Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Un « temps d’arrêt » au RTC

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 décembre 2011 37 commentaires

Source : Samuel Auger, Le Soleil, le 19 décembre 2011

(Québec) Pour la première fois en près de 10 ans, le budget du Réseau de transport de la capitale sera gelé en 2012. Les parcours du transporteur seront aussi scrutés à la loupe dès l’an prochain.

Ce gel budgétaire annoncé lundi dans le budget municipal de l’administration Labeaume équivaut à une compression en tenant compte de l’augmentation prévue des salaires du personnel du RTC et de la hausse prévisible de l’essence en 2012.

Le maire de Québec, Régis Labeaume, a défendu ce choix en disant qu’il était temps de mettre un frein aux augmentations budgétaires consacrés au RTC. «Je pense qu’il était temps de prendre une pause», a tranché le maire de Québec, lundi midi.

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Voir aussi : Québec La cité, Transport en commun.


37 commentaires

  1. Pier Luc

    19 décembre 2011 à 22 h 48

    Si le Maire veux savoir pourquoi certains trajets sont vides je vais lui dire moi: Personne n’a envie de passer une heure dans le bus à virailler dans des quartiers résidentiels quand il pourrait se rendre à destination en bien moins de temps en prenant sa voiture. En plus, il pourrait partir quand il veut ce qui n’est pas le cas avec le RTC. Pour que ça marche il faut des trajets pas trop longs avec une fréquence de passage suffisante.

    Selon moi, une bonne partie de la carte des trajets du RTC devrait être carrément redessinée.

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    • Frie

      20 décembre 2011 à 08 h 32

      T’as déjà regardé la trame de rue de la ville de Québec? dans les quartiers résidentiels les autobus sont obligés de virailler pour aller chercher le monde… On peut dire merci à la ville de Québec pour laisser les promoteurs faire n’importe quoi dans leurs projets (sarcasme)

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      • Pier Luc

        20 décembre 2011 à 09 h 08

        Le problème c’est qu’ils étendent trop les circuits. Aller chercher tout le monde je veux bien, mais desservir tout un secteur de la ville avec un seul trajet qui passe aux 45 minutes ou aux heures et demie et qui met une heure à faire son parcours, ça n’a pas d’allure.

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      • Yvan Dutil

        20 décembre 2011 à 09 h 29

        Je pense qu’ils sont pris avec une règle de couverture du territoire qui les obligent à fournir un service minimum partout.

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  2. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    19 décembre 2011 à 22 h 58

    « Le premier magistrat de la Ville a aussi évoqué l’idée de mettre en service des autobus plus petits sur certains parcours moins achalandés. «Mon collègue François Picard vous en parlera, il en fait une maladie et moi aussi, on se demande comment ça se fait qu’il n’y a pas de plus petits autobus pour certains parcours», a-t-il indiqué. »

    Tout est là. Si des autobus sont vides, faut les remplacer par des autobus plus petits. Et si les autobus plus petits sont vides, il faut alors les éliminer. Est-ce que j’ai bien compris ?

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    • Yvan Dutil

      20 décembre 2011 à 08 h 59

      Clairement, le maire ne s’est jamais informé avant de proposer cette solution. Des bus plus petits cela veut dire deux flottes d’autobus. De plus, tu vas payer quand même un chauffeur et tout ce qui tourne autour de la gestion des autobus.

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    • Accès transports viables

      20 décembre 2011 à 09 h 00

      En effet, le discours sur les minibus nous éloigne du débat fondamental: comment remplir nos bus et augmenter l’achalandage du transport en commun (l’objectif principal du Plan de mobilité durable si je ne me trompe pas!).

      Nous avons publié un communiqué là-dessus sur notre site:
      http://www.transportsviables.org/component/content/article/235-compressions-au-rtc-certains-mythes-ont-la-vie-dure

      C’est d’autant plus malheureux comme genre de cliché que plusieurs parcours sont bondés et que des usagers doivent quotidiennement s’entasser comme des sardines ou même être laissés sur les trottoirs, notamment sur les 7, 800 et 801…

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    • Louis Lemire

      20 décembre 2011 à 11 h 44

      Il y a plusieurs années, cette question des plus petits autobus a été soulevée et le RTC disait qu’il n’en résulterait pas une économie significative parce que…
      1) Ça prend un chauffeur, de toutes façons
      2) Ça prend un véhicule qu’il faut acheter et gaver de carburant même s’ils consomment un peu moins.
      3) Ça prend des mécaniciens, des équipements de garage et des stocks de pièces adaptés à ces véhicules.

      Bref, la seule économie possible serait de confier ces parcours de « minibus » à la sous-traitance. Imaginez la réaction syndicale !

