Annie Morin
Le Soleil
(Québec) Québec enterre l’idée de doter ses côtes abruptes de remonte-pentes pour les vélos.
Remonte-pentes pour les vélos aux oubliettes
Par 
Gérald Gobeil le 1er décembre 2011 24 commentaires
Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Vélo.
24 commentaires
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1er décembre 2011 à 06 h 52
Je trouve ça dommage. Puisque le sel de déglaçage peut poser problème, alors pourquoi ne pas en faire un loin de la route?
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1er décembre 2011 à 11 h 37
Les cycliste peuvent aussi s’acheter un moteur pour leurs vélo si monter des pentes est trop difficile pour eux!
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1er décembre 2011 à 06 h 58
Faut pas ce décourager. Faut voir tout cela positivement.
Québec devient la capitale internationale des enterrements
de projet.
Nous allons bientôt manquer de cimetières. Donc je propose
un programme qui encouragerait une densification urbaine
visant les lieux de sépultures.
C’est vraiment degeu, quand nous nous promenons à Québec,
nous voyons plein de cadavres de projet avorté disséminer
aux 4 coins de la ville.
PS En passant savez-vous ou en est le projet des fameuses
bulles blanches dans le coin de l’autoroute Dufferin en
haute-ville?
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1er décembre 2011 à 07 h 31
Je trouve cela quelque peu malhonnête comme commentaire. Il y en a des projets qui se réalisent à Québec, comme le diamant de Robert Lepage, le Colisée pour ne nommer que deux des plus gros. Si la ville ne réalise pas tout, c’est un peu normal. C’est à ça que les études de faisabilité servent.
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1er décembre 2011 à 08 h 21
D’accord, sauf qu’il faut que le discours politique suive la même logique. C’est une bonne idée d’avoirs une montagne de projets. On fait ensuite les études préliminaires, on priorise et on fait les projet les plus pertinents.
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1er décembre 2011 à 10 h 41
Pas sûr que le « diamant » de Robert Lepage soit nécessairement un bon exemple de projet qui se réalise, appelons le plutôt le Zircon…
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1er décembre 2011 à 09 h 38
C’est normal qu’une portion des projets ne se réalisent pas dans un ville. Le contraire serait inquiétant.
Aussi, vous appelez ‘projet’ des choses qui n’étaient que des ‘idées’. Beaucoup de gens, comme vous, confondent les deux!
Je trouve ça très sain d’avoir beaucoup d’idées et de ne filtrer que les meilleures. C’est comme si certains citoyens utilisent comme référence une époque où, à Québec, il y avait peu de projet… Ainsi la vigueur actuelle leur paraît incompréhensible.
Je dis ça, mais je ne m’attends pas à vous convaincre. Je sais depuis longtemps que les tenants de cotre position sont complètement bouchés!
Concernant le projet de remontée pour les vélos, je suis assez déçu. Personnellement, je trouvais que c’était une bonne idée alors je suis déçu que ça n’ait pas atteint le stade de projet (appréciez la douceur de la nuance). À mon avis, ce serait un projet novateur qui encouragerait le transport actif tout en donnant une bonne image à la ville. J’espère vraiment que les comités de promotion du transport actif ne lâcheront pas le morceau.
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1er décembre 2011 à 10 h 40
Pour la remontée, je trouvais le coût élevé (1,3 millions) pour des résultats incernains.
Pour un prix semblable, il serait sûrement possible de construire des ascenseurs autorisés aux vélos qui seraient aussi utilisés par une clientèle beaucoup plus grande.
Si on veut encourager le transport actif, ces ascenseurs sont de grands facilitateurs. Beaucoup sont rebutés à l’idée de monter ces côtes mais voyageraient à pieds ou à vélo autrement.
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1er décembre 2011 à 11 h 57
Intéressant comme proposition Julien, je n’y avais pas pensé. Je suppose qu’il est trop tard/trop coûteux pour modifier l’ascenseur du faubourg…
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1er décembre 2011 à 13 h 45
Avec 1,3 M$, on fait 1-2 km de pistes cyclables ou on mets de gouttières dans tous les escaliers de la ville. Il me semble que la deuxième option ne devrait même pas en être une à Québec.
