idée de métamorphoser l’autoroute Laurentienne en boulevard urbain avec la venue de l’amphithéâtre bat sérieusement de l’aile. La circulation de transit y est trop massive, et le ministère des Transports du Québec (MTQ) serait réfractaire à toute conversion de l’axe autoroutier, conclut une étude sur le secteur commandée par la Ville de Québec.

La Ville de Québec et le ministère des Transports jonglent depuis plusieurs années avec le projet de convertir l’autoroute Laurentienne en boulevard urbain, pour le tronçon entre le boulevard Wilfrid-Hamel et la rue de la Croix-Rouge (en face du Stade municipal de baseball des Capitales).

La suite

Secteur entourant le Colisée : une étude qui fait rêver

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Nouvel urbanisme, Projet - un nouveau colisée.


25 commentaires

  1. Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

    25 septembre 2011 à 21 h 04

    Je pense qu’il est effectivement difficile de remplacer une autoroute par un boulevard en terme de capacité et ce même avec un pourcentage d’utilisation de TEC plus élevé.

    Par exemple, à Québec on a un taux d’environ 10%, si on passait à 20% ce serait génial, mais au final il y aurait seulement 11% moins de véhicule les routes, ça ne ferait pas une énorme différence sur le nombre de véhicules.

    L’autre point est monétaire, le Québec est en déficit et il le restera probablement pour un bon bout. Rendu là, il faut avoir les moyens de nos ambitions. Labeaume ne peut pas demander de l’argent pour un Tramway, un nouveau Colisée, pour la conversion d’autoroute en même temps. Il devra prioriser quite à utiliser sa part non-utilisée de taxe sur l’essence pour réaliser ses projets.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • fernand Utilisateur de Québec Urbain

      26 septembre 2011 à 11 h 26

      Je dénonce cette façon de calculer les intentions des automobilistes. Ce n’est parce qu’un autobus contient 40 passagers que ce sont 40 automobilistes qui ont délaissés leur voiture. Alors pourquoi le parc automobile grandirait comme il le fait sur un réseau routier datant des années 60 ? Depuis ces années, les autos ont triple en nombre. Alors le réseau est saturé et on veut utiliser une partie de ce réseau surchargé en enlevant une voie pour la réserver aux TEC. C’est une idée qui va créer plus de problème que de solution et en plus ce sont les automobilistes qui en payent la note…

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
      • Louis M.

        26 septembre 2011 à 18 h 59

        «en plus ce sont les automobilistes qui en payent la note…»

        Ils paient la note parce qu’ils sont encore près à la payer. Les gens sont près à payer cher pour leur sacré confort, même se payer beaucoup de temps d’attente dans la congestion. Font-ils pitié pour autant? À mon avis, s’ils sont près à payer, c’est leur choix après tout.

        «Alors le réseau est saturé et on veut utiliser une partie de ce réseau surchargé en enlevant une voie pour la réserver aux TEC»: Plus on construit de route, plus il y a d’automobilistes. Donc, l’unique solution logique à un réseau saturé fonctionnant avec un seul mode est de passer à des modes de transport plus efficaces.

        «Ce n’est parce qu’un autobus contient 40 passagers que ce sont 40 automobilistes qui ont délaissés leur voiture. »
        Procédons en raisonnement inversé: s’il n’y a plus d’autobus, combien de voiture supplémentaire y aura-t-il sur le réseau routier?

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

        26 septembre 2011 à 19 h 07

        Je suis très souvent en désaccord avec Fernand, mais même un bus rempli de 40 personnes ne remplace pas exactement 40 voitures pour 2 raisons

        1 – : Il y a parfois plus d’une personne par voiture (1,2 je crois)
        2 – : les autobus font des distances plus longues en km ils y passent plus de temps (en général) pour un passager moyen que si celui-ci utilisait son auto.

        Donc dans cet optique, on ne peut pas vraiment dire 40 passagers dans un bus = 40 autos de moins.

        Cela dit, oui un bus peut remplacer énormément de voiture, surtout si le trajet est rapide et direct ce qui n’est souvent pas le cas malheureusement.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

        26 septembre 2011 à 21 h 19

        Comme le dis Louis M, il faut peut-être prendre la question dans l’autre sens. Sans autobus, combien d’automobiles il y aurait de plus sur les routes. Annuler les services du RTC, et ces 60 000 personnes qui devront trouver une autre solution. Évidemment, ça ne veut pas dire 60 000 voitures, mais on ne doit pas être loins de ce chiffre.