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      • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

        20 décembre 2011 à 13 h 24

        Imaginons une famille qui n’a besoin que d’une seule auto. Cette famille possède une fourgonnette qu’ils utilisent généralement pour déplacer toute la famille, et parfois pour faire des trajets solos. Est-ce qu’il serait plus économique d’acheter une deuxième voiture plus petite pour sauver un peu d’essence? Si on calcule le prix d’achat, l’entretien, les assurances, etc, j’ai beaucoup de doute! Évidemment, on ne calcule pas le budget du RTC comme celui d’une famille, mais je crois que ça démontre bien le principe.

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  3. Sims

    19 décembre 2011 à 23 h 12

    La dernière fois que le RTC a acheté des autobus plus petits ils ont fini leur carrière dans la cour du garage. Pas sur que se soit une bonne idée puis il faudrait surement leur bâtir un garage adapté … Autre point, c’est peut être moi qui est radical, mais quand tu va t’installer dans la 3e couronne de banlieues tu ne devrais pas t’attendre à avoir le même service que quelqu’un qui reste plus proche de la ville.

    Finalement, sur une note plus personnelle je suis sur qu’on va encore venir chercher des sous dans nos poches et je vais continuer à attendre mon metrobus 804 comme un beau cave.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      19 décembre 2011 à 23 h 33

      Dans toutes les villes du monde où il y a un transport par autobus, des parcours sont parfois vides de gens. J’en ai vu partout. Même à Sao Paulo (11 millions d’habitants et +). Le discours « Autobus vides, pourquoi en avoir » est connu. Et entretenu par certains médias de Québec. Le double discours quant au transport en commun à Québec n’est pas nouveau de toute façon.
      Si un autobus vide peut provoquer une maladie chez certains, on peut alors comprendre qu’elle sera éradiquée. Et la solution est facile. Faut évidemment ne pas la souhaiter.
      En y pensant bien, tout ça n’est pas bon signe. La Ville de Québec veut maintenir les services aux citoyens, sans augmenter les taxes, tout en faisant face aux obligations reliées aux régimes de retraites librement négociés, où les taux actuels de rendement créent des fossés abyssaux entre les moyens et les résultats.

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    • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

      20 décembre 2011 à 13 h 25

      Les écolobus devrait théoriquement bientôt reprendre la route.

      http://fr.canoe.ca/infos/regional/archives/2011/12/20111202-224740.html

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  4. dans le 1000 Utilisateur de Québec Urbain

    20 décembre 2011 à 06 h 19

    Ce que je trouve exageré c’est le fait que le RTC aie voulu uniformiser l’apparence de ses réseaux métrobus en éliminant complètement les autobus standard pour des autobus vertes articulés. Sérieusement, ces autobus ne devraient être en service que durant les heures de pointes. Nous ne somme pas à NY ici, avez-vous déjà vue l’un de ses autobus remplis même de moitié à 22h le soir?

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    • sgauvin Utilisateur de Québec Urbain

      20 décembre 2011 à 07 h 31

      uh, oui. Je prends souvent les métrobus en soirée et souvent, on est une petite foule à les attendre au carré d’Youville. Assez pour avoir du monde debout. Si il y a moins de demande, il y a aussi moins de fréquence.

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      • Karl

        20 décembre 2011 à 08 h 37

        Je seconde. Je termine souvent de travailler à minuit et le 801 est toujours rempli à au moins la moitié.

        Est-ce que quelqu’un sait comment apporter son aide au RTC. J’ai l’impression qu’il connaissent mal le secteur de Lebourgneuf et qu’ils auraient besoin d’un petit coup de pouce.

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      • Pier Luc

        20 décembre 2011 à 09 h 11

        Envoie des commentaires sur leur site, des fois ils les prennent en considération.

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    • PhilT

      20 décembre 2011 à 10 h 47

      « avez-vous déjà vue l’un de ses autobus remplis même de moitié à 22h le soir? »

      Oui. Suffit de le prendre une fois ou deux pour s’en rendre compte.

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    • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

      20 décembre 2011 à 11 h 01

      À plusieurs reprises j’ai pris le 800-801 à 21h-22h, et il était complet. Pas juste les sièges, il était réellement complet, il devait rester une dizaine de places debout dans tout l’autobus (et c’était des articulés).

      Et ça, c’est dans l’axe le plus achalandé de la ville : ulaval-centre ville. D’ailleurs, c’était pour pallier à ça que le tramway avait été proposé. Mais dans l’été actuel des choses, ça ne risque pas d’améliorer beaucoup la situation.

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  5. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    20 décembre 2011 à 10 h 57

    Voilà encore une déclaration sans fondement lancé par le maire. Le RTC est le premier a tenté d’installer ses parcours là où il rejoint le plus de clientèle que possible. Alors pourquoi le maire réussirait à faire mieux ?