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1er décembre 2011 à 23 h 43
En effet, pour les escaliers, ce n’est vraiment pas compliqué de poser deux 2×6 de large par dessus les marches. Bon, ça gruge un peu d’espace, mais à la limite, qu’on se restreigne aux escaliers les plus larges.
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1er décembre 2011 à 10 h 51
le troll (davedeux) est de retour !
malgré les multiples annonces de son départ, il revient toujours…
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1er décembre 2011 à 11 h 58
Il y a un délai supplémentaire dans le dossier des bulles blanches parce que les artisans ont des problèmes avec la durabilité du revêtement.
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1er décembre 2011 à 13 h 16
En effet, ce commentaire est vraiment pessimiste. Il y a plein de projets qui se réalisent, et les Mourialais (dont je fais maintenant partie) regardent avec envie le dynamisme actuel de Québec.
Par contre, il est vrai que pas mal de « ballounes » se dégonflent. Mais cela est synonyme d’une capacité à rêver, qui est essentielle au développement.
Enfin, j’aime mieux une ville dont la population pitche des ballounes et réussit tout de même à réaliser quelques projets sérieux, qu’une ville dont la moitié des résidents votent en bloc sur des critères ethniques (le candidat ne doit pas être francophone…) et l’autre moitié est trop divisée pour amener quelque changement politique que ce soit.
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1er décembre 2011 à 12 h 43
On fait déjà bien trop de choses pour les cyclistes à Québec. On donne trop d’attention à cette minorité bruyante. Qu’on bonifie plutôt les accès automobile à Québec, qu’on ajoute des voies d’autoroute, qu’on enlève les voies priorisées aux autobus ou au vélo. Bravo d’avoir mis de côté de projet inutile et ridicule!
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1er décembre 2011 à 12 h 53
C’est un point de vue.
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1er décembre 2011 à 13 h 43
Marcel, le budget alloué aux cyclistes est le même toute proportion gardée à celui alloué aux automobilistes par la ville. Il n’y a pas de privilège ici, contrairement à ce que peut affirmer certaines stations de radio.
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1er décembre 2011 à 16 h 02
Vos chiffrent eux vienne de quel radio et pouvons nous les voir pour confirmer vos dire? À moins que votre commentaire ai la même valeur que ceux que vous dénoncez!
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1er décembre 2011 à 21 h 00
J’ai fait le calcul moi-même il y a quelques mois en comparant les dépenses de la ville en transport (voiture, autobus, vélo). Il y a quelques pourcents des déplacements qui se font à vélo et il y a quelques pourcents du budget d’immobilisation d’infrastructure routières qui vont aux pistes cyclables. Le proportion sont essentiellement respectées sans compter le fait que les pistes cyclables demandent bien moins d’entretien que les routes. Je n’ai pas les chiffres sous la main, de mémoire le budget vélo n’était que de quelques pourcents du budget routier, ce qui correspond au ratio des déplacement.
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1er décembre 2011 à 21 h 58
Si dans ton calcul tu tiens compte uniquement des piste cyclable ton budget est erroné car les vélo utilise aussi les routes.
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2 décembre 2011 à 07 h 01
« Ton budget est erroné car les vélo utilise aussi les routes. »
Il n’y a pas de surcouts associé à l’usage des vélo sur la route. Je compte uniquement les coûts supplémentaires. De plus, un vélo cela n’use pas les routes. On peut compter les bandes cyclables, mais à 5000$ par km pour les ligne blanche, c’est du bruit de fond.
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2 décembre 2011 à 10 h 39
« De plus, un vélo cela n’use pas les routes. On peut compter les bandes cyclables, mais à 5000$ par km pour les ligne blanche, c’est du bruit de fond. »
Il y a surcouts car les routes doivent être plus large pour permettre le passage donc plus d’asphalte.
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2 décembre 2011 à 13 h 51
Wow! Rue plus large pour les vélos. Ce qu’il ne faut pas entendre!
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1er décembre 2011 à 15 h 54
Perdez pas votre temps, j’ai la vague impression que Marcel est un troll…
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