        Dans ce sens, je crois que je suis un bon exemple. Si j’avais habité à Montréal, il y a fort à parier que je n’aurais pas acheté d’automobile. Mais comme le service de Québec est beaucoup moins bon, c’est une automobile de plus sur le réseau routier. Alors si moi j’ai pris cette décision, j’imagine facilement que beaucoup d’autres gens aussi.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
  2. Sim

    25 septembre 2011 à 21 h 56

    Je crois que c’est une bonne chose que l’autoroute reste une autoroute. En effet, ça va grandement aider à «drainer» la circulation qui sortira du Colisée, car on le sait tous, le transport en commun ne sera sûrement pas l’alternative privilégiée pour s’y rendre. De toute manière, à l’heure actuelle (et selon ce qu’on a lu à date) une forte augmentation de l’offre en TEC (tramway, monorail, alouette) ne semble pas être prévue (pour tout de suite en tout cas).

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  3. Manu

    25 septembre 2011 à 22 h 12

    La ville de Québec a depuis longtemps mis dans ses plans de développement la « requalification » de l’autoroute Laurentienne en boulevard au sud de Hamel. Cela ne semble toutefois pas avoir jamais fait partie des plans du MTQ, ni mêmes des « idées à considérer » (du moins, pas dans un rapport public). À moins que quelqu’un trouve un document disant le contraire… Donc, en 2011, toujours pas de changement en vue du côté du MTQ.

    Néanmoins, il y a plus de dix ans, le MTQ étudiait la question d’ajouter des voies réservées. Cette étude a débuté en 2001 et devait se terminer au printemps 2003. Je n’ai pas trouvé de suivi à cet effet. Appel à tous…

    Le MTQ a remis la question sur la table en 2006, démontrant encore un intérêt, pour un horizon de 2008-2009. Là encore, pas de suivi. En 2008, dans une présentation du MTQ, on trouvait « Voie réservée sur l’Autoroute Laurentienne » parmi les « projets en cours ». Ce n’était probablement qu’une modélisation informatique de la circulation et ce genre de chose.

    Depuis, pas de nouvelles.

    Tout ça pour dire que si on conserve l’autoroute, mais qu’on la réaménage, probablement sur un tracé légèrement différent puisqu’on spécifie qu’on ne coupera pas la circulation pendant ces éventuels travaux, on peut toujours espérer qu’on en profite pour intégrer à tout le moins un « espace libre » (i.e. un chaussée plus large) pour une éventuelle voie réservée. Si tel est le cas, il se peut aussi qu’on doive attendre la reconstruction des ponts de la voie ferrée et de Soumande pour utiliser une plus grande portion de l’emprise déjà attribuée, mais non utilisée, à l’autoroute. À suivre…

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • julien

      25 septembre 2011 à 22 h 20

      il me semble que j’ai déjà lu un article sur les voies réservées sur Laurentienne. Si ma mémoire est bonne, cela coûtait plus de 40 millions et selon le projet, cela ne faisait gagner que 4 minutes aux autobus… Le projet semblait donc sur la glace… Je vais essayer de retrouver ma source…

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
      • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

        25 septembre 2011 à 22 h 49

        C’est pas mal le même temps (4 minutes) qu’on sauve avec le 803 par rapport à l’ancien trajet et ça a coûte 40 millions.

        L’autre avantage de la voie réservée c’est qu’elle pourrait enlever le goulot pour sortir à Hamel, ce n’est pas à négliger non plus.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • Manu

        25 septembre 2011 à 23 h 34

        Le 803 prends 42 à 46 minutes pour le trajet total entre les terminus Les Saules et Beauport. L’ancien 60 (parcours légèrement différent mais équivalent) qu’il remplace prennait quand à lui 40 à 46 minutes. Je ne sais pas comment le RTC est arrivé à « compter » un gain de 4 minutes.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

        26 septembre 2011 à 19 h 57

        le 4 minutes je l’avais entendu à radio-canada, mais il est possible que ma mémoire fasse défaut.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • Manu