    Oui ça peut arriver qu’un autobus soit relativement « vide » sur une partie de son parcours. Mais on a pas de contrôle sur ça. Et si on se mets à retirer des autobus, alors on diminue le service, et on le rend moins intéressant.

    À l’échelle de la ville, c’est des économies de bout de chandelle que le maire pourra réaliser. On dirait plus une mauvaise promesse électorale pour attirer des votes.

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    • Yvan Dutil

      21 décembre 2011 à 11 h 12

      « On dirait plus une mauvaise promesse électorale pour attirer des votes. »

      Plus pour plaire à certaines radio.

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    • Manu

      22 décembre 2011 à 22 h 26

      À moins que je me trompe, le maire n’a jamais prétendu pouvoir suggérer quoi que ce soit de mieux que ce que fait présentement le RTC. Je l’entendais d’ailleurs dire en entrevue que ce n’était pas à lui qu’il fallait poser les questions (tracés, fréquence de service, etc.) car il n’était absoluement pas expert là-dedans.

      Tout ce qui a été fait pour le présent budget c’est d’aller chercher des petits montants un peu partout pour en faire un gros au total.

      On peut être pour ou contre le budget, pour ou contre les décisions du RTC, etc. , mais il ne faudrait pas faire de lien trop facile entre le développement du transport en commun (et du RTC) à Québec et les récents commentaire du maire sur le budget alloué aux TEC.

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      • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

        22 décembre 2011 à 22 h 55

        De toute façon, au rythme des augmentations annuelles du RTC, tout en sachant que la contribution des usagers représente 30% du budget annuel, on peut collectivement se demander où nous en serons avec le RTC dans 10 ans. Si le réflexe premier du conseil municipal est d’en geler le budget, pour les motifs dévoilés, la valeur du symbole est notable. Très. Le transport en commun, si on ne fait que comparer les revenus et les dépenses, ne sera jamais « rentable ». Et pas qu’ici. La rentabilité se situe ailleurs. Mais ça, c’est un autre débat.

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  6. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    20 décembre 2011 à 11 h 46

    Lorsque j’étais conseiller municipal, j’avais remarqué que 4 parcours empruntaient la rue Seigneuriale pour aller du nord au sud alors que le parc industriel rempli n’avait même pas de service et le haut de mon quartier aussi. Ca fait 10 ans et c’est toujours pareille. Pourtant la nouvelle ville fusionnée a donné 48,2millions en subvention au RTC en 2002 et 93.8 millions en subvention en 2011 soit 94,6% d’augmentation du budget de subvention nonobstant celels des gouvernementas supérieurs provenant des taxes provinciales à la pompe et du transfert fédéral des redevances sur le pétrole (40% du prix à la pompe sont des taxes, plus le 35$ sur les permis de conduire).

    Une année de répit permettra peut-être aux penseurs aux lunettes roses du RTC de revenir sur terre. C’est un service public. Avant de le chromer à coup de milliards, il est impérieux qu’il fonctionne adéquatement pour transiter de la maudite banlieue fusionnée vers le centre-ville le plus de gens possible.

    Quant à Accès Transport Viable, lobby subventionné, vos usagers ne payent que 30% des coûts, passer la facture aux autres a une limite. Le maire vient de constater qu’elle est atteinte.

    Pour une fois, Bravo Régis…

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    • Louis M.

      20 décembre 2011 à 13 h 40

      Encore la question de coûts!? Fernand, on en a déjà parlé, faites-vous la sourde oreille?

      En plus vous n’êtes pas cohérent! D’un côté vous dites «C’est un service public. » donc, on est prêt à payer collectivement pour ce service, quittes à offrir certains services d’intérêt public qui sont non rentables (parce que c’est ça un service public!), et de l’autre vous demander aux usagers de tout payer…

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    • Yvan Dutil

      20 décembre 2011 à 14 h 50

      Fernand,

      Déplacez un parcours d’autobus à Québec et il y a quasiment des émeutes. Pour des raisons de simple logique, le RTC tente de donner du bon service dans les coins où la densité de population le permet, plutôt que de faire des efforts héroïques pour aller chercher des usagers dans des endroits qui ne pourront jamais être desservis comme du monde en autobus.

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  7. «Le» lecteur assidu

    20 décembre 2011 à 11 h 51

    Un de mes voisins travaille sur la Colline parlementaire.

    Normalement, pour répondre à ses besoins, il devrait en principe utiliser matin et soir l’Express 251.

    Or, étant donné que l’offre de service est trop limitée, pour ne pas dire mal conçue, notamment pour le retour à la maison, cela lui est plus utile de prendre son « char », de se rendre au Parc-O-Bus de d’Estimauville, pour prendre l’Express 250.

