Source : TVA Nouvelles, le 1er novembre 2011
Pas question de céder les vastes terrains du défunt Jardin zoologique du Québec au privé.
Le ministre responsable de la région de Québec, Sam Hamad, dit qu’ils vont demeurer du domaine public.
En principe, les trois derniers pensionnaires du zoo, deux ours grizzlys et une ourse Kodiak, doivent quitter les lieux mercredi. Après cela, il ne restera plus que deux hommes d’entretien et quelques gardiens sur ce vaste terrain, d’une taille équivalente à 108 terrains de football.
Mais, le ministre Hamad est formel, les propriétaires privés qui voudraient acquérir le site perdent leur temps.
Terrain de l’ancien zoo : un dossier qui n’est pas encore réglé.
1er novembre 2011 à 20 h 05
c’est ça, c’est ça… Laissons couler le temps, se disent-ils.
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1er novembre 2011 à 20 h 46
À mon avis le zoo devrait être la limite nord du développement urbain de la ville de Québec, c-à-d qu’on ne devrait plus faire de développement majeur au nord du zoo.
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1er novembre 2011 à 21 h 37
Laissons la forêt repousser sur ce terrains. Sérieusement le terrain d’après moi nvas rester vacant un méchant bout. C dommage
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2 novembre 2011 à 16 h 42
Quel est l’intérêt de garder intacte un ZOO vide et fermé?
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2 novembre 2011 à 21 h 26
Disons que de le vendre maintenant à des amis du système serait mal vu.
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3 novembre 2011 à 22 h 28
En tout cas, c’est à l’autre bout de la ville et construire dessus ce serait de l’étalement urbain de plus. Mais ne rien n’y faire ça fais pas mal fou. Surtout qu’ils continuent d’entretenir les aménagements même s’ils ne servent à rien.
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