        26 septembre 2011 à 23 h 41

        C’était aussi ce qu’on disait dans les documents d’information du RTC il me semble, pour « promouvoir » le 803. Je n’ai jamais su quelle formule tordue le RTC avait utilisé pour arriver à contredire la réalité.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
      • Erick Utilisateur de Québec Urbain

        27 septembre 2011 à 03 h 49

        4 minutes X bus X client X jour X 2 (am+pm) ca commence à faire pas mal de minutes économisées au total. Sans compter le temps économisé aux automobilistes aussi (à condition que la voie réservée soit une voie supplémentaire et non pas retranchant une voie aux autos).

        Le 803 est un flop, ca vaut pas dire que des voies réservées sur Laurentien en serait un. Les voies réservées sur Lebourgneuf lui font économiser quelques minutes, mais le fait d’aller virailler dans un cul-de-sac sur le boul. des Galeries avec double virage à gauche, et en plus d’aller revirer sur la 41e rue, ca lui fait perdre tout ce qu’il a gagné avec les voies réservées. De plus des voies réservées au centre de la chaussée comme celles qu’on veut aménager sur la rive-sud auraient été sensiblement plus efficaces.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
    • fernand Utilisateur de Québec Urbain

      26 septembre 2011 à 11 h 30

      Ils ont juste oublié de chiffré le coût. Contribuables, attachez votre porte-feuille avec un lastic car les réglements d’emprunt vont se suivre à un rythme d’enfer…

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
  4. Bonjour

    26 septembre 2011 à 08 h 48

    Je me répète, mais depuis de nombreuses années, l’arrimage entre la planification des transports et l’aménagement du territoire est extrêmement déficiente, partout au Québec, et ce dossier en est un exemple flagrant.

    Je trouve très dommage l’absence de volonté (et surtout de vision à long terme) dans ce dossier. Depuis plusieurs années qu’on aurait dû prévoir le coup, développer le TC et réduire l’étalement urbain dans cet axe pour qu’en bout de ligne la transformation en boulevard urbain ne soit pas une catastrophe pour le trafic. Autrement dit, on ne pousse pas le TC, on laisse tout le monde se construire n’importe où puis quand vient le temps de réduire la place de l’auto, on ne peut pas parce que ce serait l’enfer. C’est comme quand on n’entretient plus un édifice historique gênant, puis un promoteur dit « je DOIS démolir, ce serait trop coûteux de préserver le bâtiment historique ».

    Expocité est un site majeur d’activités depuis belle lurette. Où est le TC dans ce secteur? il y a le 801 qui passe à quelque centaines de mètres et c’est tout.

    Les politiques urbaines doivent être planifiées et implantées par un leader régional fort qui saura rallier tous les acteurs et surtout faire en sorte que tous les leviers travaillent dans le même sens. La planification régionale transport/aménagement est orpheline depuis trop longtemps.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • Manu Utilisateur de Québec Urbain

      26 septembre 2011 à 09 h 04

      Il y a le 802 qui passe sur Hamel, reste à le prendre quelque part…

      Il y a aussi les 64, 65, 74, 82, 84 qui passent sur Hamel du côté Ouest de Laurentienne (peu souvent pour les deux premiers), et le 4 qui zigonne dans Limoilou, entre autres au sud-est du Colisée.

      Ainsi, partant d’à peu près n’importe où en ville, il faut compter deux autobus pour se rendre là. Donc pour l’instant, rien d’époustouflant, c’est certain. Advenant une popularité renaissante du site, ce serait facilement modifiable, d’autant plus que cela pourrait se faire avec des parcours « spéciaux », ceux-ci étant requis seulement lors d’événements.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
    • fernand Utilisateur de Québec Urbain

      26 septembre 2011 à 11 h 38

      Il n’y a pas de coordinations des acteurs régionaux. Le rapport sur la mobilité durable fait un portrait assez exact de la situation mais se borne à la planification du RTC sans penser aux autres. Je me serais attendu à ce qu’il y ait de l’intermodalité des divers moyens de transports.