    En conséquence d’une mauvaise planification évidente du parcours 251, il occupe malencontreusement un espace de ce Par-O-Bus avec son « char ».

    Je comprends, et vous auriez raison de le souligner, qu’il s’agit en l’occurrence que d’un cas particulier.

    Mais je pourrais vous fournir d’autres exemples ad nauseam tout en étant convaincu que vous pourriez également faire de même à tel enseigne que je pourrais déjà affirmer que l’accumulation d’autant de cas particuliers en fait de facto un cas général !

    Espérons que le gel imposé par le maire Labeaume va favoriser une réflexion profonde et utile pour maximiser l’utilisation des ressources humaines et matérielles avec l’objectif ultime d’optimiser la desserte pour le mieux être de la clientèle.

    Sans limiter ce qui précède, je souhaite que le maire va déléguer quelqu’un de son équipe, ne serait-ce que pour au moins relire et s’inspirer des nombreuses réflexions et suggestions diffusées sur ce site eu égard au RTC.

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    • Louis M.

      20 décembre 2011 à 13 h 52

      Malgré la forte demande pour les lignes express, ce ne sont pas celles qui sont rentables… C’est à prendre en considération, surtout dans une révision des dépenses!

      Veut-on un service qui permet de faire un transfert modal, d’augmenter l’achalandage et la part modale du transport collectif, ou veut-on un service qui coûte le moins cher possible, c’est ça la question qu’on doit se poser collectivement. Il y a cependant une façon de combiner les deux, ça s’appelle la densification et la mixité des fonctions, ce dont on manque beaucoup dans les banlieues de Québec.

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    • Yannick Chouinard

      20 décembre 2011 à 13 h 52

      100% des élus qui siègent sur le conseil d’administration du RTC(6 sur 8) sont membre de «l’équipe» Labeaume alors on repassera pour la délégation de quelqu’un du clan à Régis. Comme d’habitude, le maire réfléchit tout en haut en faisant l’étalage de sa méconnaissance du dossier du transport en commun. D’ailleurs, il a déjà candidement avoué ne jamais prendre le bus. Ses priorités sont plus d’ordre «centre multifonctionnel»…

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    • Manu

      22 décembre 2011 à 22 h 39

      Le modèle auto+bus avec parc-o-bus entre les deux est aussi un modèle qui se défend.

      Imaginons qu’on ait une cinquantaine de parc-o-bus sur le territoire de la ville reliés en paquets de 2 ou 3 par des express 2xx, 3xx ou autres à venir. Imaginons maintenant qu’on laisse ces « express » sur l’autoroute, mais qu’on en fait des parcours plus réguliers, aux 30 mintues disons, avec voies (ou accotement) réservées partout où il y a le moindre ralentissement en ville comme sur l’autoroute, ainsi que des accès prioritaires aux parc-o-bus. En revanche, on ne fait plus de zigonnage dans les quartiers résidentiels, et le but est de rejoindre les parc-o-bus aussi vite qu’en auto, ou plus vite pour compenser les temps d’attente. Même des parcours réguliers dans les zones de plus faible densité pourraient être éliminés ou à tout le moins réduits à leur plus simple expression, le long des artères, pour ceux qui n’ont pas d’auto pour pouvoir utiliser ce modèle hybride. C’est ce bout là le problème: territoire trop vaste et peu peuplé pour être bien couvert, donc peu d’adeptes car mal couvert, donc pas mal cher du passager.

      Alors ça donerait quoi? Bien des gens seront tentés de laisser faire le stationnement à 120$ par mois en ville pour se prendre une passe mensuelle. Avec des autobus toute la journée, ça permet aussi de gérer tous les aléas et imprévus (enfant malade à l’école ou la garderie, visite chez le médecin, etc.). Ça fonctionne aussi pour les horaires de travail atypiques, les déplacements de fin de semaine, etc.

      Je ne dis pas que ça serait mieux que ce qu’on a présentement, je ne fait que dire que c’est un modèle qui se défend.

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  8. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    20 décembre 2011 à 18 h 08

    En tout cas, le maire devrait immédiatement s’habituer à voir des autobus vides, parce que dans 10 ans, c’est le tramway sur Charest qui risque de l’être! Du moins, disons qu’en choisissant ce parcours, on ne choisit pas celui qui nous assure d’avoir les véhicules les plus pleins que possible! Donc on veut des bus pleins, mais on est en train de créer un tramway vide. Voilà un beau paradoxe.

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  9. Florian

    22 décembre 2011 à 05 h 39

    pessimiste! je vote pour 2025! c’est rien à l’échelle d’une ville…

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