      Le rapport de mobilité durable est essentiellement une continuité du plan de développement du RTC de 2005-2014. On ressort le tramway qui avait été mis à l’écart en 2005 pour privilégier le réseau Métrobus et les auobus articulés. Personne ne fait le bilan de l’utilisation récente du déploiement des autobus articulés ou tramway sur pneu selon le rapport de mars 2003.

      C’est vrai que quand ce sont les maudits automobilistes qui en assume la facture au deux-tiers, Sky is the limit…

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
  5. Manu Utilisateur de Québec Urbain

    26 septembre 2011 à 09 h 13

    Ce qui est dommange pour la « trame urbaine », c’est qu’on ne gagne pas grand chose à simplement inverser en hauteur Hamel et Laurentienne.

    Sur Hamel, on améliore l’aspect visuel car l’autoroute sera en tranchée sous le terrain actuel, plutôt que de s’ériger en mur dans le décor. C’est tout. Rien de plus.

    On risque même de ne pas gagner grand chose dans la « vue » sur Hamel car on parle de planter des arbres au centre et/ou le long de l’autoroute. On remplacera alors un remblais de terre gazonnée par un mur d’arbre. Ce sera tout de même plus joli et moins dense un peu, mais ça demeure tout ce qu’on gagne.

    Au sud de Hamel, ce sera encore plus difficile de relier les deux quartiers (prolonger de l’Espinay vers l’ouest par exemple). Déjà que ce n’est pas évident (résidentiel d’un côté et grande bâtisse institutionnelle de l’autre), l’autoroute qui devra passe de « sous Hamel » à « au-dessus de la St-Charles » (comme c’est le cas présentement) devra croiser le niveau du sol dans ces environs, donc difficile de faire un pont d’étagement (rue au-dessus ou rue en-dessous) dans ce secteur.

    Bref, pour Hamel, ce sera un peu plus joli, sans plus. Mais on peut déjà, et on a toujours pu, procéder à cet embelissement sans refaire l’autoroute ni un nouvel amphithéâtre. Ça peut servir de prétexte, mais ce n’est pas une condition sine qua non.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

      26 septembre 2011 à 20 h 02

      De toute façon, la technique habituelle de la ville de Québec n’a jamais été de connecter des quartiers entre eux par plusieurs axes, mais généralement par un axe majeure voire 2 tout au plus.

      Exemple :

      1 – Les Saules et Neufchâtel (section au nord de l’autoroute) connecté seulement par Chauveau et l’autoroute de la capitale
      2 – Vanier-Nord et Vanier-Sud (Avenue plante et Pierre-bertrand)
      3 – Limoilou et Vanier (Hamel et Bourdages)

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
  6. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    27 septembre 2011 à 04 h 04

    DISONS LES CHOSES COMME ELLES SONT UNE FOIS POUR TOUTE!

    Ce que la population de Québec veut c’est un nouveau Colisée (appelez ca un amphithéatre si vous voulez ca revient au même) dans l’espoir de ravoir ses Nordiques qu’elle est frue d’avoir perdu.

    C’est juste ca que la majorité des électeurs de Québec veulent, pas plus. Ils en ont rien à cirer des « revitalisations », et encore moins de refaire des boulevards pour le fun.

    La population de Québec demande un stade à 400 millions, pas de refaire la ville au complet à coup de milliards.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • laéR

      27 septembre 2011 à 07 h 45

      Je suis pas mal convaincu de cela également….

      Pourquoi toujours en donner plus que ce que le client demande? On est quand même bon pour ce créer des besoins et après ça fair exploser les coûts.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
    • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

      27 septembre 2011 à 08 h 13

      Je suis sceptique quant à la conversion de Laurentien en boulevard urbain. Ce serait un beau projet, mais il y a trop de trafic pour faire une conversion actuellement.

      Cela dit, ça peut valoir la peine d’investir dans la revitalisation d’un quartier, ce n’est pas nécessairement de l’argent perdu.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
      • Louis M.

        27 septembre 2011 à 18 h 32

        «ce n’est pas nécessairement de l’argent perdu.»

        En faite une revitalisation est un investissement. Il doit rapporter de l’argent en fin de compte et ça le fait à tout coup (ou presque mais là il faut parler de flop).

        Il ne faut pas oublier que les investissements ne sont pas tous public, le privé y participe aussi.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler